prénom : Alexander Corvus nom : Lestrange âge & date de naissance : 37 ans, né le 31 juillet 1964 nature du sang : Sang-pur École & maison : École de Sorceillerie de Poudlard dans la noble maison de Serpentard profession : Bras droit de Lord Voldemort et Président-sorcier du Magenmagot capacité spéciale : Occlumens  Affiliation : Fidèles Crédit : Lux Aeterna et Eternal Roleplay

Alexander Corvus Lestrange est un homme ayant toujours su ce qu’il voulait. Il a été sûr de lui depuis sa plus tendre enfance. Son père, sa mère et son oncle l’ont éduqué dans la discipline. Ils lui ont aussi inculqué la force de vaincre, le goût de vaincre, de gagner. À quelque part, il admire même plus sa mère que son père. Il a toujours été plus proche de Cassandra. Toujours coltinés ensemble ces deux-là imaginant des plans diaboliques. Il a une grande fierté pour sa famille tout comme pour les sorciers sang-pur en général. Il est fier de ce qu’il est.  L’enfant qu’était Alexander a ainsi appris l’ambition et toutes les manières d’atteindre le pouvoir. Il n’est pas un homme stupide même si on ne peut pas le traiter de génie non plus. Vif d’esprit, il est un duelliste confirmé, mais reconnaît aussi qu’une bonne planification mène au sommet dans beaucoup de domaines. D’un enfant rêvant d’un monde où les sorciers domineraient, il en est devenu cet adulte l’esprit dorénavant plus pragmatique.

Il aime le pouvoir. Il est à l’aise au sommet et quand on l’adule ou même dans l’adversité. C’est un homme qui n’est pas nécessairement le plus bavard voire pouvant être même caractérisé d’ambivertie, mais d’un qui choisit les mots avec brio. C’est un homme charismatique capable de captiver que ce soit une foule ou un groupe plus petit. Un vrai leader. Il a le don des langues. Il sait parler en plus de l’anglais : le français, l’allemand, l’espagnol, le suédois et le russe. Alexander aimerait maintenant apprendre l’arabe et même le chinois.

Des embûches, il y en a eu des tas dans la vie d’Alexander mais à chaque fois il sut tirer son épingle du jeu rétorquant comme il se devait. Il ne laisse jamais une opportunité lui filer entre les doigts surtout si celle-ci peut alimenter son pouvoir et sa notoriété. Il est aisé pour Alexander d’user de ruse et de manipulation pour arriver à ses fins. Il a peu de scrupules. Son tempérament d’enfant impulsif ne lui a, pourtant, pas toujours permis de réagir comme la société l’entendait. Impulsif, soupe au lait, il pouvait en devenir agressif et même violent. Alexander a été, en effet, un enfant sensible. Une sensibilité cachée derrière un regard mystérieux et énigmatique. Alexander Corvus Lestrange est un homme très secret faisant peu montre de ses émotions. En tout cas, hormis lorsqu’on l’amène à bout. Il a toujours su rendre les coups ce que son frère Aslan n’a jamais été capable de faire. À l’évidence, Alexander sait dorénavant contenir son impulsivité en public. Un poing peut, toutefois, aisément frapper un bureau parfois.

Par ailleurs, son leadership tout comme son horreur de la sensibilité en fait un homme autoritaire. Il peut paraître dur et sévère avec sa famille, avec ses enfants, mais il sait que c’est pour leur bien. Il se fait le protecteur de ceux qu’il aime. Non, malgré tout ce qui a déjà été écris sur Alexander Corvus Lestrange, il n’est pas un total mauvais bougre. Il aime vraiment beaucoup sa famille et fera tout pour la protéger même s’il ne le montre pas toujours correctement : quand tu es éduqué dans la plus pure tradition de sang-pur, c’est un peu ce qui doit, malheureusement, en découler. Il est protecteur, mais il aime aussi s’amuser. Il est joueur, malicieux et sarcastique. Alexander peut aussi être dit de mélomane : il joue très bien du piano. On pourrait aussi le qualifier d’un tantinet pervers. Il lui est arrivé de se détendre avec les plaisirs de la chair.

En résumé, à première vue, on peut caractériser cet homme de charmant voire galand. Attention à vous si vous le trahissez ou lui avez causer du tort. Il est extrêmement rancunier sans oublier son petit côté diabolique et sadique. Il sera alors sans pitié avec vous.

