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[FB Octobre 2000] Calvaire Fraternelle [PV Arya]
Mar 18 Jan - 21:45
Calvaire Fraternelle
Octobre 2000
Il n’y a qu'Arya pour avoir des plans aussi saugrenus ! Le faire sortir loin de tout contact avec un livre juste pour boire un verre fraternel, non mais quel idée ! Mais nous allons tout vous raconter et vous éclairer sur les circonstances de ceci. Cela faisait un mois qu’il avait commencé sa quatrième année au sein de l’école de Poudlard chez les Aigles. Le jeune Adrian n’était pas une personne appréciant d’être populaire, bien au contraire ! Le jeune adolescent devenant progressivement un homme, un bel homme qui plus est, et bien évidemment il attirait les regards de la gente féminine cherchant à être la première petite-amie du jeune Lestrange et qui sait, devenir même la fiancée de ce dernier !
Le jeune quatrième année avait pris l'habitude d’étudier ou lire des livres à la bibliothèque, dans la salle commune des érudits ou dans une zone sans aucune présence humaine, bref tout les endroits possibles où il pouvait obtenir de la tranquillité. Certes, il aimait charmer les demoiselles, en bon gentleman parfaitement éduqué qu’il était, mais cela s’arrêtait là : Il n’embrassait pas les gentes dames rien que pour les frustrer et agacer. Mais voilà que soudainement, pendant qu’il révisait les Sortilèges, le jeune Adrian recevait un hibou de la part de l’une de ses grandes sœurs, en l’occurrence la pire des deux, Arya. Soupirant avant d’ouvrir la lettre, sachant très bien qu’elle adorait l’embêter et ce, bien malgré lui. Ouvrant la lettre, le jeune Adrian se mit à la lire : elle l’invitait à boire un verre aux Trois Balais.
À boire un verre aux Trois Balais ? Non mais, elle a subit un sort de confusion ou quoi !? Lui… boire un verre, ce n’était pas du tout son style ! Bien au contraire ! Le jeune homme aux yeux sombres allait jeter la lettre lorsqu’il lit soudainement en bas de la lettre, un post-scriptum disant très clairement que si il n’allait pas avec elle, elle irait toute seule aux Trois Balais en faisant allusion à Père. Misère… le chef de famille l’avait inculqué dès son plus jeune qu’il était l'homme de la famille si ce dernier disparaitrait et qu’il devait prendre soin de ses grandes sœurs et ses deux grandes sœurs en question, le savaient parfaitement ! Agacé, le jeune quatrième année se mit à grommeler :
— Par la barbe de Merlin ! Quel plaie d’avoir des grandes sœurs !
Et c’est ainsi que malgré lui, le jeune serdaigle s’était retrouvé à quitter Poudlard, direction Pré-au-Lard, un village se trouvant non loin de l’école de sorcellerie. Il avait depuis l’année précédente l’autorisation de sortir à Pré-au-Lard mais les rare fois où il allait, c’était pour s’acheter des ouvrages et assouvir davantage ses connaissances et son intellectuel. Étant donné l’éducation qu’il avait reçue du chef de famille des Lestrange, le jeune homme avait fait un effort vestimentaire en s'habillant de manière simple mais chic et tout en noir, une couleur qui lui plaisait bien.
Il était arrivé à l'avance par rapport à l’heure du rendez-vous, protocole oblige pour un gentleman et attendit sagement sur sa grande sœur, regrettant déjà de ne pas avoir amené un livre pour lire en attendant qu’elle arrive. Pourvu que ce calvaire n’allait pas durer des heures, mais connaissant Arya, ce n’était pas gagné d’avance qu’il allait obtenir le calme qu’il lui plaît tant pour pouvoir étudier davantage.
Il n’y a qu'Arya pour avoir des plans aussi saugrenus ! Le faire sortir loin de tout contact avec un livre juste pour boire un verre fraternel, non mais quel idée ! Mais nous allons tout vous raconter et vous éclairer sur les circonstances de ceci. Cela faisait un mois qu’il avait commencé sa quatrième année au sein de l’école de Poudlard chez les Aigles. Le jeune Adrian n’était pas une personne appréciant d’être populaire, bien au contraire ! Le jeune adolescent devenant progressivement un homme, un bel homme qui plus est, et bien évidemment il attirait les regards de la gente féminine cherchant à être la première petite-amie du jeune Lestrange et qui sait, devenir même la fiancée de ce dernier !
