@font-face {font-family: 'Bernard MT Condensed';src: url('https://dl.dropbox.com/s/lmu0dfqqt9d42j8/BERNHC.TTF?');font-family: 'Castro Script';src: url('https://dl.dropbox.com/s/a4ji6ug4xvi86nw/CastroScript_PERSONAL_USE_ONLY.ttf?');}Bal de l'école [Décembre 2001] - Page 3
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Alexander C. Lestrange

Alexander C. Lestrange

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Bal de Noël


Le respect se perdait irrémédiablement de nos jours. Un troll de la pire espèce m’interrompit lorsque je demandai Morgana à danser. C’était sûrement encore l’un de ces étudiants trop centrés sur leur petite personne pour se rendre compte de l’impolitesse probante envers autrui. L’hydromel, le champagne et le whisky pur feu durent lui monter à la tête et il ne savait donc plus où se mettre et sa première idée fut d’embêter tous les convives à ce bal de Noël traditionnel. Monsieur Je-me-pense-plus-important-que-quiconque s’élevait ainsi dans les airs. Il n’était pas très loin de ma position de surcroît. Je pus bien l’observer rappelant à mon souvenir l’un des employés du département de la justice magique.

Sa déclaration me fit, cependant, éclater de rire.

La boîte de Pandore ? Le chaos ? Comment cet homme avait-il pu pénétrer jusqu’ici ? La réponse était d’une limpidité, mais je ne pensais plus clairement.

- Qu’est-ce que ces idioties non d’une bouse de dragon !

Que je pestais ouvertement aussitôt les premiers secrets révélés. Mon rire fut nerveux alors que ma main gauche se déplaçait discrètement sur le manche de ma baguette magique. Je ne lâchais pas ce veracrasse des yeux, mu entre l’idiotie de ses propos et une insécurité grandissante. Je captais finalement le regard de Marcus. Je n’avais pas besoin de parler, car il comprendrait ou je voulais en venir par mon hochement de tête. On allait le prendre à revers, chacun d’un côté.

Je n’eus malheureusement pas le temps d’agir.
Cet énergumène révéla que ma propre fille, Ayla Lestrange, était dangereuse usant de poisons. Figé un instant, je n’eus qu’un court regard pour ma fille avant de me retourner franchement vers cet homme. J’étais littéralement hors de moi. Comment osait-il calomnier ma fille, ma famille ?  Je m’élançais entre les convives, aveuglé par la rage et prêt à en découdre avec cet homme.
J’heurtais deux, trois épaules, mais je ne les voyais même pas.

Cet homme ne sortirait pas libre de cette pièce, j’en faisais la promesse.

- Vous ! Vous allez retirer vos paroles tout de suite ! hurlais-je dans sa direction tout en montant sur l’estrade. Comment osez-vous insulter ma fille ? Comment osez-vous calomnier la famille Lestrange ? Si vous arrêtez maintenant et me suivez docilement jusqu’au ministère, je vous promets de ne rien vous faire.

Que je terminais tout en baissant d’un ton. En tout cas, je vais essayer de ne rien vous faire eussé-je alors un rictus de colère déformant le bas de mon visage. Évidemment, le bougre continuait à dénigrer d’autres gens présentes ici même. Il osait même dire que Marcus Parkinson était un rebelle. Était-ce vrai ? Était-ce faux ? Je m’en fichais pas mal au moment présent bien que je ne voulusse pas regarder en face Marcus.

Ce fut sans crier gare que l’employé du département de la justice magique se tue tombant raide mort à quelques mètres à peine de moi.
Sous le choc quelques secondes, je tentais ensuite d’arrêter la colère qui faisait trembler mes membres. Las, je me passais une main dans les cheveux interdit devant autant d’émotion. Tous le semblaient qui plus est, silencieux pour la plupart devant ce qu’il venait de se passer.

J’inspirais pour me donner du courage sautant en bas de l’estrade. Trop sérieux pour mon humeur précédente, je fis apparaître une couverture d’un coup de baguette magique pour supprimer la vue du corps aux yeux indiscrets. Pourquoi cet homme se suicida-il ne cessais-je pas à tenter de comprendre ? C’était une litanie incessante dans mon esprit.

