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Une déception perpétuelle [William]
Mar 12 Sep - 12:29Dans la vie, il y a les mauvaises décisions et les très mauvaises différences. La différence est souvent minime mais se tient aux conséquences dont il n’est possible d’en saisir l’ampleur qu’après coup. Souvent ce sont des actes impulsifs, mus uniquement par l’émotion et qui ne relèvent pas d’une décision rationnelle et mûrement réfléchie. Mettre un jean au bal a sûrement été une des pires décisions que j’ai pu prendre sans m’en rendre compte sur l’instant. Bien trop d’émotions qui m’ont submergées pour que je sois réellement capable de réfléchir. J'étais venue en robe mais je n'ai pas supporté et je me suis changée. Aucune réflexion, simplement un acte impulsif décidé par le surplus émotionnel. Une tenue totalement inappropriée pour un événement de ce type et mon père était présent. Il n'a pu que réagir ma mère n'étant pas là. Il n'a pas eu le choix ne pouvant déléguer alors que s'il avait ou, il l'aurait certainement fait. Il ne s'est jamais occupé de moi préférant se consacrer à son travail. Je ressens une honte de m'être ainsi montré en public, nuisant ainsi à l'image de ma famille. Pourtant, je ne le reconnaîtrais pas ainsi à ma famille. Je me mure dans un silence à l'apparence rebelle. Les émotions sont encore bien trop importantes, un tourbillon qui emmêle mon cœur sans que je ne sois capable de faire la part des choses.
Dès que je suis rentrée de Poudlard, je me suis enfermée dans ma chambre. Je l'ai verrouillé à clef à l'aide d'un sortilège et j'ai bougé une de mes armoires devant la porte. Je refuse de parler à quiconque même si au fond je me demande si ça peut vraiment durer. Mère va certainement venir me sermonner et me punir. Elle ne sait faire que cela et père a du retourner travailler en ruminant à quel point je suis une déception. Je suis certaine de n'être que cela à leur yeux. Un tas de cendre est au pied de mon lit. J'ai incendié la preuve de mon méfait dans un accès de colère. J'ai revêtu la robe que je portais à l origine et je regarde ainsi le reflet de celle que je devrais être. Les cendres sont la trace de ce moi profond qui existe alors qu'il ne devrait pas et qui m'emmène sur des sentiers interdits. Je me sens tiraillé entre ces deux parts de moi et c'est bien ce qui rend les choses si complexes. Mon regard se porte alors sur la fenêtre, mon esprit envisageant la fugue. Je pourrais m'échapper et partir rejoindre Alina. Je pourrais vivre rien qu'avec elle. Un souhait utopique alors qu'au fond malgré toute ma colère je me refuse à ce choix. J'ai toujours cet espoir de pouvoir rendre ma famille fière même si cela devient encore plus compliqué après ce choix vestimentaire. Mes pensées continuent de vagabonder alors que je suis devant cette fenêtre.
Dès que je suis rentrée de Poudlard, je me suis enfermée dans ma chambre. Je l'ai verrouillé à clef à l'aide d'un sortilège et j'ai bougé une de mes armoires devant la porte. Je refuse de parler à quiconque même si au fond je me demande si ça peut vraiment durer. Mère va certainement venir me sermonner et me punir. Elle ne sait faire que cela et père a du retourner travailler en ruminant à quel point je suis une déception. Je suis certaine de n'être que cela à leur yeux. Un tas de cendre est au pied de mon lit. J'ai incendié la preuve de mon méfait dans un accès de colère. J'ai revêtu la robe que je portais à l origine et je regarde ainsi le reflet de celle que je devrais être. Les cendres sont la trace de ce moi profond qui existe alors qu'il ne devrait pas et qui m'emmène sur des sentiers interdits. Je me sens tiraillé entre ces deux parts de moi et c'est bien ce qui rend les choses si complexes. Mon regard se porte alors sur la fenêtre, mon esprit envisageant la fugue. Je pourrais m'échapper et partir rejoindre Alina. Je pourrais vivre rien qu'avec elle. Un souhait utopique alors qu'au fond malgré toute ma colère je me refuse à ce choix. J'ai toujours cet espoir de pouvoir rendre ma famille fière même si cela devient encore plus compliqué après ce choix vestimentaire. Mes pensées continuent de vagabonder alors que je suis devant cette fenêtre.
William Travers
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Re: Une déception perpétuelle [William]
Jeu 14 Sep - 17:10
Une déception perpétuelle
William Travers feat @Hope Travers
Le bal de Noël qui avait été donné à Poudlard était terminé depuis quelque temps déjà, mais depuis ce bal, William n’avait pas décoléré, malgré les tentatives de Callista de le calmer. Même boire plusieurs verre, sans trop en abuse, son propre whisky pur feu n’avait pas aider à atténué son humeur. Sur le coup, William s’était demandé pourquoi il s’était présenter au bal, pourquoi être aller à Poudlard trente ans après la fin de ses études, mais au final à voir l’accoutrement qu’avait eut sa fille Hope, il a bien fait de donner signe de vie a ce bal. En tant que sang pur, Hope devait agir comme tel et se présenter en pantalon avait été une honte pour le père de famille. Il ne s’était pas gêné pour lui faire des remontrances au risque de se faire détester encore plus.
