prénom : Asher "Ash" Lilian.  nom :Crowley. Issus de manière lointaine de la famille Flint, son arrière grand-mère fut renier de cette dernière quand elle tomba amoureuse d'un sang-mêlé, devenant une paria pour ses proches. Elle décida de fuir, épousant ainsi Graham Crowley. âge & date de naissance : 27 ans, né le 23 mars 1974 nature du sang : Sang-mêlé. Ses parents sont tout deux de sang-mêlé, sorciers comme lui, Asher ne peut se considéré autrement. École & maison : Serdaigle. Autrefois à Poudlard. profession :Gérant d'une auberge, qui propose autant un endroit pour dormir, que de quoi manger, ou boire.   Affiliation : Rebelle. Asher aurait put être impassible et se contenter de survivre comme il le pouvait avec le régime mit en place. Faisant ce qu'il pouvait lorsque Voldemort pris le pouvoir, il lui fallut le déclic de livrer son meilleur ami rechercher en tant que né-moldus et rebelle actif, pour qu'Asher prenne conscience qu'il ne pouvait plus endurer tout ça. Il ne veut pas survivre, il veut vivre. Libre. Sans contrainte. Alors il fera tout ce qui est en son pouvoir pour ça, aidant à présent au lieux de livrer les gens qui en ont besoin. Crédit : Exordium (avatar) hale (gif)

Il est très difficile de décrire un caractère vous savez. En fonction de la personne, vous n’agirez jamais de la même manière, une adaptabilité sans précédent que beaucoup oublie de prendre en compte. C’est instinctif, c’est aussi une question de survie, de savoir si vous cherchez les problèmes ou au contraire si vous chercher à les éviter.

Asher pour certain a toujours eu le cœur sur la main, altruiste pour d’autres, toujours prêt à aider quand il le pouvait n’exigeant la plupart du temps aucune contrepartie en retour. Ce n’est pas faut d’avoir proposer, mais il a toujours balayé le tout d’un revers de main, un petit sourire. Il n’en avait pas besoin de la reconnaissance des autres. En soit il aidait les plus jeunes depuis Poudlard uniquement par ennuie. Ayant toujours eu des facilités dans la plupart des disciplines, élève moyen pouvant s’avérer très bon quand il le désirait, il préférait aider les plus jeunes dans leur difficultés, bien plus que de se pencher sur des livres et des parchemins pendant des heures. Des élèves ont affirmé que ses conseils étaient bons, qu’il avait à cœur de prendre les choses et que ceux qu’il aide réussisse – surement aurait-il fait un bon professeur – mais d’autres ont affirmer que ses conseils étaient de temps à autre douteux. Tout dépend de comment on les interpréter et comment il les formulait en somme. Au moins n’a-t-on jamais pus lui enlever la volonté d’aider, quelque chose qui est toujours resté au fond de lui, se sachant capable de bien des choses, un sourire angélique prêt à risquer sa propre entreprise pour le bien des autres.

Fonceur, c’est un autre trait de sa personnalité, dirons-nous qu’il ne réfléchit pas que vous pouvez soudainement aller le voir discuter avec une personne parce que l’envie lui prend, qu’il sait que pour obtenir quelque chose, parfois ce n’est pas nécessaire de passer par quatre chemins. On lui a affirmer qu’il aurait été un bon gryffondor de ce fait par son courage, bien que le maison serdaigle lui aille comme un gant du fait de sa curiosité et sa logique. Ash n’agit pas sans raison, ni sans but, toujours conscients de ses gestes et ayant appris à prendre soin de ses mots en fonction de la personne qu’il avait en face. L’esprit toujours en mouvement, prêt à toute éventualité, c’est bien dans le fait de ne jamais savoir à l’avance ce qui peut arriver qui permet d’y être prêt. Il est capable de réagir vite faces à de nombreuses situations, les années lui ayant transmis les valeurs qu’il y avait à livrer un combat, mais à choisir ses dernier. Savoir quand il faut combattre, ou laisser couler est n somme une vertu. Et pourtant, il pourrait vous sembler lâche de ce point de vue-là, à ne pas vouloir intervenir en n’y gagner rien, mais la patience à du bon, là où derrière ses airs de joli garçon, il sait que frapper au bon moment assurera toujours une victoire.