- Marcus ! appelais-je le professeur ou plutôt mon comparse. J’aimerais que tu m’aides à déplacer le corps.

J'émettais un ton grave, sérieux et froid bien différent de ma malice que je montrais précédemment. J’étais un peu suspect quant à la véritable allégeance de mon ami, mais je ne savais que penser non plus de toutes ses révélations. Était-ce réel ? Pourquoi cet homme déclara tout cela pour se tuer ensuite ? Et qu’en était-il du chaos ? Simple métaphore ou malédiction ? Je ne parlais pas attendant, ma baguette magique en main, l’aide de Marcus Parkinson pour faire rapidement léviter ce corps hors de la vue des élèves.


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Victoria Bulstrode

Victoria Bulstrode

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Bal de l'école [Décembre 2001] - Page 3 D18461c0803e6854c3f907d2c4e919285661207d
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yule ball
La jeune femme savait très bien que tout serait compliqué pour elle ce soir en voyant la présence de son paternel. Le simple regard qu’il lui avait offert, lui prouvant qu’elle n’était clairement pas en sécurité, il venait sur son terrain, chose qu’elle détestait réellement. Elle ne pouvait rien y faire pour autant. Alors, elle devait faire comme pour les soirées mondaines, après tout il s’agissait de cela, éviter les sorciers de sa connaissances qui peuvent être jugés de douteux. Principalement, son meilleur ami qui avait fait une entrée remarquée que le professeur Parkinson ne laissa pas passer, tant mieux d’ailleurs, même s’il faisait passer les gryffondors pour des idiots, elle devait laisser faire sans réagir, Nicholas apprécierait que de trop que sa fille lui offre trop de connaissances sur elle ce soir. Donc elle attendait dans un coin pour aller retrouver sa cousine, tout serait plus simple si elle se trouvait avec Millicent, son père ne pourrait rien dire du coup.

L’assemblée se tournait néanmoins vers l’un des sorciers semblant vouloir être au centre de l’attention. Elle resta impassible pendant le début de la prise de paroles de celui qui lévitait pour prendre un peu plus de place dans ce monde. Sa cousine chercha son regard, mais elle resta à observer ce qu’il se passait. Il semblait vouloir dévoiler des secrets de certaines personnes présentes, alors qu’il commençait par Deamon, un des élèves de sa maison, elle changea juste de direction pour savoir s’il était possible qu’il dise vrai. Mais la réaction de l’américain ne contredit en aucun cas les mots prononcés. Elle ne réagit pas lorsque le nom des Lestrange était évoqué à cause de la dernière née de Selwyn, cela semblait logique vu leurs actions du soir.

Le prochain secret allait certainement plus chambouler sa vie que d’autres, lorsque l’homme pointa du doigt Dennis, elle se figea. Millie savait qu’elle avait passé du temps avec lui avant la bataille de Poudlard, mais elle ignorait qu’elle voyait encore le né-moldu. Alors quand il annonça que le Crivey était soi-disant amoureux d’elle, elle ne put s'empêcher de rire. Après tout ce n’était pas logique du tout. Elle ne croyait clairement pas à cette idée et puis surtout elle ne pouvait pas y croire au fond d’elle étant déjà bien trop dans le déni de cette possible histoire. C’est ainsi que la jeune femme en avait presque oublié la présence de son père. Le dédain pouvait se lire sur le visage de la Bulstrode, surtout lorsque le reste qui pouvait visiblement également atteindre Dennis était énoncé. S’il avait couché avec Lily-Rose sans même faire attention à ce qui pouvait leur arriver grand bien leur fasse. Ils étaient assez grands pour se débrouiller tous seuls tous les deux, elle n'avait clairement rien à dire là dedans. Tant bien même qu’elle ne se focalisa plus que sur le dernier secret qui disait que le professeur Parkinson était un rebelle. Chose de peu étonnante, connaissant l’une de ses filles, mais elle garderait cela pour elle. Mais clairement, elle laisse le dégoût apparaître lorsque le sorcier met fin à ses jours et tombe dans un certain fracas au sol.
code by awona // ootd //  hairstyle&makeup // mention de @Nicholas F. Bulstrode, @Dennis Crivey,  @Lily-Rose Parkinson , @Marcus Parkinson  et  @Millicent Bulstrode même si tu ne joues pas officiellement dedans  blink


nobody is coming to save you.