William avait eut une grosse journée et donc au moment où il transplana chez lui, le premier truc qu’il fit était de voire un demi verre de whisky. Histoire de se reposer de sa journée. Il savait aussi que c’était les vacances et donc Hope serait à la maison. Il était peut être temps que le père de famille est une grosse conversation avec sa fille unique. Peut être cela pourrait améliorer la relation tendue entre le père et sa fille. Il aurait pu agir paresseusement et transplaner à l’étage mais il monta plutôt par la manière traditionnelle. Sa fille s’était enfermé dans sa chambre mais si elle croyait que cela allait l’empêcher de rentrer elle se mettait un doigt dans l’œil. William tenta de tourner la poignée mais comme il se l’imaginait elle était barré. D’un simple mouvement de baguette il déverrouilla la porte mais elle ne bougea pas. Hope avait été assez astucieuse pour bloquer sa porte et pas que par un sortilège. Aussi aisément que possible, il déplaça le meuble et par magie, le remis à sa place
« Croyais-tu que t’enfermer allait nous empêcher de rentrer ? C’est les vacances Hope, pourquoi t’enfermes tu ? »
Dit-il d’un ton neutre. Le but n’étant pas que sa fille se renferme d’avantage.
William avait eut une grosse journée et donc au moment où il transplana chez lui, le premier truc qu’il fit était de voire un demi verre de whisky. Histoire de se reposer de sa journée. Il savait aussi que c’était les vacances et donc Hope serait à la maison. Il était peut être temps que le père de famille est une grosse conversation avec sa fille unique. Peut être cela pourrait améliorer la relation tendue entre le père et sa fille. Il aurait pu agir paresseusement et transplaner à l’étage mais il monta plutôt par la manière traditionnelle. Sa fille s’était enfermé dans sa chambre mais si elle croyait que cela allait l’empêcher de rentrer elle se mettait un doigt dans l’œil. William tenta de tourner la poignée mais comme il se l’imaginait elle était barré. D’un simple mouvement de baguette il déverrouilla la porte mais elle ne bougea pas. Hope avait été assez astucieuse pour bloquer sa porte et pas que par un sortilège. Aussi aisément que possible, il déplaça le meuble et par magie, le remis à sa place
« Croyais-tu que t’enfermer allait nous empêcher de rentrer ? C’est les vacances Hope, pourquoi t’enfermes tu ? »
Dit-il d’un ton neutre. Le but n’étant pas que sa fille se renferme d’avantage.
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Re: Une déception perpétuelle [William]
Sam 16 Sep - 17:53Je suis devant cette fenêtre, ne pouvant que constater à quel point je suis perdue. Je ne suis plus qu’un trop plein d’émotions et je deviens de plus en plus impulsive. Daemon avait bien mis le doigt sur ma carapace qui se brise et m’a soutenu mais sans que cela ne puisse être suffisant. Je me sens tellement écartelée entre ce que je ressens et les principes auxquels je devrais adhérer sans la moindre réserve. A cela, il faut ajouter mes sentiments pour Alina et mon impression d’être une éternelle déception pour mes parents. Mettre un jean est une goutte dans un océan de déception. En tout cas, c’est ce que je ressens alors que je pense être incapable de rendre un jour fier ceux qui sont mes parents. Je suis devant cette fenêtre, me demandant si m’enfuir ne serait pas mieux. Partir loin de tous ceux que je déçois et peut-être que ce serait mieux pour tout le monde. Je me suis barricadée par désir de protection. Je veux être seule même si au fond, je sais que cela ne sera qu’éphémère. Elle va finir par venir. J’entends la porte être dévérouillé et le meuble bouger. La fin de la tranquillité. Je sens la colère immédiatement monter en moi. “Vous ne toquez même plus. Vous connaissez l’intimité?”. Je suis certaine que c’est ma mère et ma surprise est immense quand en me retournant, je découvre…mon père. En le voyant, en premier lieu, je ne lui aurais peut-être pas parlé ainsi. Maintenant que je suis lancé, je continue.
“Une porte barricadée est pourtant un message clair. Je veux être tranquille mais il faut croire que vous êtes incapable de le respecter ou de le comprendre”. L’irrespect au bord des lèvres qui est l’expression du désordre émotionnel que je ressens. Je déteste être ainsi mais je me protège alors que je suis certaine qu’une vague de reproches va me tomber dessus. “Vous n’avez pas envoyé mère et vous n’êtes pas retourné au travail?” Je ne m’attendais pas à ce qu’il vienne. Habituellement, il est à son travail et ne se préoccupe nullement de moi. C’est toujours mère qui vient pour m'annoncer sa litanie de reproches en tout genre et appliquer les sanctions qui vont avec selon elle. Je réponds tout de même à sa dernière remarque. “Je ne peux même plus m’enfermer sans que cela ne me soit reproché?” Tout est l’occasion de reproche avec eux. Je n’ai aucune envie de lui parler alors je me glisse dans mon lit et je mets ma couette sur moi. Qu’il me laisse tranquille ou qu’il me punisse, j’entendrais tout de là. De toute manière, cela va aller vite. Je connais déjà le schéma. De un, il va me faire ses reproches, me répétant que c’est une honte que je sois venu en jean. S’il a appris pour mes résultats scolaires, cela sera ajouté à la liste des reproches. De deux, il va me punir. Une fois que tout cela sera fait, il quittera ma chambre et j’aurais enfin la paix.