Le jeune quatrième année avait pris l'habitude d’étudier ou lire des livres à la bibliothèque, dans la salle commune des érudits ou dans une zone sans aucune présence humaine, bref tout les endroits possibles où il pouvait obtenir de la tranquillité. Certes, il aimait charmer les demoiselles, en bon gentleman parfaitement éduqué qu’il était, mais cela s’arrêtait là : Il n’embrassait pas les gentes dames rien que pour les frustrer et agacer. Mais voilà que soudainement, pendant qu’il révisait les Sortilèges, le jeune Adrian recevait un hibou de la part de l’une de ses grandes sœurs, en l’occurrence la pire des deux, Arya. Soupirant avant d’ouvrir la lettre, sachant très bien qu’elle adorait l’embêter et ce, bien malgré lui. Ouvrant la lettre, le jeune Adrian se mit à la lire : elle l’invitait à boire un verre aux Trois Balais.
À boire un verre aux Trois Balais ? Non mais, elle a subit un sort de confusion ou quoi !? Lui… boire un verre, ce n’était pas du tout son style ! Bien au contraire ! Le jeune homme aux yeux sombres allait jeter la lettre lorsqu’il lit soudainement en bas de la lettre, un post-scriptum disant très clairement que si il n’allait pas avec elle, elle irait toute seule aux Trois Balais en faisant allusion à Père. Misère… le chef de famille l’avait inculqué dès son plus jeune qu’il était l'homme de la famille si ce dernier disparaitrait et qu’il devait prendre soin de ses grandes sœurs et ses deux grandes sœurs en question, le savaient parfaitement ! Agacé, le jeune quatrième année se mit à grommeler :
— Par la barbe de Merlin ! Quel plaie d’avoir des grandes sœurs !
Et c’est ainsi que malgré lui, le jeune serdaigle s’était retrouvé à quitter Poudlard, direction Pré-au-Lard, un village se trouvant non loin de l’école de sorcellerie. Il avait depuis l’année précédente l’autorisation de sortir à Pré-au-Lard mais les rare fois où il allait, c’était pour s’acheter des ouvrages et assouvir davantage ses connaissances et son intellectuel. Étant donné l’éducation qu’il avait reçue du chef de famille des Lestrange, le jeune homme avait fait un effort vestimentaire en s'habillant de manière simple mais chic et tout en noir, une couleur qui lui plaisait bien.
Il était arrivé à l'avance par rapport à l’heure du rendez-vous, protocole oblige pour un gentleman et attendit sagement sur sa grande sœur, regrettant déjà de ne pas avoir amené un livre pour lire en attendant qu’elle arrive. Pourvu que ce calvaire n’allait pas durer des heures, mais connaissant Arya, ce n’était pas gagné d’avance qu’il allait obtenir le calme qu’il lui plaît tant pour pouvoir étudier davantage.
Arya Nott-Lestrange
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Re: [FB Octobre 2000] Calvaire Fraternelle [PV Arya]
Mer 19 Jan - 20:17Cela faisait un moment qu’Arya n’avait pas passé un moment plus ou moins agréable en la compagnie de son jeune frère : Adrian. C’est pour cette raison qu’elle avait essayé de lui parler, mais elle n’avait pas pu le croiser, c’est pourquoi, elle lui avait donc envoyé un hibou, tout en y insérant un post-scriptum en bas du courrier afin de parer à un éventuel refus de la part de son frère, que la jeune femme pouvait être des plus vicieuses parfois, mais le pire dans tout cela, c’est qu’elle n’avait jusque-là, jamais regretter d’agir ainsi et elle n’était donc pas encore prête à changer de technique.