Nicholas F. Bulstrode

Nicholas F. Bulstrode

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Bal de l'école [Décembre 2001] - Page 3 288fca05e183d5688e73c79d37f968206d4218fe
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Quand il n’y a rien à perdre
Nicholas Bulstrode
L’intérêt pour ce bal était minime et pourtant, le verre de champagne en main, Nicholas Bulstrode observait silencieusement la salle, écoutant dans le bruit certaines conversations, certaines remarques qui se faisaient sur les tenues de chacun, Miss Fawley stricte sur ce dernier point. Que les parents ne sachent élever leur enfant, l’homme n’était pas surpris, mais surement que cette jeunesse doré aimait à provoquer le monde, dans un univers où tout leur était offert. Chercher une place quand on était adolescent pouvait être compliqué, mais aucun n’avait jamais réellement connu les horreurs, jamais aucun ne serait à son sens très intéressant. Evidemment il aimait pouvoir donner dans la confiance, offrir dans les sourires une forme d’importance, mais cela ne changerait à ce que doucement il pensait dans son esprit. Et ce n’était pas le jeune qui veniat de montrer sa présence de la manière des plus absurdes possibles qui allait le faire changer d’avis. La gorgée de champagne fut prise, dans l’intérêt que ce Dennis pouvait amener comme divertissement relativement grande. Son regard oscillait un moment en direction de sa fille, qui tenait droite et dans le plus parfaite éducation qu’il lui avait donné. Le discours d’Alexander fut terminé, laissant le médicomage vouloir se montrer social pour une fois, effectuant quelques pas avant que la salle n’en vienne à changer d’humeur. Un homme s’avança vers le centre de la salle, le corps se mettant délicatement à léviter pour venir prendre toute l’attention de l’assemblée. La stature droite et l’air détendu, Nicholas s’arrêta pour observer la scène qui se jouait devant lui, la coupe de champagne ramener à ses lèvres. Le Chaos arrive. Il fronça un instant les sourcils, entendant à côté le bruit ambiant de la surprise résonner dans la salle de bal.

Son regard se porta un moment sur les personnes que l’homme en lévitation montrait, un jeune homme du nom de Daemon Blackwood qui semblait avoir été pris par l’inaction quand sa sœur s’était fait enlever. Intéressant. Stupide et complètement logique au vu de l’intelligence des plus jeunes, mais qu’importe, l’information fut notée dans le cerveau de Nicholas dans la moindre offuscation ou empathie. Les histoires de couple de Félicia Selwyn ne l’intéressèrent qu’à peine, mais la suite fut bien plus intéressante. Donc ce cher Dennis qui avait fait une entrée fracassante était amoureux de sa fille. Son regard se posa sur le jeune homme, observant ses traits pour vérifier la véracité de ses propos, avant de regarder Victoria. Qui riait. Le dédain se posa par la suite, les mots de l’homme en lévitation continuant de venir s’imposer dans le cerveau de Nicholas, puisque ce Dennis avait mis enceinte une sang-pur. Il nota d’un côté l’intérêt de la fille Lestrange pour les poisons, mais les pensées continuaient de s’avancer dans son esprit. Si ce que disait l’homme était vrai et que sa fille était aussi stupide qu’il le pensait, surement que cette situation allait être à surveiller. Nicholas eut un léger sourire, l’idée de garder proche, très proche le jeune Dennis Crivey bien trop marqué dans son esprit. Il faillit applaudir quand l’homme s’effondra sur le sol probablement mort, mais ce retint, les réactions commençant à se faire voir de part et d’autre de la pièce, celle d’Alexander qui appela Marcus Parkinson en renfort pour faire sortir le corps, manqua de lui faire lever les yeux au ciel. Si ce que disait l’homme avait un semblant de vérité, personne n’aurait demandé à Parkinson de l’aide, au contraire les fers auraient dû lui être porté, lui donner du veritaserum ou lui faire subir le sortilège de doloris afin de lui tirer les vers du nez, mais sans doute que Nicholas aimait un peu trop la violence. Et puis il n’allait pas s’opposé à ce que disait Alexander Lestrange.