“Une porte barricadée est pourtant un message clair. Je veux être tranquille mais il faut croire que vous êtes incapable de le respecter ou de le comprendre”. L’irrespect au bord des lèvres qui est l’expression du désordre émotionnel que je ressens. Je déteste être ainsi mais je me protège alors que je suis certaine qu’une vague de reproches va me tomber dessus. “Vous n’avez pas envoyé mère et vous n’êtes pas retourné au travail?” Je ne m’attendais pas à ce qu’il vienne. Habituellement, il est à son travail et ne se préoccupe nullement de moi. C’est toujours mère qui vient pour m'annoncer sa litanie de reproches en tout genre et appliquer les sanctions qui vont avec selon elle. Je réponds tout de même à sa dernière remarque. “Je ne peux même plus m’enfermer sans que cela ne me soit reproché?” Tout est l’occasion de reproche avec eux. Je n’ai aucune envie de lui parler alors je me glisse dans mon lit et je mets ma couette sur moi. Qu’il me laisse tranquille ou qu’il me punisse, j’entendrais tout de là. De toute manière, cela va aller vite. Je connais déjà le schéma. De un, il va me faire ses reproches, me répétant que c’est une honte que je sois venu en jean. S’il a appris pour mes résultats scolaires, cela sera ajouté à la liste des reproches. De deux, il va me punir. Une fois que tout cela sera fait, il quittera ma chambre et j’aurais enfin la paix.
William Travers
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Re: Une déception perpétuelle [William]
Lun 18 Sep - 1:25 Une déception perpétuelle
William Travers feat @Hope Travers
William devait décidément se calmer avant de dire quelque chose qu’il pourrait assurément regretter ou avant de faire quelque chose qui pourrait nuire à sa tentative un peu gauche de se rapprocher de ses enfants.
Déjà pas énormément présent depuis la naissance de son fils aîné, sa relation avec eux en prenait quand même un coup. Il a légèrement rattrapé le coup avec son fils cadet. Keylian avait vieillit, enfin pas tout à fait puisqu’il a dix-sept ans, mais il avait cessé d’agir comme un gamin braillard. Il travaillait pour le moment dans sa compagnie. William était fier de son évolution. Peut-être peu présent pour sa famille mais il parlait souvent de ses enfants avec sa femme.
Là, c’était sa fille qui posait légèrement problème. Déjà avec des notes. Callista lui en avait vaguement parler mais malgré tout, il écoutait quand Callista parlait. L’idée de lui prendre un précepteur privé lui démangeait l’esprit de plus en plus. Il était hors de question que Hope rate ses BUSE à la fin de l’année ou ses ASPIC dans deux ans. Pour couronner le tout, cette tenue plus que inacceptable lors du bal à Poudlard avait réussi à lui mettre la honte. Il ne s’était pas gêner pour lui faire des remontrances.
Quand William était entré au manoir, il s’était diriger vers la chambre de sa fille. D’abord pour lui remonter les bretelles et corriger son attitude. Et ensuite, tenter de se rapprocher avec elle. Il savait que cela n’allait pas être facile pour lui. Mais une fois l’abcès crève seul le temps leur dira si ça va s’améliorer entre père et fille ou inversement. Après un sort simple, il a fini par entrer dans la chambre de sa fille. Hope lança quelques mots et William fronça des sourcils. Quand elle se tourna vers lui, William pu apercevoir son air surpris. Pensait-elle que c’était sa mère ? Ce n’était déjà pas dans ses habitudes d’être à la maison aussi tôt donc il comprenait sa surprise.
« Tu crois t’adresser à qui comme ça, mademoiselle »
Répliqua-t-il aussitôt. Sa fille allait comprendre qu’on ne s’adresse pas à un parent comme ça sans qu’il n’y est de conséquences. William la laissa parler sans rien dire. Se vider le coeur faisait toujours du bien lui disais sa mère. Mais en tant qu’homme c’était plutôt rare que William s’ouvre aussi facilement.
« Que se soit bien clair : tu es toujours sous MON toit Hope. Déjà que tes notes scolaires sont pas au mieux, en plus de ta tenue plus que inacceptable au bal, ne pousse pas ta chance en nous manquant de respect de la sorte »
Dit-il, d’une voix assez forte, sèche avec m un air très mauvais au visage en s’approcha d’elle. Il n’était pas ce genre de personne mais sa main le démangeait de lui foutre une gifle. Non, il frapperait jamais ses enfants. Son ton de voix avait changé. Il avait voulut rester calme et avoir une conversation « d’adulte » avec sa fille mais elle semblait lui reprocher mille et une chose. Malgré ses absences, avait-il été trop permissif avec ses deux plus jeunes enfants ? D’ailleurs, depuis quand Hope était devenu si irrespectueuse. C’est clair, maintenant il allait régler ça à sa façon et dans le pire des cas, elle aurait une punition qu’elle se souviendra très longtemps. Elle fila dans son lit et William n’avait pas l’intention de bouger de la.
« Si ton attitude est là pour attirer l’attention… félicitations tu as réussi. »
Dit-il plus calmement. Il alla s’asseoir sur son lit près d’elle.