Il était une fois un enfant né dans la noble famille Lestrange au manoir de la notoire Loutry Ste-Chaspoule le 31 juillet 1965, ce même jour qui quelques années plus tard vit naître un certain sorcier à la cicatrice. Fils aîné de Rabastan et Cassandra Lestrange, Alexander devait hériter du nom, de la fortune et de tous les biens de son père. Et on faisait tout pour l’en faire cet héritier parfait tant souhaité par ce dernier. Son deuxième prénom, Corvus, représentait bien la lignée Lestrange ramenant la famille à la branche française. Alexander fut, néanmoins, un enfant aventureux et batailleur. Il ne cessait pas de s’attraper des ennuis que ce soit avec d’autres enfants ou bien en se blessant. Il aimait, dès son plus jeune âge, jouer au petit chef. Outre ce caractère appréciable qui le mènerait loin, à l’inverse de l’apathie de son jeune frère Aslan, il fallait l’éduquer et contrer cette énergie de feu. La discipline sévère que lui prodiguait ses parents tout comme, de temps en temps, son oncle Rodolphus et sa tante Bellatrix eurent donc l’effet escompté. À cinq ans, chaque punition fut si difficile pour Alexander qu’il fondait en larmes. À sept ans et au-delà, il savait déjà prendre sur lui et rectifier le tir. Fiers de son intelligence, ses parents l’eussent ils encore plus lorsqu’un certain 8 août, Alexander fit de la magie pour la première fois en faisant trébucher son frère Aslan. Puni pour son geste immature, indigne d’un Lestrange et le pourquoi du comment de rester discret avec la magie, il n’en était pas moins fier. Alexander avait très bien compris que cela le rapprochait du moment où il hériterait. Il sut aussi bien rapidement qu’on parla de lui, de sa magie, lors du prochain gala auquel était invités les Lestrange.


Aslan était tout ce que Alexander ne devait pas être. Trois ans son cadet, ce petit frère n’avait jamais eu la verve d’un véritable Lestrange et ses parents firent part à l’ainé de ce fait. Aslan était trop discret, trop silencieux, trop timide, trop réservé, trop peureux. Il n’avait pas d’amis et ceux d’Alexander ne se faisaient pas prier pour ne pas être le premier. C’était bien ce risque d’être traité comme tel par l’aîné. Alexander ne comprenait pas du tout son petit frère. Parfois, il se demandait si un échange de bébés n’avait pas eu lieu à la naissance : le véritable Lestrange se trouvait, ainsi, dans une autre famille. Pour cela, il tentait toujours de le faire sortir de ses gonds, de le faire réagir une bonne fois pour toute. Sans succès. La moindre taquinerie. Le moindre mot ou geste à son encontre. Rien. Il ne rétorquait jamais comme il se doit. Il pleurait ou se recroquevillait sur lui-même ou plus souvent fuyait. Aslan était faible. À ses 10 ans, Alexander comprit que sa famille traitait de troll son frère, soit d’être faible. À 10 ans, Alexander comprit que pour rendre fier et hériter avec honneur des Lestrange, il devait être à l’opposé. Il s’amusait, ainsi, à taquiner et faire mal à Aslan soit seul ou avec ses amis. C’était pour rire, pour le plaisir. Il y avait aussi une certaine envie du paraître et de montrer à ses parents, son oncle, sa tante qu’il se trouvait à l’opposé de cette attitude qui, selon lui, était défaitiste. Enfin, Aslan était quand même un Lestrange. Un Lestrange qu’on ne montrait pas, mais un membre de la famille quand même. Ses punitions lui apprirent à garder respect et faire bonne figure telle une famille unie, parfaite en face d'autrui.