Elle pouvait grâce à cette qualité ou bien ce défaut, être très persuasive, et elle l’avait bien évidemment été une nouvelle fois, car elle n’avait pas pu s’empêcher de sourire en lisant le simple mot d’acceptation que lui avait adressé son frère en retour. Comme à son habitude, il n’était que très peu bavard et un simple « D’accord » était fermement inscrit sur le parchemin de réponse qu’il lui avait adressé.
Le lendemain, elle s’était convenablement habillée, et comme à son habitude, elle était en retard. Cela ne voulait pas pour autant dire que la jeune sorcière était stressée ou encore qu’elle allait se dépêcher, bien au contraire, elle se contenta donc lorsqu’elle eut terminé, de se rendre tranquillement à pré au lard, sans se presser, et en prenant tout le temps qu’elle pouvait prendre. A bonne hauteur, elle s’empressa de lui faire peur, (comme elle en avait toujours bien l’habitude) : « BOUHH » s’empressa-t-elle de lui dire, pendant qu’il manifestait une certaine surprise, « Contente de te voir petit-frère, je savais que tu n’allais pas me laisser toute seule aujourd’hui » lui dit-elle tout simplement « J’avais envie de passer un peu de temps avec toi » s’enquit-elle de lui dire (sans lui dire qu’en réalité, elle n’avait personne d’autre aujourd’hui pour lui tenir compagnie « On y va ? » lui dit-elle tout simplement avant de reprendre « Tu es très classe aujourd’hui, mais tu sais, tu aurais pu t’habiller d’une façon moins formelle » ajouta-t-elle.
Elle pouvait grâce à cette qualité ou bien ce défaut, être très persuasive, et elle l’avait bien évidemment été une nouvelle fois, car elle n’avait pas pu s’empêcher de sourire en lisant le simple mot d’acceptation que lui avait adressé son frère en retour. Comme à son habitude, il n’était que très peu bavard et un simple « D’accord » était fermement inscrit sur le parchemin de réponse qu’il lui avait adressé.
Le lendemain, elle s’était convenablement habillée, et comme à son habitude, elle était en retard. Cela ne voulait pas pour autant dire que la jeune sorcière était stressée ou encore qu’elle allait se dépêcher, bien au contraire, elle se contenta donc lorsqu’elle eut terminé, de se rendre tranquillement à pré au lard, sans se presser, et en prenant tout le temps qu’elle pouvait prendre. A bonne hauteur, elle s’empressa de lui faire peur, (comme elle en avait toujours bien l’habitude) : « BOUHH » s’empressa-t-elle de lui dire, pendant qu’il manifestait une certaine surprise, « Contente de te voir petit-frère, je savais que tu n’allais pas me laisser toute seule aujourd’hui » lui dit-elle tout simplement « J’avais envie de passer un peu de temps avec toi » s’enquit-elle de lui dire (sans lui dire qu’en réalité, elle n’avait personne d’autre aujourd’hui pour lui tenir compagnie « On y va ? » lui dit-elle tout simplement avant de reprendre « Tu es très classe aujourd’hui, mais tu sais, tu aurais pu t’habiller d’une façon moins formelle » ajouta-t-elle.
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Re: [FB Octobre 2000] Calvaire Fraternelle [PV Arya]
Lun 14 Fév - 23:34Calvaire Fraternelle
Octobre 2000
Attendant sur l’une de des grandes sœurs, la pire du duo on pourrait même dire, le jeune Adrian entendit un BOUH qui l’’effrayait aussitôt après s’être perdu dans ses pensées concernant une jeune femme qu’il appréciait beaucoup. Entendant la jeune Arya être contente de le voir, piquant bien sur le sujet qu’il ne pouvait pas la laisser seule, le jeune homme de quinze ans prit une mine faussement boudeuse avant de répondre :
— Merlin ! Tu pourrais arrêter de chercher à me faire peur à chaque fois ? Bien évidemment que je n’allais pas te laisser seule, Père me tuerait si je le ferais !