Il s’approcha alors du corps et des deux hommes, laissant sa fille de côté pour le moment, la curiosité trop importante à ce moment précis. Alexander avait jeté une couverture sur le pauvre misérable, afin d’éviter de le montrer à toute l’assemblée. Nicholas s’agenouilla délicatement soulevant légèrement le drap. Un bref coup d’œil et il comprit que le sortilège d’Imperium avait été mis en place. D’autres marques l’inquiétaient un peu plus. Il se releva, jetant un coup d’œil à Alexander Lestrange, ignorant sciemment Marcus Parkinson. « Messieurs, si je puis me permettre, peut-être pourrions-nous transférer le corps dans mon service. Je pourrais l’étudier afin de comprendre ce qu’il s’est passé. » proposa-t-il. Après tout, il était directeur du service de pathologie par sortilège. Si l’homme avait effectivement subit un imperium ou n’importe quel autre sort, Nicholas Bulstrode était surement le mieux placé pour le savoir.

Mention:

electricbird.

Morgana Lestrange

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Bal de l'école [Décembre 2001] - Page 3 139f257a10ba5ee0461df2ed60f7c44d3a7583a3
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yule ball
Cette soirée semblait être de celles qui changeraient le monde, n’ayant en aucun cas imaginé que son fils aurait pris sa fiancée à son bras en quelque sorte. Aussi promptement et visible pour que tout le monde puisse comprendre ce qu’elle était pour lui. Adrian l’étonnait en partie, les fiançailles n’étant pas encore officialisées, il n’était pas obligé d’être aussi proche, mais la mère comprenait certaines choses. Des faits qui semblaient n’être pas perçu par le père, Sauf que la jeune sorcière faisait des siennes en choisissant une robe plutôt décevante pour Morgana, elle aurait imaginé qu’à son âge, elle ne jouerait pas encore avec son physique. Elle savait également que cela reviendrait aux oreilles de Cassandra et elle risquait de prendre bien plus que son époux dans cette situation. Elle était celle qui devrait apprendre l’élégance que ce devait d’avoir l’une des épouses Lestrange, alors, elle avait compris ce soir-là qu’elle aurait bien plus de travail qu’elle aurait pu l’avoir avec Hope Travers effectivement. Mais là n’était pas le soucis, son fils semblait finalement très à l’aise avec le choix du paternel et tant mieux d’ailleurs, cela leur faciliterait la tâche. « Tu ne comprendras jamais les enjeux d’être une femme de pouvoir dans notre monde. » Elle dépose un baiser sur le coin des lèvres de son époux pour terminer l'interaction vis-à-vis de la tenue de leur belle-fille. Le but n’était pas non plus de se mettre son époux à dos pour la soirée. Elle lui expliquerait peut-être les raisons de ses paroles dures qu’elle avait énoncé.

Il la laisse à nouveau quelques instants pour interagir à nouveau aux côtés de la directrice de Poudlard, afin de l’aider avec l’un des élèves qui semblait réticent au fait d’écouter la sorcière. Le chevalier que pouvait être parfois Alexander la faisait sourire, même si elle préférait clairement être celle dont il se préoccupait, là elle n’aurait jamais de raison de se sentir jalouse ou autre. Mais il lui revenait bien vite en lui proposant de danser, rare étaient le moment où ils prennaient du temps pour eux dans ce genre de soirée ou les regards étaient bien trop omniprésents. L’anglais profitait du fait d’avoir pleinement retrouver son épouse, elle le savait, alors elle le laissa l’emporter le temps d’une danse, sachant parfaitement qu’ils ne pouvaient pas se permettre de le faire bien plus longtemps. « Ton acharnement ne se tarira jamais. » La musique se terminait et elle aurait préféré continuer à virevolter dans ses bras plutôt que de devoir être à nouveau la sorcière qu’elle se devait d’être dans ce genre de soirée.

