Maximilian, bien qu'inquiet, ne put s'empêcher de sourire face à l'attitude taquine et espiègle d'Isabella. Sa femme avait cette capacité unique à alléger l'atmosphère même dans les moments les plus sérieux. Il répondit à son baiser avec passion, se laissant emporter par l'énergie vibrante de leur connexion.

Lorsqu'elle se plaça à califourchon sur lui, Maximilian la regarda avec un mélange de surprise et d'amusement. Les émotions intenses se bousculaient dans son regard, oscillant entre l'inquiétude persistante et l'amour qu'il éprouvait pour cette femme forte et indépendante.

Isabella joua avec sa barbe, taquinant gentiment son mari. Ses paroles légères apportaient un sourire aux lèvres de Maximilian, mais il ne pouvait pas tout à fait laisser de côté ses préoccupations.

"Isabella, même si ma barbe devenait blanche comme la neige, mon amour pour toi resterait éternellement jeune," répondit-il avec une pointe d'humour, cherchant à dissiper légèrement la tension.

Lorsqu'elle feignit la surprise et fit des commentaires sur son âge, Maximilian laissa échapper un rire profond. "Mon âge est un secret bien gardé, ma chère. Peut-être que je suis beaucoup plus jeune que tu ne le penses. Après tout, la magie peut avoir des effets étonnants sur le vieillissement."

Il prit doucement le visage d'Isabella entre ses mains, plongeant son regard dans le sien. "Mais trêve de plaisanteries, Isabella. Ta sécurité est ma priorité absolue, et je ne peux m'empêcher de m'inquiéter. Promets-moi simplement de rester vigilante et de revenir vers moi saine et sauve. C'est tout ce que je demande."

Il caressa tendrement la joue d'Isabella, cherchant une réassurance silencieuse dans le contact physique. Les émotions complexes dans son regard montraient à quel point il tenait à elle, à quel point elle était le centre de son univers.

"Mais sa voudrait dire que je suis une cougar?!"

Elle bouffa de rire en imaginant la scène d'un maximilian tout jeune et elle le tenant par la main. Encore une fois il lui transmit son inquiétude pour sa mission,sans le vouloir une légère appréhension se forma dans sa gorge avant de disparaite aux premiers mots que la femme prononça

"Je t'assure que je rentrerais en un seul morceau,chéri ton inquiétude est honorable mais tu va finir avec des ulcères pleins l'estomacs" elle sauta du goblin au dragon (coq à l'ane version sorcier) "D'ailleurs je me demande ce que sera le repas de ce soir, le cuisinier aurait trouver quelques ingrédients de saison sur le chemin de traverse, il nous reste ce vieux sauvignon? tu sais celui qu'on avait trouvé en France dans ce petit vignoble?"

Ce jour là pourtant on aurait pas cru que deux personnes aller ce pointer sous un belle orage à la porte du caviste de la ville, les yeux qu'avait eu le commerçant aurait été mémorable à photographier, les deux sorciers ne craignent rien grâce à la magie qui les empêcher de vraiment être tremper,ils avaient juste parcouru les quelques mètres restant sans leurs sortilèges pour se fondre dans le paysage et le déluge n'avait pas perdu son temps pour que de l'eau dégouline de la chevelure de la Rosier, Isabella revient un peu à la réalitée devançant l'éventuelle question de son mari

"Oui,j'ai une envie soudaine qui sort de je ne sais ou mais une petite coupe ne fait de mal à personne"

Si ce n'était pas le vin, c'était dernièrement les envies de changements de décoration qui lui prenait d'un coup,pourtant ce n'était pas de l'ennuie juste une nouvelle lubie. Le bain commença à refroidir, Isabella se leva hors de la baignoire pour se sécher, elle prit une brosse qu'elle anima d'un sort laquel se mit au travail de démélant,brin par brin sa chevelure. Elle commença à mettre un peu de crême sur son visage, c'était le moment de faire quelques attention particulière à son corps.

"Crois tu notre ministre ira bientot en campagne pour faire valoir son autorité sur les rebelles?"