Il est parfaitement conscient du monde qui l’entoure des problèmes qui pourraient survenir jusqu’à lui, les anticipant comme il le peut. Canaliser ses émotions, Asher a du apprendre à le faire, l’empathie trop grande, lui faisant développer des émotions trop fortes qui lorsqu’elles deviennent insupportables à gérer, prennent totalement possession de lui. Ceux sont, elles, qui régissent la plupart du temps ses choix, sa vie, décidant à tout moment de se laisser envahir par la crainte, la colère, la tristesse, l’amour, le faisant s’emballer sur un sujet, même quand ce dernier est si minime ou juger sans importance par d’autres. Il se sait émotif, apprenant à éviter de les montrer en public, l’une de ses plus grosses faiblesse, ne laissant que peu de monde voir ces dernières, ce genre de moment de doute et d’angoisse qui peuvent le saisir depuis un moment. Contrôler son ton, ses mots ne fut pas une tâche facile, le laissant souvent seul avec lui-même, ce genre d’instant où il lâche tout, pour éviter de s’auto-détruire. Le reste n’est que carapace pour éviter de souffrir par le biais des autres.

Certains le diront mesquin, le sourire enjôleurs, le regard fier, se montrant opportuniste pour acquérir de nombreuses informations qu’il semble nécessaire. Il les utilise alors pour se protéger lui-même, pour protéger sa famille quand il le peut ou les gens qui lui sont cher. Et jamais il ne trahira ceux qui ont mis sa confiance en lui, sortant des pirouettes de son chapeau dans cette optique. Asher a toujours su bien parler, embobiner ses interlocuteurs par de belles paroles, surtout savoir ce que les autres attendaient de lui. Courber l’échine quand il le juge nécessaire, ne l’a jamais dérangé, même quand d’autres criaient à sa lâcheté. Asher connait les injustices du monde, essayant du mieux qu’il peut de rendre le tout moins brutal, et le monde plus beau à sa manière. Dans toute cette complexité, on le jugera parfois traitre, de vendre des informations, pourtant nécessaire pour protéger le plus grand nombre. Sa capacité à toujours savoir doser la moindre choses, lui ayant permis de se faire une place lentement, de garder la gérance de son auberge – à coup de pot-de-vin parfois – et de pouvoir garder toujours sa porte ouverte pour ceux qui en avaient besoin.

Personne ne croit au signe astrologique et pourtant on y retrouve des traits de caractères semblables à ceux qui sont nés proches de certaines étoiles et de certaines lunes. Le jour de notre naissance il est commun de regarder le ciel, de voir les tempêtes ou les lumière qui s’y dessine, peu importe ce qu’elles vont raconter, mais rêver a toujours été le propre de l’homme.  

La plume griffonnait le carnet avec attention, l’auberge silencieuse à cette heure tardive de la nuit, alors qu’un jeune homme brun observait avec attention son livre de compte. Ils étaient dans le rouge et cela faisait un moment maintenant. Ils tenaient bon pourtant, arrivant à gratter ça et là des sous pour que l’auberge ne rentre pas en faillite, offrant à tour de rôle certains avantages à des personnes dans cet unique but. Asher savait qu’il devrait diversifier ses activités, peut-être même transformer l’auberge afin d’y proposer d’autres expériences, mais sa mère s’y était toujours opposé. Elle n’avait plus sa tête depuis quelques temps, depuis le moment où son père avait disparu. Disparu, envolé, c’était bine le mot. Asher ne pensait pas qu’il soit mort. La guerre entre les sorciers avaient fait rage trois ans auparavant et à la suite de cela, quand Voldemort avait été déclaré vainqueur face à Harry Potter, Georges Crowley avait disparu, laissant à sa femme et son fils la gérance d’une auberge. Asher ne se destinait pas à reprendre la suite de l’entreprise familiale, une bâtisse qui avait appartenus à ses grands-parents paternels, acheter des années auparavant quand l’immobilier était au plus bas. Il avait pensé avoir le choix plus d’une fois, de son avenir, pouvoir prendre des décisions de son propre chefs, mais il fallait bien reconnaitre que voir sa mère sombrer petit à petit en dépression et dans une quasi-folie ne lui avait pas autorisé à la laisser seule. Sa sœur lui avait souffler de l’interner à Saint-Mangouste, pour son propre bien, pour qu’elle soit soigné, mais à chaque fois qu’Asher avait proposé ce genre de chose à Marisa Crowley, elle avait simplement souri en affirmant que tout allait bien. Alors il l’avait laissé faire, changer les draps de chaque chambre, faire le ménage des sols, des étagères et toujours afficher un sourire rayonnant sur son visage. C’était une marque de fabrique qu’il avait héritée, un sourire angélique qui donnait l’impression de se sentir bien quand on le voyait.