Alors qu’ils quittaient la piste de danse, la jeune Selwyn vu touchée par un sortilège changeant l’apparence de sa tenue. Morgana s’obligea à se pincer les lèvres pour ne pas rire de la situation. Visiblement quelqu’un avait choisi de prendre certaines idées aux mots et elle fut surprise et amusée à la fois. C’est à ce moment que leur deuxième jumelle s’approcha d’eux pour les saluer. « Ma chérie. » Elle se contente du léger sourire que sa fille leur offre, tout en lui répondant avec un sourire bien plus chaleureux. Tout semblait donc se passer convenablement, chacun de leur enfant étant présent. Néanmoins, elle ne réagit pas réellement à la dernière phrase d’Ayla, cherchant à comprendre si elle insinuait des choses, était-ce elle qui était au départ du changement de tenue de sa future belle-soeur, Morgan l’imaginait, mais elle ne poserait pas la question devant son époux. Cela devait rester entre elle et sa fille, Alexander n’avait besoin d’être dans cette confidence.

Néanmoins, l’américaine ne put se concentrer sur sa fille, ou bien sa belle-fille bien longtemps, alors qu’un homme attirait l’attention de toutes les personnes dans la salle. Elle détestait ce début d’annonce, cachant bien trop de choses à la communauté magique et à sa famille, elle espérait grandement ne pas faire partie de ceux dont on révèlerait les secrets. Néanmoins, elle est à l’écoute, bien plus qu’Alexander, qui ricane, il ne pouvait pas prendre les choses sérieusement directement. Elle préférait écouter avant d’agir au besoin, mais le sang de son époux se mis à bouillir lorsqu’ils parlaient de leur fille fille. Elle cherche le regard d’Ayla afin d’avoir une réponse obligatoire. Les poisons ? Intéressant comme choix au final, c’était certain, elle ne s’en étonna en aucun cas et ne fut pas autant offusquée que son mari. Morgana était le calme dans leur couple, tout le monde pouvait bien le voir ce soir-là, elle resta bien plus surprise de l’annonce sur Marcus Parkinson, alors qu’elle comptait faire un pas vers le sorcier d’ailleurs, donner l’ordre ne serait-ce que quelqu’un s’occupe de lui. Son mari fit une chose qu’elle ne compris en aucun cas, demander de l’aide à celui-ci. S’il n’y avait ne serait-ce qu’une possibilité pour que l’un de ses secrets soit réel, il fallait faire une enquête et elle comptait bien la lancer elle-même même si personne ne le faisait et la commencer dès le soir même. S’approchant des deux sorciers qui était accompagné de Nicholas Bulstrode. « Il a raison, il faut que nous l’étudions, il est impossible de laisser cela passer. Je m’en occuperais avec vous Bulstrode. » Elle laisse les trois hommes rapidement pour aller retrouver, Nyx Fawley, la directrice de Poudlard allait avoir du travail et elle comptait bien lui proposer son aide si elle le souhaitait. « Je pense qu’il est temps de mettre fin à cette soirée Nyx. Si vous ne le faites pas, je serais dans l’obligation de renvoyer moi-même tout le monde chez eux. » Il était hors de question de laisser les enfants dans ce chaos et les laisser être autant perturbés par la situation. Elle cherchait d’ailleurs les siens qu’elle ne trouva pas immédiatement.


elegance and power.
Nyx Fawley

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Bal de l'école

Nyx avait regagné la salle de réception après s’être entretenue avec le jeune Blackwood. Elle avait eu une petite discussion avec lui, néanmoins, les sanctions n’étaient guère discutables et sans appel à ses yeux. Ainsi, elle n’avait pas cherché à en discuter avec lui ; bien au contraire, elle lui avait plutôt imposé celles-ci, il n’avait plus qu’à obéir, sinon nul doute qu’il en subirait les conséquences, mais pour l’heure, il n’avait pas à s’en préoccuper, surtout s’il lui obéissait. De son côté, il ne lui serait point venu à l’idée qu’il lui désobéirait, mais Nyx finissait toujours par découvrir ce genre de chose, il ne lui fallait généralement que très peu de temps pour le découvrir, cela serait d’autant plus facile pour elle, compte tenu du sortilège qu’elle avait pu lui lancer avant de partir.