« Je peux savoir ce qu’il te prend au juste. Tu ne manques pas d’éducation il me semble »
Dit-il d’un ton très doux.
Déjà pas énormément présent depuis la naissance de son fils aîné, sa relation avec eux en prenait quand même un coup. Il a légèrement rattrapé le coup avec son fils cadet. Keylian avait vieillit, enfin pas tout à fait puisqu’il a dix-sept ans, mais il avait cessé d’agir comme un gamin braillard. Il travaillait pour le moment dans sa compagnie. William était fier de son évolution. Peut-être peu présent pour sa famille mais il parlait souvent de ses enfants avec sa femme.
Là, c’était sa fille qui posait légèrement problème. Déjà avec des notes. Callista lui en avait vaguement parler mais malgré tout, il écoutait quand Callista parlait. L’idée de lui prendre un précepteur privé lui démangeait l’esprit de plus en plus. Il était hors de question que Hope rate ses BUSE à la fin de l’année ou ses ASPIC dans deux ans. Pour couronner le tout, cette tenue plus que inacceptable lors du bal à Poudlard avait réussi à lui mettre la honte. Il ne s’était pas gêner pour lui faire des remontrances.
Quand William était entré au manoir, il s’était diriger vers la chambre de sa fille. D’abord pour lui remonter les bretelles et corriger son attitude. Et ensuite, tenter de se rapprocher avec elle. Il savait que cela n’allait pas être facile pour lui. Mais une fois l’abcès crève seul le temps leur dira si ça va s’améliorer entre père et fille ou inversement. Après un sort simple, il a fini par entrer dans la chambre de sa fille. Hope lança quelques mots et William fronça des sourcils. Quand elle se tourna vers lui, William pu apercevoir son air surpris. Pensait-elle que c’était sa mère ? Ce n’était déjà pas dans ses habitudes d’être à la maison aussi tôt donc il comprenait sa surprise.
« Tu crois t’adresser à qui comme ça, mademoiselle »
Répliqua-t-il aussitôt. Sa fille allait comprendre qu’on ne s’adresse pas à un parent comme ça sans qu’il n’y est de conséquences. William la laissa parler sans rien dire. Se vider le coeur faisait toujours du bien lui disais sa mère. Mais en tant qu’homme c’était plutôt rare que William s’ouvre aussi facilement.
« Que se soit bien clair : tu es toujours sous MON toit Hope. Déjà que tes notes scolaires sont pas au mieux, en plus de ta tenue plus que inacceptable au bal, ne pousse pas ta chance en nous manquant de respect de la sorte »
Dit-il, d’une voix assez forte, sèche avec m un air très mauvais au visage en s’approcha d’elle. Il n’était pas ce genre de personne mais sa main le démangeait de lui foutre une gifle. Non, il frapperait jamais ses enfants. Son ton de voix avait changé. Il avait voulut rester calme et avoir une conversation « d’adulte » avec sa fille mais elle semblait lui reprocher mille et une chose. Malgré ses absences, avait-il été trop permissif avec ses deux plus jeunes enfants ? D’ailleurs, depuis quand Hope était devenu si irrespectueuse. C’est clair, maintenant il allait régler ça à sa façon et dans le pire des cas, elle aurait une punition qu’elle se souviendra très longtemps. Elle fila dans son lit et William n’avait pas l’intention de bouger de la.
« Si ton attitude est là pour attirer l’attention… félicitations tu as réussi. »
Dit-il plus calmement. Il alla s’asseoir sur son lit près d’elle.
« Je peux savoir ce qu’il te prend au juste. Tu ne manques pas d’éducation il me semble »
Dit-il d’un ton très doux.
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Re: Une déception perpétuelle [William]
Mar 19 Sep - 19:03Je ne m’attendais pas à ce qu’il soit là et encore moins à ce qu’il vienne. Il a toujours délégué à notre mère, ne prenant aucune part directe dans mon éducation ni dans celle de mon frère d’ailleurs. Je ne peux alors qu’afficher la surprise alors que je m’aperçois que c’est lui qui pénètre dans ma chambre. Je ne réfléchis pas alors que je lui réponds à nouveau. “Pas à vous en tout cas”. La réponse est automatique sous l’effet de la surprise et des émotions négatives qui s’emmêlent dans mon cœur. Je continue, déversant une partie de ma colère mais sans que cela ne me soulage réellement. Tout est trop compliqué alors qu’il est encore là pour me gronder. Je ne supporte pas alors que j’attends tout autre chose. Je me suis repliée sous ma couverture alors qu’il me réprimande. La colère monte encore plus au sein de moi et je me pince le bras pour me contenir. Je ne dois pas répliquer alors qu’il me liste ce qu’ils me reprochent. Mes notes, la tenue au bal. Il est comme mère et cela me déçoit profondément. Il ne cherche même pas à comprendre, énoncant juste le comportement attendu. Sa phrase suivante est sûrement celle de trop. Comme si ce n’ét ait que pour attirer l’attention. Comme si cela ne pouvait se résumer à cela. Il est bel et bien commme mère ne comprenant rien à la situation. J’ai l’esprit alors embrumé par la colère et je ne l’entends plus réellement alors qu’il s’assoit sur mon lit. Au fond, j’entends la douceur de son ton mais je ne suis plus en capacité d’analyser.