Recevant sa lettre de Poudlard le 31 juillet de l’année 1975, à son anniversaire pardi, Alexander y fut évidemment accepté. Fier, ce fut les deux mois de sa jeunesse où il faillit bien souvent manquer de respect et de politesse pour cause d’excitation envers cette journée tant attendue : le 1er septembre 1975. Trop souvent, il avait rencontré des difficultés à se concentrer sur ses leçons avec sa mère ou bien son père devait répéter par deux fois des faits importants quant au Seigneur des Ténèbres. Déjà, Alexander savait de quoi il en retournait. Déjà, Alexander savait qu’une nouvelle ère arriverait l’un de ces jours. Cela ne l’empêcha pas d’avoir hâte de fouler Poudlard comme son père et ses ancêtres avant lui. Alors, il fournissait doublement des efforts allant acheter diligemment des effets scolaires de première marque sur le Chemin de Traverse recevant, par le fait même, sa première baguette magique de 27 cm, en bois de prunellier, serti d’un cœur de ventricule de dragon et légèrement courbe. Une baguette qui en disait plus long sur cet enfant de 11 ans ce que ne démontrait pas sa petite taille. Ainsi, son corps encore petit tout comme cette réputation familiale qui ne cessait de décroître, Alexander arriva dans un environnement où la plupart de ses pairs aimaient s’amuser à ses dépens. Coups bas, crocs en jambes, vol de ses effets matériels, tout était permis. Malheureusement pour eux, Alexander n’était pas son frère Aslan. Alexander avait toujours su rétorquer aux coups qu’on lui tendait que ce soit directement ou après avoir planifier sa petite revanche. En parfait petit Serpentard, il avait toujours su tirer son épingle du jeu. Sa petite taille en fit un excellent attrapeur pour son équipe de Quidditch dès sa deuxième année tout comme son verbe lui donna un petit groupe d’amis qui l’en firent leur chef. Il était bien loin de l’attitude solitaire de Severus Rogue, un peu plus vieux que lui, et semblant toujours réussir à trouver les coins les plus sombres du château pour s’y vautrer dedans. Non, Alexander vivait dans la lumière lui. Et quelle lumière. Habile avec sa baguette magique, il fut très bon dans les cours de sortilèges et de défense contre les forces du mal. Moins adepte des potions et en botanique, il dû travailler plus fort en ces cours récupérant des Efforts exceptionnels aux deux examens puis, un Optimal en Potions précisément à ses ASPICS. Certes, le cours qui le faisait vibrer au plus haut point était celui d’histoire de la magie. Peu aimait ce cours, car peu de gens comprenaient que la connaissance se trouvait une véritable arme tel que lui appris sa mère. Et il y fut excellent remportant Optimal après Optimal à chaque année tout comme à ses examens de BUSES et d’ASPICS. Il avait cette facilité à retenir tout fait historique alors que la passion, sa fierté même pour l'histoire des sorciers pullulait sans cesse. Il va tout de même sans dire qu’Alexander passait aussi du bon temps. Entre quelques fêtes organisées dans les dortoirs de Serpentard, il avait eu un amour. Un amour impossible, mais qui eu éveillé la première fois ses hormones de mâle à 15 ans. Ce fut une belle Gryffondor de son âge à la longue chevelure blonde comme les blés et au verbe aussi venimeux que le sien. Un amour caché par une rivalité qui, à la fête de Noël de leurs 15 ans, se transformait en une explosion de plaisir tard le soir et, évidemment, dans la complète illégalité. Soirée qui fut suivies par d’autres de ces moments secrets jusqu’à ce qu’ils passassent en 6e année avec l’emprisonnement de son père, de son oncle et de sa tante à Azkaban après la chute du Seigneur des Ténèbres par un bébé. Moment qui laissa une énorme rage au cœur d’Alexander alors qu’injustice sur injustice pullulèrent dans sa vie. Ce fut une période difficile qu’il voulait fuir, disparaître. Un désespoir s'étant emparé de lui pour attiser, bien malgré tout, ses larmes silencieuses, secrètes tout comme ses colères sourdes toutes deux solitaires. Mais il y avait aussi cette force d'affronter fièrement la situation comme le fit son père loyal au Seigneur des Ténèbres. Et il le faisait. On le fuyait. On lui enleva son poste d’attrapeur dans l’équipe de Quidditch et le professeur de Défense Contre les Forces du Mal avait semblé prendre un malin plaisir à lui donner un Désolant à son ASPIC. Note qu’il avait tenté de changer, de parler, d’argumenter et de faire du chantage qu'il irait jusqu'au ministère auprès du professeur. Il savait mériter mieux, mais sans l’effet escompté. Cassandra Lestrange dut s’y mettre et les Lestrange avaient lancé une poursuite au Magenmagot pour diffamation. On argumenta sur l'impartialité des professeurs et à l'aide de l'utilisation d'une pensine par les deux partis, on apprit que la véritable note du jeune homme n'était pas un Désolant : que le professeur avait délibérément agit pour causer du tord au Lestrange. La poursuite fut finalement gagnée quelques mois plus tard en décembre 1982 où Alexander mérita un Optimal en Défense Contre les Forces du Mal. Il n’en avait pas tant demandé, mais sourie à l’influence et à la de sa famille malgré mais aussi à son innocence d’avoir encore été un élève de Poudlard.