Le sourire aux lèvres, elle avait regagné le bal, offrant des regards et sourires gracieux à ceux ou encore à celle qui la regardait ou encore qui l’interpellait. L’ordre semblait de mise, tout le monde s’amusait et demeurait à ses yeux convenables, jusqu’à l’arrivée fracassante de Denis Crivey, par chance, l’un des professeurs entreprit de s’interposer entre elle et lui, nul doute, qu’il serait plus compatissant qu’elle ; il avait eu beaucoup de chance, mais d’un autre, cela la rassurait car elle pouvait malgré tout compter sur certains de ses collègues pour faire respecter le règlement et sa nouvelle position de directrice.

La tête haute, elle la conservait, observant les alentours, tout se déroulait pour le mieux jusqu’à une intervention des plus fracassantes qu’elle n’avait pas prévu. Qu’avait donc pu faire la sécurité pour laisser rentrer cet homme ici, et pourquoi n’avait-elle donc pas encore réagis. Probablement demeurait-il comme elle, quelque peu pétrifié et choqué par l’ensemble de ses révélations. Pendant un moment, elle crut réellement que l’un de ses plus grands secrets allait être révéler, mais elle en fut rapidement soulagée, lorsqu’il se donna en quelque sorte la mort, sans poursuivre.

Elle demeurait toujours bouche bée, surprise, mais rapidement elle reprit contenance. Elle vit Alexander Lestrange faire apparaître un drap, et quémandant de l’aide à Marcus Parkinson. Nicholas Bulstrode s’était empressé de proposer son aide, validé par Morgana. En parlant d’elle, elle était en train de se diriger vers elle et de lui intimer de réagir, ce qu’elle s’apprêtait bien évidemment à faire ! « C’était bel et bien ce que je comptais faire, Madame Lestrange » lui répondit-elle comme si de rien était et comme si elle n’avait rien loupé de tout ce qu’il s’était passé sous ses yeux. Elle s’empressa de rejoindre l’estrade et de prendre la parole « Je réclame un peu de calme, tout est sous contrôle » expliqua-t-elle avant de reprendre « Les préfets sont invités à raccompagner les élèves de leurs maisons dans leur salle commune, votre directeur de maison vous rejoindra rapidement pour vous fournir davantage d’explications et d’instructions » intima-t-elle aux différents élèves présents dans la salle.

Elle admira sans attendre le mouvement quitter la salle, et elle entreprit de regagner le corps et les membres du ministère et l’un des représentants de Sainte Mangouste, elle entreprit de soulever le draps et de regarder plus amplement avant de réagir « Je vous confirme qu’aucune potion n’est à l’origine de son état ou encore de ses actes, je pense qu’il convient en effet de le transférer à Sainte Mangouste, il aura parfaitement sa place dans votre service Bulstrode, je pense que le Ministre désirera un compte rendu de tout cela rapidement, pensez-vous être en mesure de faire le nécessaire ? » lui demanda-t-elle tout en s’adressant aux restes des membres encore présent.

« Je vous laisse transporter le corps, nul doute que le concierge se fera un plaisir de nettoyer tout cela rapidement, je vais me réunir sans attendre avec le personnel de l’école, je vous recontacterai rapidement pour faire le point, cela vous convient-il ? » demanda-t-elle sans attendre aux personnes encore présentes.

Sans attendre, elle entreprit de convier Parkinson à la suivre, sans oublier Miss Granger, son assistante, pour rejoindre le reste du personnel.



Dernier tour pour une conclusion, je laisse ouvert jusqu'à dimanche soir coeur

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