Je bondis de sous la couette et je descends de mon lit. Je pars en tornade vers la fenêtre l’ouvrant et je débouche alors sur le balcon qui jouxte ma fenêtre. “Ainsi, je ne suis plus sous votre toit. Je peux aussi aller plus loin pour ne plus vous causer tant de déception”. Une réalité alors que le ciel nuageux est désormais au-dessus de ma tête. Le temps est désormais clément alors que de la neige est tombée pendant une partie de la nuit. Je me retrouve pied nu, un peu de neige sous mes pieds mais je ne me rends pas compte du froid. La colère me réchauffe, me faisant ressembler à un volcan en éruption. “Je ne manque pas d’éducation, mère y a veillé pendant que vous êtiez bien trop occupé ailleurs”. La rage continue de gronder alors que je lui en veux. J’aurais aimé qu’il soit autrement et je ne peux être consciente qu’il ne fait que réagir à mon insolence. Je continue dans ma lancée, cherchant à évacuer ma colère sans peser le poids de mes mots. “Comme quoi pour attirer votre attention, il faut mettre un jean à un bal. Il n’y a que la réputation qui compte à vos yeux. Vous n’en avez rien à faire de moi”. Mon corps se repose alors sur la balustrade, la colère causant un tremblement intense dans mes jambes. Je voudrais être ailleurs et m’enfuir en cet instant. Je suis incapable d'exprimer ce que je veux alors que je désire simplement être sa fierté et qu'il ait envie de s'occuper de moi et pas uniquement pour m'enguirlander.
Je bondis de sous la couette et je descends de mon lit. Je pars en tornade vers la fenêtre l’ouvrant et je débouche alors sur le balcon qui jouxte ma fenêtre. “Ainsi, je ne suis plus sous votre toit. Je peux aussi aller plus loin pour ne plus vous causer tant de déception”. Une réalité alors que le ciel nuageux est désormais au-dessus de ma tête. Le temps est désormais clément alors que de la neige est tombée pendant une partie de la nuit. Je me retrouve pied nu, un peu de neige sous mes pieds mais je ne me rends pas compte du froid. La colère me réchauffe, me faisant ressembler à un volcan en éruption. “Je ne manque pas d’éducation, mère y a veillé pendant que vous êtiez bien trop occupé ailleurs”. La rage continue de gronder alors que je lui en veux. J’aurais aimé qu’il soit autrement et je ne peux être consciente qu’il ne fait que réagir à mon insolence. Je continue dans ma lancée, cherchant à évacuer ma colère sans peser le poids de mes mots. “Comme quoi pour attirer votre attention, il faut mettre un jean à un bal. Il n’y a que la réputation qui compte à vos yeux. Vous n’en avez rien à faire de moi”. Mon corps se repose alors sur la balustrade, la colère causant un tremblement intense dans mes jambes. Je voudrais être ailleurs et m’enfuir en cet instant. Je suis incapable d'exprimer ce que je veux alors que je désire simplement être sa fierté et qu'il ait envie de s'occuper de moi et pas uniquement pour m'enguirlander.
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Re: Une déception perpétuelle [William]
Mar 17 Oct - 21:36 Une déception perpétuelle
William Travers feat @Hope Travers
Avec son travail qui lui prenait beaucoup de temps, William avait été rarement là pour éduquer ses enfants, laissant plutôt cela à sa femme. Cela ne voulait pas dire qu'il ne les éduquait pas loin de là, simplement qu'il n'était pas physiquement présent, mais en parlait beaucoup avec Callista. D'ailleurs aussi loin qu'il s'en souvient, William n'a jamais passé beaucoup de temps au manoir parce que son travail prenait beaucoup de son temps. Il se demande même comment Callista à pu accepté cela sans broncher. Elle aurait pu lui hurler dessus d'être plus souvent là. Malgré tout, le père de famille suivait de près l'évolution de sa progéniture, même au niveau académique. Parlant d'académique, l'héritier Travers allait devoir avoir une conversation avec sa fille à propos de ses notes mais aussi de sa tenue plus que inconvenable au bal. C'est pourquoi il avait laisser sous entendre à sa femme que c'est lui qui allait avoir une conversation avec Hope et enfin mettre les choses au claires avec sa fille unique. D'ailleurs que savait réellement Hope sur ses parents ? À quinze ans, étant la petite dernière, elle ignorait tout des problèmes que Callista et lui ont eut bien avant la naissance de son frère Alejandro. Des épreuves qu'ils ont du surmonté pour en etre ou ils en étaient aujourd'hui. Peut-être que cela ferait en sorte que Hope fassent moins de bêtises et comprenne un peu plus ses parents. William tentait de garder un ton neutre envers Hope pour pas qu'elle se réfracte encore plus. Mais sa fille mettait ses nerfs à rude épruves avec son comportement de bébé. C'est vrai qu'il était rarement là, donc William comprenait bien la stupéfaction sur le visage de sa fille. Quand il lui demanda à qui elle semblait s'adresser elle répliqua aussitôt. Il serra la mâchoire mais répliqua aussitôt à Hope :
« J'espère bien que ce n'est pas à moi que tu t'adresse ainsi »
Dit-il aussi calmement que possible. Le chef de famille espérait juste qu'elle ne parle pas à sa mère comme ça parce que c'est quelque chose qu'il ne tolère pas. Callista et lui n'était pas parfait, de toute façon la perfection n'existe pas, même chez les sang pur, mais ils faisaient au mieux avec leur trois enfants. Si la légimencie était un don pouvant lire les souvenirs des gens, bon sang qu'en ce moment il aurait aimer avoir un don pour lire les pensées et suivre le cours des pensées de sa fille. William laisse sa fille parler et ne parle pas. Autant crevé l'abcès maintenant. Ainsi il pourra avoir une conversation tranquille avec Hope.