Lorsqu’il entendit sa grande sœur Arya dire qu’elle voulait passer du temps, le jeune serdaigle réfléchissait si c’était une plaisanterie de sa part ou si c’était sincère. Laissant le bénéfice du doute, le jeune homme à la chevelure châtain foncé répondit à son aînée :
— Je ne sais pas si je dois te croire ou non à cela. Dans le doute, on va dire que cela ne fait pas de mal de se voir, même si on se doit assez se supporter durant les vacances chère grande sœur.
Lorsque cette dernière lui demandait d’y aller, le jeune héritier des Lestrange soupirait étant prêt à aller aux Trois Balais avec l’une de ses grandes sœurs lorsqu’il entendit cette dernière dire qu’il était très classe malgré qu’il soit un peu trop formel. À cette remarque plutôt gentille, le jeune homme souriait sincèrement à Arya avant de répondre :
— Merci, tu es élégamment bien habillée aussi Arya. Est-ce pour cette raison que tu arrives toujours en retard ?
Souriant avec malice à cette pique, les deux adolescents étaient prêts. Direction les Trois Balais pour aller boire un verre. Peut-être qu’il allait faire des rencontres fort intéressantes ! Tout n’est pas perdu d’une journée de ce genre !
Attendant sur l’une de des grandes sœurs, la pire du duo on pourrait même dire, le jeune Adrian entendit un BOUH qui l’’effrayait aussitôt après s’être perdu dans ses pensées concernant une jeune femme qu’il appréciait beaucoup. Entendant la jeune Arya être contente de le voir, piquant bien sur le sujet qu’il ne pouvait pas la laisser seule, le jeune homme de quinze ans prit une mine faussement boudeuse avant de répondre :
— Merlin ! Tu pourrais arrêter de chercher à me faire peur à chaque fois ? Bien évidemment que je n’allais pas te laisser seule, Père me tuerait si je le ferais !
Lorsqu’il entendit sa grande sœur Arya dire qu’elle voulait passer du temps, le jeune serdaigle réfléchissait si c’était une plaisanterie de sa part ou si c’était sincère. Laissant le bénéfice du doute, le jeune homme à la chevelure châtain foncé répondit à son aînée :
— Je ne sais pas si je dois te croire ou non à cela. Dans le doute, on va dire que cela ne fait pas de mal de se voir, même si on se doit assez se supporter durant les vacances chère grande sœur.
Lorsque cette dernière lui demandait d’y aller, le jeune héritier des Lestrange soupirait étant prêt à aller aux Trois Balais avec l’une de ses grandes sœurs lorsqu’il entendit cette dernière dire qu’il était très classe malgré qu’il soit un peu trop formel. À cette remarque plutôt gentille, le jeune homme souriait sincèrement à Arya avant de répondre :
— Merci, tu es élégamment bien habillée aussi Arya. Est-ce pour cette raison que tu arrives toujours en retard ?
Souriant avec malice à cette pique, les deux adolescents étaient prêts. Direction les Trois Balais pour aller boire un verre. Peut-être qu’il allait faire des rencontres fort intéressantes ! Tout n’est pas perdu d’une journée de ce genre !
Arya Nott-Lestrange
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Re: [FB Octobre 2000] Calvaire Fraternelle [PV Arya]
Ven 25 Fév - 21:17Après avoir volontairement effrayé son jeune frère, Arya s’empressa, satisfaite, de le remercier pour sa présence, même si elle savait pertinemment que son paternel, l’aurait probablement achevé (pas véritablement) s’il lui aurait posé un lapin. Arya pouvait être tout particulièrement convaincante lorsqu’elle le voulait, même si cela ne fonctionnait pas toujours, surtout lorsqu’elle se trouvait être en compétition avec son propre frère, son père ne cachant que très peu ses préférences. Ce qui avait parfois tendance à l’énerver, même si elle ne le montrait pas, il lui arrivait souvent de se venger, sous diverses formes et manières (à sa façon bien entendu), même si elle ne faisait jamais rien de trop grave ou dangereux, ce qui lui plaisait, c’était de mettre des bâtons dans les roues de son propre frère ou encore de le faire tourner en bourrique et elle y arrivait à la perfection (et il le lui rendait très bien).