Asher se souvenait des premières fois où il avait vu sa mère sourire, rire et où par mimétisme alors qu’il n’était qu’un enfant, il avait souri par mimétisme. Son père en avait été ravis le faisait voler dans la pièce sous le rire du marmot. Une famille heureuse en tout point, deux enfants, une fille et un garçon, dans une forme de stéréotype. Asher était le cadet. Et cela ne le dérangeait pas, n’ayant que deux ans d’écart avec Sylvia Crowley, sa grande sœur, ils avaient toujours été très proches depuis l’enfance. Asher était le genre d’enfant sans cesse curieux, se plongeant dans les livres dès qu’il le pouvait, apprenant à lire et à écrire bien avant l’âge. Ses parents l’avaient inscrit dans une école publique où son côté rêveur lui avait parfois entraîner des problèmes, le faisant pleurer à chaude larmes sans être capable de le contrôler. Chaque mots prononcés qui paraissaient insultant lui assénant des coups de couteau en plein cœur. A cette époque alors il pleurait dans les jupes de sa mère qui lui affirmait que tout irait bien, quoiqu’il arrive. Asher y croyait. Avec les années et un peu de brutalité de la part de son ainé, il comprit qu’il devrait arriver à survivre tout seul, encore plus quand Sylvia partis à Poudlard, les pouvoirs magiques prédominants dans la famille qui bien que lointain avaient du sang d’une grande famille de sorcier. Famille Flint, une histoire raconté pour mieux s’endurcir, ou pour mieux critiquer ceux qui se jugeaient au-dessus de ce qui était réellement important : les sentiments.

Asher avait appris à devenir brave, il ne l’était pas de base, l’envie d’en découdre le poussant à montrer ses pouvoirs pour la première fois face à cette même brute qui venait sans cesse lui chercher des problèmes. Il se souviendrait toujours du regard apeuré de l’enfant, de la rage qui l’avait saisi et de sa propre consciente qu’au fond, les mots n’étaient qu’une barrière de ce qu’on était réellement. Le jeune homme eut un sourire face à ses livres de comptes, que personne n’aurait totalement compris en y voyant les lignes rouges dessiner sur des colonnes entières. Son entrée à Poudlard lui avait au moins permis de s’affirmer, de se faire des amis et de vivre pleinement une nouvelle aventure. On ne l’avait pas juger d’être émotifs, on avait même pris sa défense, voyant dans ce jeune garçon, prénommé Thomas une certaine fascination de la part d’Asher. Il était à gryffondor, quand on avait envoyé le jeune Crowley à serdaigle, mais grâce à Thomas, Ash se sentait bien. Vraiment bien. Une sorte de modèle, une fascination à n’en pas douté, un véritable meilleur ami qui lui était rapidement devenus très précieux. Un nouveau sourire se dessina et il se décida à refermer son livre de compte pour se tourner vers le comptoir, prenant soin de se servir un verre de whisky Ecossais, avant de grimper dans les étages. Les couloirs étaient silencieux à part quelques ronflement qui venait de certaines chambres. Rapidement, le haut de l’auberge fut atteint, un grenier où certains lits de camps étaient aménagés, vides à cet instant. L’accès était bloqué par le biais d’une rune magique, apprise dans un livre qui parlait de la magie en Afrique, une science que bon nombres de sorciers européens oubliaient d’exercer. Au moins si jamais on venait fouiner, la trappe paraissait invisible à l’œil nu, tout comme le sortilège d’enchantement. De là-haut plusieurs grande fenêtre venaient serpenter le toit, donnant accès aux étoiles qui scintillaient dans le ciel. Il s’assit alors finalement au niveau du sol, le regard en l’air avant de prendre une gorgée dans son verre.

Thomas Madley. Un né moldu. Il avait été la première personne pour laquelle Asher avait développer des sentiments bien trop fort pour qu’il les comprenne. Ce n’était qu’une fois que leurs lèvres s’étaient rencontré qu’il avait compris. L’amour était un sentiment important et malgré tout aussi fou que stupide. Il nous faisait perdre des repères, nous donnait la sensation de voler, l’envie de foncer tout simplement. Cela n’avait durer qu’un temps, comme une forme d’amusement, ou une expérience. Ou peut-être que toute relation n’était pas faite pour durer face aux heures sombres. Asher ne lui en avait pas voulu quand Thomas avait rompu, comprenant que les sentiments venaient et passaient dans une vie, restant amis malgré tout. Il en avait connu d’autres par la suite, filles, garçons, peu importait, son empathie et son trop grand cœur jouant pour lui, de l’attachement qu’il pensait être de l’amour quand ce n’était finalement que de l’extase dont il était accro. Une cigarette fila entre ses doigts, sans qu’il ne l’allume pour autant, jouant avec un moment. Sa sœur avait finalement quitté Poudlard, trouver un travail, un mari, et elle lui avait donné un neveu. Tout aurait pu aller dans le meilleur des mondes, si les gens n’en avaient pas décidé autrement. La guerre aussi froide pouvait-elle se présenter dans un premier abord, avait pris possession des cœurs et des ruelles. Il avait fallu apprendre à choisir un camps, à sortir son épingle du jeu, quand Asher alors âgé de 24 ans n’avait aucune idée de ce qu’il ferait de sa vie. Il surfait de boulot en petit boulot, ses ASPICS en poche, aidant parfois ses parents dans l’auberge familiale.