William aimait sa famille profondément et ferait tout pour elle. Sa famille ne se limitait pas qu'à sa femme et ses enfants, mais aussi a ses frères, ses neveux qui sont tout aussi important que sa femme et ses enfants. William était un homme de principe même s'il était heureux quand il pouvait écraser la concurence. Voir sa fille se cacher sous la couette comme un bébé avait de quoi hérité un peu le père de famille. Les caprices d'adolescente ça passait.... presque... mais un comportement comme ça non. Qu'elle grandisse un peu. Qu'elle suive dont l'exemple de Keylian.... Et non celle de Alejandro. William voit alors sa fille sortir de sous la couette et se diriger vers le balcon. William arque un sourcil quand il l'entends parler :
« Tu ris de moi c'est ça ? C'est une expression Hope. Même si tu es a l'extérieur, c'est chez moi ici et en tant que jeune fille de quinze ans, tu feras ce que l'on te dit »
William tentait de ne pas utiliser un ton trop brusque mais que Hope pousse pas sa chance trop loin parce qu'elle risque de voir une facette de lui qu'elle ne lui connaissait pas. Il avait beau être plus absent qu'autre chose mais il n'aimait pas la désobéissance. Et Hope semblait douée pour faire des crise d'adolescente. Soudain, Hope lui dit quelque chose qui lui fait tilter l'esprit et répliqua aussitôt :
« Hope, tu est née dans l'une des familles de sang pur, oui la réputation compte si je ne veux pas que notre famille soit la risée des autres. J'ai toujours veiller sur toi sans même que tu le saches, oui ta mère est en grande partie celle qui vous a elevé mais on parle ta mère et moi donc je suis au courant de chaque fait et geste de ta part ou de celle de tes frères »
Afin de calmer les ardeurs de sa fille et lui donner une leçon de politesse, le quarantenaire s'approche de sa fille et la bascule sur son épaule comme un moldu transporte un sac de farine. Malgré les protestations de sa fille, il se dirigea vers les sous-sols et non vers le donjon du manoir. Il espérait que de son adolescente allait apprendre sa leçon. Ensuite viendrai le moment où il pourra avoir une discussion avec Hope. Il entra dans une des chambre du sous-sol, sa fille toujours étendue sur son épaule. Il l'a déposa puis d'un simple coup de baguette, il fit apparaître deux bougies pour pas qu'elle reste complètement dans le noir. Avant de sortir, il s'adressa à Hope :
« Tu as deux heures pour réfléchir à toutes tes bêtises et ensuite on parlera comme il se doit »
Il referma magiquement la porte et transplana à l'étage.
« J'espère bien que ce n'est pas à moi que tu t'adresse ainsi »
Dit-il aussi calmement que possible. Le chef de famille espérait juste qu'elle ne parle pas à sa mère comme ça parce que c'est quelque chose qu'il ne tolère pas. Callista et lui n'était pas parfait, de toute façon la perfection n'existe pas, même chez les sang pur, mais ils faisaient au mieux avec leur trois enfants. Si la légimencie était un don pouvant lire les souvenirs des gens, bon sang qu'en ce moment il aurait aimer avoir un don pour lire les pensées et suivre le cours des pensées de sa fille. William laisse sa fille parler et ne parle pas. Autant crevé l'abcès maintenant. Ainsi il pourra avoir une conversation tranquille avec Hope.