La fin de ses études n’équivalait pas seulement en la chute du Seigneur des Ténèbres tout comme celle de sa famille. Bien au contraire, ses 18 ans sonnaient l’entrée d’Alexander Corvus Lestrange dans la vie d’adulte, mais surtout le début de sa longue et difficile montée vers le pouvoir, vers la félicité. Il était appuyé de très près par sa mère, vivant avec lui au manoir qui ne cessait jamais de lui prodiguer conseils et où tous deux aimaient se retrouver pour discuter idées ingénieuses tout comme opportunités. Il n’avait que peu de nouvelles de la part d’Aslan après Poudlard, mais c’était tant mieux : son frère n’était, au moins, pas en train de massacrer plus encore la réputation de leur famille. Par ailleurs, Alexander prenait toujours 30 minutes quotidiennes pour peaufiner son occlumencie art appris de père en fils sachant alors rendant fier ce dernier qu’il ne pouvait plus voir. Alexander songeait régulièrement à son père tout comme les cauchemars hantant ses nuits les premières années après l’emprisonnement de ce dernier à Azkaban. Faiblesse inconnue d'autrui, Alexander était devenu un être charmant qui se fit rapidement un nom au département de la justice magique en tant que mangenmage impartial. Éternellement juste et sévère, il ne semblait nullement corrompu. Il se voulait être un parfait Mangenmage aux yeux d’autrui attendant son heure pour changer le monde. Mais d'être un parfait mangenmage l’intéressait moins que d'être un parfait homme aux yeux de Morgana Crystal Sayre. La voluptuosité des hanches de la jeune femme se mouvant au même rythme de sa chevelure noire ondulée avait aussitôt capté son attention au ministère pour qu’il aille lui parler. Il découvrit une femme intelligente aux idées n’ayant de cesse de l’inspirer. Ils passaient quelques mois à s’écrire, à passer du temps ensemble au travail et ailleurs et même à inventer de nouvelles façons d’éprouver du plaisir. – Ce n’était pas comme si Alexander n’y connaissait rien, mais la Gryffondor était bien loin dorénavant. – Cassandra remarquait évidemment l’idylle partagée entre Morgana et son fils et ce dernier finit par demander la main de la jeune Sayre, à défaut de la demander à son père, tard un soir dans la bibliothèque du manoir. Morgana étant sang-pure et s'entendant même rapidement bien avec la matriarche, les deux tourtereaux se marièrent par une cérémonie toute sorcière dans un décor enchanteur automnal. Quelques mois plus tard naquit deux petites filles nommés Arya et Ayla. Deux magnifiques petites bouilles qui ne suffisaient pas à charmer totalement leur père s’agaçant, dès le premier jour, de manquer à son devoir d’héritier de Rabastan Lestrange : faire un héritier mâle. Certes, il ne put pas s’empêcher de jouer, d’avoir de l’affection pour ces petites filles qu’il voulut protéger coûte que coûte. Peut-être, malgré sa sévérité et parfois sa froideur, cette sensibilité qu'il montrait aussi envers ses filles le récompensait, car à ses 22 ans naquit un fils : Adrian Lestrange. Alexander fut alors le plus heureux et fier des hommes. Cet enfant était son héritier celui qui, comme lui, apprendrait à gérer leur lignée. Lignée qui semblait stagner par sa réputation voire disparaître lorsque tous se tournèrent subitement vers Harry Potter, ce dernier entrant à Poudlard en 1991. Alexander n’en faisait rien tâchant d’être neutre sur le sujet et attendant une opportunité qui tardait à poindre à son grand damne. Entre enfants à gérer, en particulier Arya dont une légilimencie innée fut découverte par hasard et à ses dépens et la vie notoire du département de la justice magique, Alexander avait de quoi à s’agacer, à s’énerver. Que ce soit ce secret qu'avait longtemps garder Morgana envers leur fille et l’éducation stricte de ses enfants, Alexander ne savait pas toujours où donner de la tête dans sa vie privée alors que, dans la sphère publique, les déboires de Lucius Malefoy n’arrangeaient pas sa cause. Pour cela, il appréciait des moments de détente au piano ou en pratiquant l’occlumencie.