Et puis la nouvelle était finalement tombée. La cigarette fut allumée, le verre à nouveau a porté de lèvres. Son père avait disparu, sa mère était tombée en dépression, sa sœur n’en avait rien eu à faire et il s’était retrouvé jeune adulte à devoir gérer le tout. Plus question d’accueillir les moldus comme autrefois dans l’auberge du noms de « The Crow », uniquement des sorciers, la plupart de passage et préférant de loin le Chaudron Baveur. Les sous avaient commencé à se faire de plus en plus léger, Asher découvrant de nouvelle manières pour en gagner, prêt à tout pour ne pas se retrouver à la rue, quitte à suivre des demandes du régimes mit en place. Il le haïssait, sincèrement, il haïssait au fond ce qu’il était devenu, pendant un an à la botte d’êtres infames. Mais c’était ce qu’il fallait, s’endurcissant avec le temps, tel une obligation, rageant et pleurant le soir tardivement. Son visage s’abaissa à ce souvenir, prenant une grande inspiration sur sa cigarette. Il se souvenait du regard de Thomas quand ce dernier était venu le voir, quant à cette époque, Asher ne pouvait rien faire pour lui. Un refuge, un ami. Au pied du mur et après une nuit offerte entre ses draps, Ash l’avait finalement vendu. Pour son propre bien, pour celui de sa mère. Pour l’auberge. Ce regard, il le hanterait toute sa vie. Vendre son meilleur ami, celui qui lui avait fait découvrir les premiers sentiments, Asher avait pendant longtemps était incapable de se regarder dans le miroir, s’acharnant dans le travail, jusqu’à ce qu’une décision ne soit prise. Il avait aménagé son grenier lui-même. Il s’était fait la promesse de ne jamais reproduire ce genre d’erreur, toujours à même de rendre service pour un peu d’argent, mais Asher savait que s’il pouvait aider, il se devrait de le faire. Et il le ferait même si pour cela il devait tout perdre, ou tout donner.

La cigarette s’éteignit dans le verre à peine bu. Il avait rejoint la rébellion, ses agissements connus par ceux dont ça avait une importance, ne le jugeant pas quand on savait que dans ce genre de régime, tout un chacun tentait à un moment ou un autre de se sortir du lot. Il observa les lits vides. Il en avait accueilli du monde, certains qu’il avait pu aider, d’autres pas du tout. Il se souvenait bien de la jeune Bulstrode recueillis pendant un temps alors qu’elle tentait de fuir sa propre famille, il se souvenait aussi d’autres. Sa sœur était au courant de tout ça, et sa mère fermait les yeux. Son coude s’adossa à l’encadrement de l’une des fenêtres. Les gens changeaient, c’était un fait, les étoiles influençaient sur notre perception du monde, mais pour Asher elles devaient être les seuls à le faire. Nul doute qu’il ferait tout pour que jamais il a revoir chez quelqu’un qui lui était proche, le même regard qui le hantait toutes les nuits.

Compléments d'informations :

- Asher fait entièrement partis de la résistance et à aménager des pièces dans l'auberge afin de pouvoir accueillir tant des réunions des Rebelles que des chambres pour ceux qui sont rechercher par le régime en place. Il est le seul à connaitre tout les secrets de l'auberge du corbeau, ayant sceller les pièces avec plusieurs sorts et runes.

- Il s'en voudra toujours pour ce qu'il a fait à Thomas, mais n'en a jamais parlé à qui que ce soit à part certains membres de la résistance, expliquant qu'il n'avait pas le choix.

- Il peut lui arriver d'aider le gouvernement, uniquement s'il en voit un quelconque intérêt que ce soit monétaire ou même  informatifs pour mieux renverser la situation.