Ce dernier, fut bien évidemment surpris, ce qui eut pour effet de satisfaire la sorcière, qui s’empressa d’écouter son jeune frère parler de leur paternel et de ce qu’il pourrait faire s’il apprenait une mauvaise conduite de son fils, elle se retint de rire, et elle s’empressa de lui faire savoir qu’elle était contente de le voir et qu’elle était ravie de passer une journée (tout du moins quelques heures) en sa compagnie. Bien évidemment, son frère en fut surpris, il s’empressa de lui demander si elle était sérieuse, mais rapidement, il mit ça sur sa bonne humeur et il s’empressa de la suivre. Pendant ce temps, la sorcière s’empressa de le complimenter sur sa tenue, elle ne put s’empêcher de l’inviter à être moins formel en sa compagnie, ce qui était en revanche le cas pour elle. Il s’empressa d’en faire tout autant tout en la taquinant de plus belle en lui demandant si sa tenue splendide du jour et les autres, étaient à l’origine de son retard habituel.
Elle ne put s’empêcher de lui adresser un petit regard noir, mais rapidement, elle entreprit de poursuivre « Une Lestrange doit se faire désirer et être belle et habillée convenablement dans n’importe quelle situation » lui dit-elle tout simplement tout en lui adressant une moue faussement vexée, puis elle reprit « Je n’ai pas le droit de passer un moment fort agréable et tranquille en la compagnie de mon frère, c’est vexant, tu me vexes vraiment, moi qui avait vraiment prévu de faire quelques efforts, je me vois contrainte de changer quelques plans » s’enquit-elle de préciser, tout en entrant dans les trois balais « Je t’interdis de fuir à présent » conclut-elle. Elle espérait que sa menace serait suffisante, car elle était vraiment prête à tout pour se venger s’il fuyait. Elle avait énormément de possibilités, soit-dit en passant, mais elle se contenta de ne plus y penser et de s’installer, la carte en main, elle reprit « Que veux-tu commander ? C’est moi qui offre » lui dit-elle, venait-elle vraiment de lui dire cela ?
Ce dernier, fut bien évidemment surpris, ce qui eut pour effet de satisfaire la sorcière, qui s’empressa d’écouter son jeune frère parler de leur paternel et de ce qu’il pourrait faire s’il apprenait une mauvaise conduite de son fils, elle se retint de rire, et elle s’empressa de lui faire savoir qu’elle était contente de le voir et qu’elle était ravie de passer une journée (tout du moins quelques heures) en sa compagnie. Bien évidemment, son frère en fut surpris, il s’empressa de lui demander si elle était sérieuse, mais rapidement, il mit ça sur sa bonne humeur et il s’empressa de la suivre. Pendant ce temps, la sorcière s’empressa de le complimenter sur sa tenue, elle ne put s’empêcher de l’inviter à être moins formel en sa compagnie, ce qui était en revanche le cas pour elle. Il s’empressa d’en faire tout autant tout en la taquinant de plus belle en lui demandant si sa tenue splendide du jour et les autres, étaient à l’origine de son retard habituel.
Elle ne put s’empêcher de lui adresser un petit regard noir, mais rapidement, elle entreprit de poursuivre « Une Lestrange doit se faire désirer et être belle et habillée convenablement dans n’importe quelle situation » lui dit-elle tout simplement tout en lui adressant une moue faussement vexée, puis elle reprit « Je n’ai pas le droit de passer un moment fort agréable et tranquille en la compagnie de mon frère, c’est vexant, tu me vexes vraiment, moi qui avait vraiment prévu de faire quelques efforts, je me vois contrainte de changer quelques plans » s’enquit-elle de préciser, tout en entrant dans les trois balais « Je t’interdis de fuir à présent » conclut-elle. Elle espérait que sa menace serait suffisante, car elle était vraiment prête à tout pour se venger s’il fuyait. Elle avait énormément de possibilités, soit-dit en passant, mais elle se contenta de ne plus y penser et de s’installer, la carte en main, elle reprit « Que veux-tu commander ? C’est moi qui offre » lui dit-elle, venait-elle vraiment de lui dire cela ?
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