1995 marquait un tournant dans sa vie soit la renaissance du Seigneur des Ténèbres puis, la libération de son père, son oncle et sa tante quelques mois plus tard. Mère et fils non seulement surpris et émus par ce renouveau, furent aussi choqués. Choqué par le changement, surtout mental, de Rabastan. Maintenant plus radical que jamais, son père fit demander d’apposer la marque des ténèbres sur l’avant-bras gauche de son fils au Seigneur des Ténèbres. Force. Force avait empli tout l’être d’Alexander Corvus Lestrange à sa première rencontre avec Lord Voldemort. Crainte aussi. La crainte se mélangeait, ainsi, à la détermination de vaincre. Enfin. Là, devant cet homme, il savait que sa vie venait de prendre un tournant sans équivoque. Les années suivantes ne furent que bouleversements, changements que son rêve enfantin attendait depuis si longtemps qu’il n’y croyait plus. Loyal envers Lord Voldemort, Alexander Corvus Lestrange fut un homme de l’intérieur avant la prise du Ministère de la Magie et réussissant à rester mangenmage en 1997. Certes, une résistance s’était ensuivie autour de Harry Potter et la guerre se déclarait en 1998. Une guerre sans merci à Poudlard dans laquelle tous les Lestrange participaient avec force loyauté et rage de vaincre. Enfin ! Enfin, on l’acclamerait pour ce qu’il était. La guerre ne laissa pas que des points positifs, car durement blessé au bras, Alexander avait aussi perdu sa baguette magique au cœur d’un duel. Pourtant, la mort de Harry Potter par la main du Seigneur des Ténèbres lui-même n’avait de cesse de supprimer les mauvais en ce 2 mai 1998.


Une cicatrice restait sur son avant-bras droit après la guérison de celui-ci. Une cicatrice qui n’aurait rien de magique bien sûr, mais qui ramenait fièrement Alexander Corvus Lestrange d’être né un 31 juillet tout comme Harry Potter. Simplement, lui il était en vie. Après la guerre alors qu’il y avait tant à faire, Alexander se munie rapidement d’une nouvelle baguette magique. Celle-ci était caractérisée d’un cœur de ventricule de dragon, d’un bois de cerisier portant jusqu’à 28,5 cm de long et svelte. Ainsi, ayant fort à faire pour rebâtir Poudlard et même la société magique le Seigneur des Ténèbres ne laissait point de place à la paresse. Les plus proches mangemorts de Lord Voldemort, dont lui-même, furent aux premiers rangs de la reconstruction de Poudlard et des changements apportés au Ministère de la Magie. Amenant une présence presque rassurante par son charisme, Alexander Corvus Lestrange eut l’honneur d’être nommé Président-sorcier du Mangenmagot en 1999 puis, il devenait le bras droit du Seigneur des Ténèbres l’année suivante. Ce poste l’amenait à être le visage du Ministère de la Magie parfois plus que le Seigneur des Ténèbres lui-même. C’était une responsabilité qui allait comme un gant à Alexander. Un poste de responsabilité qui le hissait au sommet du pouvoir, ou presque, ramenant alors son rêve enfantin crut totalement impossible de prime abord. Outre ces années de changements durement désirées, Alexander devait aussi prendre la décision de laisser son père cloîtré au manoir. En effet, ce dernier semblait très friand de parler de manière trop radicale partout pouvant trop facilement heurter la réputation des Lestrange : mère et fils durent, ainsi, agir. Sur un ton plus joyeux, un événement mit enfin un véritable sourire de fierté sur les traits d’Alexander en 2001 : le mariage de sa fille Arya avec Théodore Nott. Malgré les fiançailles ratées avec Keylian Yaxley, Alexander sut rebondir avec Théodore malgré la rébellion de celle-ci avec Keylian. Étrangement, Alexander voyait plus en Arya qu’en Ayla ou même Adrien. Qu’il le veuille ou non, elle était aussi tête brûlée que lui à son âge. Nonobstant cette fierté de la voir semblable à lui, il n’avait, pourtant, aucun compte à rendre à sa fille. Un mariage Lestrange-Nott fut finalement plus prometteur qu’un mariage Yaxley-Nott et Arya devait lui obéir comme lui l’avait toujours fait face à son père.