@Maximilian Rosier

Maximilian observait Isabella avec amusement alors qu'elle riait à l'idée d'être qualifiée de cougar. Leurs rires se mêlaient, dissipant momentanément les soucis qui avaient assombri son expression. Il appréciait la légèreté qu'elle apportait à leur conversation, même dans les moments les plus sérieux.

"Chérie, même si tu étais une cougar, tu serais la plus magnifique et la plus redoutable des cougars que le monde ait jamais connus," répliqua-t-il avec un clin d'œil, cherchant à prolonger l'atmosphère légère.

Cependant, l'inquiétude persistante de Maximilian refit surface lorsqu'elle aborda le sujet de sa mission. Ses paroles réconfortantes atténuèrent temporairement ses préoccupations, mais il ne pouvait s'empêcher de ressentir cette pointe d'anxiété. Il décida de ne pas la laisser dominer l'instant et se joignit à elle dans le changement de sujet.

"Tu as raison, mon amour. L'inquiétude n'est pas la meilleure compagne d'un estomac. Et pour le repas, je suis curieux de découvrir les délices que notre cuisinier aura dénichés. Quant au sauvignon, tu sais que j'ai toujours préféré le rouge au blanc. Ouvre le sauvignon, j'ouvrirai le Médoc. Je pense qu'ils seront parfaits pour accompagner cette soirée."

Alors qu'ils discutaient des plaisirs de la table, Isabella ramena la réalité du moment en mentionnant leur récente escapade sous l'orage pour acheter du vin. Maximilian ne put s'empêcher de sourire en repensant à la surprise du caviste devant leur apparence quasi sèche malgré la pluie battante.

Lorsque Isabella évoqua sa soudaine envie de vin, Maximilian se leva de la baignoire pour la rejoindre, enveloppé dans une serviette. Il lui offrit un baiser doux sur le front avant de répondre à sa question sur la politique.

"La situation politique est complexe en ce moment. Je lui ai conseillé de s'afficher davantage pour rassurer la population, mais il préfère régner comme un tyran plutôt que comme un homme de loi juste. Il n'était pas surprenant que la population soit mécontente. Cependant, cela pourrait entraîner des tensions supplémentaires. Nous devons rester attentifs aux développements et agir en conséquence, mais ce n'est pas une tâche facile dans ce climat tumultueux." Il soupira. "Ma priorité, c'est la sécurité de nos enfants." Maximilian sortit à son tour du bain avant de vider la baignoire, de se sécher et de s'habiller d'un coup de baguette magique. Il se plaça derrière sa femme avant de prendre d'assaut son cou.

Mais un bruit attira l'attention de Maximilian, une voix retentit dans la demeure, "Mère, père, je suis rentré." La voix ne laissait pas de place au doute, c'était Freyja. Maximilian regarda sa femme avec déception. Il aurait tellement voulu en profiter davantage.

"Bon, je te laisse sortir en première, j'attendrai quelques minutes," un plan particulier afin que leur fille ne se doute de rien.

Le moment délicieux qu'ils passerent en ce moment même amena la légéreté qui dissipa bien des tracas malgré tout elle se mordit la langue d'avoir parler de politique et de sa mission rendant son mari soucieux, pourtant ce n'était pas là son intention mais elle avait parler trop vite pour ce coup ci.
Elle ferma les yeux appréciant les baisers dans le cou qu'il lui offret, son corps se mit à repartir comme du lait sur le feu, elle se prépara mentalement à de nouveau lui sauter dessus quand une voix résonna, une douche froide s'abattue sur les deux mais rapidement le rôle de mére revient à la charge, cependant elle fit expret de mettre des sous vêtements qui donner de belles formes à son corps devant Maximilien.
Mettant un peu de distance entre eux pour le chauffer légérement, elle mit un peu plus de temps que d'habitude pour s'habiller, elle prit enfin sa baguette pour refaire sa coiffure et alors qu'elle passa la porte, elle lança un petit sort pour que le pantalon tombe, elle ne se retourna pas,bouffa de rire avant de déguerpir à grandes enjambers pour réceptionner sa fille qui commençait à monter les premières marches.
Isabella comme tout les jours prit le temps d'accueillir sa fille après l'école et de prendre de ses nouvelles ainsi que les devoirs a venir.


@Maximilian Rosier