William aimait sa famille profondément et ferait tout pour elle. Sa famille ne se limitait pas qu'à sa femme et ses enfants, mais aussi a ses frères, ses neveux qui sont tout aussi important que sa femme et ses enfants. William était un homme de principe même s'il était heureux quand il pouvait écraser la concurence. Voir sa fille se cacher sous la couette comme un bébé avait de quoi hérité un peu le père de famille. Les caprices d'adolescente ça passait.... presque... mais un comportement comme ça non. Qu'elle grandisse un peu. Qu'elle suive dont l'exemple de Keylian.... Et non celle de Alejandro. William voit alors sa fille sortir de sous la couette et se diriger vers le balcon. William arque un sourcil quand il l'entends parler :
« Tu ris de moi c'est ça ? C'est une expression Hope. Même si tu es a l'extérieur, c'est chez moi ici et en tant que jeune fille de quinze ans, tu feras ce que l'on te dit »
William tentait de ne pas utiliser un ton trop brusque mais que Hope pousse pas sa chance trop loin parce qu'elle risque de voir une facette de lui qu'elle ne lui connaissait pas. Il avait beau être plus absent qu'autre chose mais il n'aimait pas la désobéissance. Et Hope semblait douée pour faire des crise d'adolescente. Soudain, Hope lui dit quelque chose qui lui fait tilter l'esprit et répliqua aussitôt :
« Hope, tu est née dans l'une des familles de sang pur, oui la réputation compte si je ne veux pas que notre famille soit la risée des autres. J'ai toujours veiller sur toi sans même que tu le saches, oui ta mère est en grande partie celle qui vous a elevé mais on parle ta mère et moi donc je suis au courant de chaque fait et geste de ta part ou de celle de tes frères »
Afin de calmer les ardeurs de sa fille et lui donner une leçon de politesse, le quarantenaire s'approche de sa fille et la bascule sur son épaule comme un moldu transporte un sac de farine. Malgré les protestations de sa fille, il se dirigea vers les sous-sols et non vers le donjon du manoir. Il espérait que de son adolescente allait apprendre sa leçon. Ensuite viendrai le moment où il pourra avoir une discussion avec Hope. Il entra dans une des chambre du sous-sol, sa fille toujours étendue sur son épaule. Il l'a déposa puis d'un simple coup de baguette, il fit apparaître deux bougies pour pas qu'elle reste complètement dans le noir. Avant de sortir, il s'adressa à Hope :
« Tu as deux heures pour réfléchir à toutes tes bêtises et ensuite on parlera comme il se doit »
Il referma magiquement la porte et transplana à l'étage.
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Re: Une déception perpétuelle [William]
Ven 20 Oct - 1:56Je ne pensais pas que mon père viendrait me parler. Habituellement, c’est ma mère qui gère l’éducation des enfants alors qu’il travaille. J’ai répondu comme je réponds toujours dans ces circonstances. L’énervement perle de ma voix alors qu’au fond je me sens mal avec comment je suis. Bien trop de secrets que je ne peux pas avouer. Ils ne pourraient jamais comprendre et la déception serait immense. Tel un hérisson, je me replie sur moi-même, les pics sortis afin de me protéger. Je me réfugie sous ma couette alors que je voudrais simplement que cette conversation n’ait pas lieu. Je sais que les reproches vont fuser alors qu’il est là pour me parler de mes écarts de comportement. Juger sans chercher à comprendre. Être sous la couette n’est pas suffisant alors dans un élan de rébellion, je sors sur le balcon de ma chambre. Ainsi je joue sur les mots et je ne suis plus sur les toits. Il vient me rappeler que je suis sa fille et que c’est lui qui décide. “De toute manière, je ne compte pas réellement pour vous”. Je ne suis qu’une poupée qui est utile afin de servir la réputation de la famille et mon comportement doit être conforme à cela. Il ne s’intéresse pas réellement à ce que je suis et cela me met encore plus en colère. Son laïus sur la réputation ne fait que renforcer ce sentiment alors que j’ai parfaitement conscience des devoirs qui m’incombent. J’ai parfaitement conscience que la réputation est importante. Je m’apprête à lancer une nouvelle réflexion sur le coup de la colère quand il me saisit et me bascule sur son épaule. Sous la surprise, je me mets à crier. “Lâchez-moi”. J’ai beau protester et lui demander de me relâcher, rien n’y fait. Il sort de la chambre et descend sans que je ne puisse me débattre réellement. Sa poigne est bien trop forte par rapport à mon gabarit et je n’ai aucune chance. Il marche ainsi jusqu’au sous-sol où il me dépose dans une pièce.
Je dois rester dans cette pièce pendant deux heures. Deux bougies pour éclairer et empêcher ainsi que je sois dans une obscurité totale. Pourtant, je ne vois pas grand-chose et je commence par m’énerver contre la porte fermée. Je crie et je tape dans la porte. “Libérez moi”. Mes cris se poursuivent jusqu’à ce que je me rende compte que cela ne changera rien. Cela a au moins pour fonction de décharger toute la colère qui se trouve en moi. J’extériorise tout ce que je ressens jusqu’à ce qu’une sensation de fatigue m’envahisse. Je m’effondre alors dans un coin de la pièce tout en maudissant mon père. Une heure s’écoule en protestations diverses et variées. Des cris et des insultes jusqu’à ce que je retrouve une sorte de calme. Une période d’introspection succède alors que je me rends compte de comment j’ai parlé à mon père. Les larmes viennent alors prendre une place importante. Alors que la deuxième heure s’est écoulée, les larmes se sont asséchées mais j’ai la mine triste. Quand la porte finit par s’ouvrir je me précipite. Non pas pour m’enfuir mais pour me mettre contre mon père afin de la prendre dans mes bras. “Je suis désolée père”. Cela ne change pas le mal-être que je ressens mais je m’en veux réellement de mon comportement. Je ne veux pas être une de ses adolescentes irrespectueuses même si mon comportement a indiqué tout le contraire jusque là.
Je dois rester dans cette pièce pendant deux heures. Deux bougies pour éclairer et empêcher ainsi que je sois dans une obscurité totale. Pourtant, je ne vois pas grand-chose et je commence par m’énerver contre la porte fermée. Je crie et je tape dans la porte. “Libérez moi”. Mes cris se poursuivent jusqu’à ce que je me rende compte que cela ne changera rien. Cela a au moins pour fonction de décharger toute la colère qui se trouve en moi. J’extériorise tout ce que je ressens jusqu’à ce qu’une sensation de fatigue m’envahisse. Je m’effondre alors dans un coin de la pièce tout en maudissant mon père. Une heure s’écoule en protestations diverses et variées. Des cris et des insultes jusqu’à ce que je retrouve une sorte de calme. Une période d’introspection succède alors que je me rends compte de comment j’ai parlé à mon père. Les larmes viennent alors prendre une place importante. Alors que la deuxième heure s’est écoulée, les larmes se sont asséchées mais j’ai la mine triste. Quand la porte finit par s’ouvrir je me précipite. Non pas pour m’enfuir mais pour me mettre contre mon père afin de la prendre dans mes bras. “Je suis désolée père”. Cela ne change pas le mal-être que je ressens mais je m’en veux réellement de mon comportement. Je ne veux pas être une de ses adolescentes irrespectueuses même si mon comportement a indiqué tout le contraire jusque là.
William Travers
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Re: Une déception perpétuelle [William]
Jeu 16 Nov - 20:40 Une déception perpétuelle
William Travers feat @Hope Travers
Avec son travail qui lui prenait beaucoup de temps, William avait rarement été à la maison pour éduquer ses enfants, laissant plutôt cela à sa femme. Cela ne voulait pas dire que le patriarche de la famille Travers n'était pas au courant des faits et gestes de sa progéniture au fil des ans. Là, il ne s'agissait de sa marmaille, mais seulement question de sa fille. Son comportement de bébé n'était pas dire d'une sang pur et l'homme allait avoir un conversation avec sa cadette afin de mettre les choses (très) au clair. C'est bien pour cela que c'est William qui s'est déplacé dans la chambre de Hope et non Callista. Le quarantenaire sentait bien que sa fille était énervée. Il n'était pas dupe quand même. Elle en avait tous les droits, après tout, elle reste une adolescente. Hope allait simplement apprendre le respect un peu à la dur. Le père de famille s'est alors approché d'elle et l'avait fait basculé sur son épaule pour l'enfermer dans un pièce du sous-sol, dans la semi-obscurité, avec que deux chandelles
comme élairage. Même si Hope pestiférait pour le faire lâcher, William ne l'écoutait pas et continuait son chemin. Il lui avait donné deux heures pour réfléchir. L'héritier Travers espérait que Hope judicieusement ses deux heures pour profondément réfléchir. Après avoir donné ses instructions à sa fille, William remonta magiquement à l'étage.
Deux heures plus tard.
William se dit qu'après ces deux heures à être enfermé, Hope avait mûrement réfléchit et il valait mieux pour elle. Afin de la faire attendre d'avantage, afin qu'elle réfléchisse un peu plus, William pris son temps pour redescendre. De savoir que Hope pense qu'elle ne compte pas pour lui est un peu décevant. Il se dirigea vers la pièce où il avait laissé sa fille et fit l'inverse : il dévérouilla magiquement la porte et entra. Il n'eut pas eut le temps de placé un mot que sa fille se précipite vers lui. Il serra sa fille dans ses bras quand cette dernière lui dit qu'elle était désolée. Un sourire satisfait au lèvres, il serra d'avantage Hope contre lui et transplana dans la chambre de sa fille. Il fit asseoir Hope sur son lit :
« Ne bouge pas. L'effet de nausée dû au transplanage passera de lui même »
Recommanda-t-il. Hope était trop jeune pour transplaner. Le ministère exige un permis seulement à dix-sept ans. Donc Hope, à moins qu'elle connaisse quelqu'un qui sait transplaner, c'est sa "première utilisation". Il alla lui même lui chercher un verre d'eau et lui tendis en attendant qu'elle prenne un gorgée ou deux :
« ça va mieux ? »
comme élairage. Même si Hope pestiférait pour le faire lâcher, William ne l'écoutait pas et continuait son chemin. Il lui avait donné deux heures pour réfléchir. L'héritier Travers espérait que Hope judicieusement ses deux heures pour profondément réfléchir. Après avoir donné ses instructions à sa fille, William remonta magiquement à l'étage.
Deux heures plus tard.
William se dit qu'après ces deux heures à être enfermé, Hope avait mûrement réfléchit et il valait mieux pour elle. Afin de la faire attendre d'avantage, afin qu'elle réfléchisse un peu plus, William pris son temps pour redescendre. De savoir que Hope pense qu'elle ne compte pas pour lui est un peu décevant. Il se dirigea vers la pièce où il avait laissé sa fille et fit l'inverse : il dévérouilla magiquement la porte et entra. Il n'eut pas eut le temps de placé un mot que sa fille se précipite vers lui. Il serra sa fille dans ses bras quand cette dernière lui dit qu'elle était désolée. Un sourire satisfait au lèvres, il serra d'avantage Hope contre lui et transplana dans la chambre de sa fille. Il fit asseoir Hope sur son lit :
« Ne bouge pas. L'effet de nausée dû au transplanage passera de lui même »
Recommanda-t-il. Hope était trop jeune pour transplaner. Le ministère exige un permis seulement à dix-sept ans. Donc Hope, à moins qu'elle connaisse quelqu'un qui sait transplaner, c'est sa "première utilisation". Il alla lui même lui chercher un verre d'eau et lui tendis en attendant qu'elle prenne un gorgée ou deux :
« ça va mieux ? »
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