prénom : Nicholas Ferdinand nom : Bulstrode âge & date de naissance : 14 novembre 1957, 44 ans nature du sang : Sang-pur École & maison : Serpentard, Poudlardprofession : Medicomage  Affiliation : Fidèles. Alors qu'il n'était qu'un marmot, déjà son père avait des idées très arrêté sur les moldus, les transmettant à son fils. Nicholas a toujours considéré ses êtres comme inférieurs, y compris les sang-mêlé et les cracmol, considérant qu'ils lui devaient une forme de soumission innée.  S'il était jeune quand il participa à la première ascension de Voldemort, cela ne l'empêcha de se rallier à ses idéaux de sa propre volonté. Le retour du seigneur des ténèbres fut pour lui une véritable bénédiction, mettant tout son talent pour aider à obtenir des informations par la torture. Aujourd'hui savoir que les sang-purs sont considéré à leur juste valeur, lui donne entièrement satisfaction et il n'hésite pas à en jouer. Clairement il n'a pas l'intention de laisser des rebelles tenter de faire changer les choses. Crédit :Suskind (avatar)

La folie, la malice sont des traits de caractères qui semblent émaner de Nicholas Bulstrode.

Ceux qui le connaissent dans un cadre professionnel, dirons de lui que c’est quelqu’un de très pointilleux qui fait attention à chaque détail et chaque petite chose qui pourraient contredire ses projets. En même temps on ne devient pas medicomage de renom en prenant les choses à la légère. Dans ce cadre professionnel si stressant, il n’est pas surprenant de voir Nicholas partir en vrille, aller dans un accès de colère et crier sur tout ceux qui sont sur son chemin quitte parfois à en devenir quelque peu brutal avec des infirmières ou des aides-soignants. La rage au cœur sans doute de faire correctement son métier.

Ceux qui le connaissent dans un milieu plus intime mais tout autant détaché de la réalité, vous dirons que c’est un homme de bonne conversation, très poli qui a le sens du mot dans chaque phrase qu’il prononce et qu’il est très difficile de réussir à le berner par quelques belles paroles. Sans doute que beaucoup se confierait en disant qu’il vaudrait mieux l’avoir comme allié que comme ennemis, toujours une personne qui donne en échange de quelque chose, mais qui semble toujours là pour aider au besoin, non sans vous le rappeler par la suite.

Ceux qui le connaissent intimement, comme ses nombreuses femmes – paix à leur âmes – ou sa fille diront de lui que c’est un homme rude et sans cœur. Nicholas sait se montrer violent, pour obtenir ce qu’il veut et n’apprécie aucune contrariété dans sa vie, encore moins quand cela vient d’une personne qui est du même sang que lui. Un monstre caché derrière un sourire angélique, capable des pires choses. Mais sans doute que ceux qui le connaisse encore mieux qui sont dans ses petits papiers, dirons de lui qu’il n’est rien d’autre qu’un psychopathe, capable de prendre du plaisir dans la douleur des autres et à sourire quand il entend un enfant crier la mort de sa mère. De toute ses facette Nicholas n’est sans nul doute pas un homme simple à cerner, capable d’endosser un masque d’homme honnête un jour et de subtilement tisser sa toile pour mieux vous soumettre à ses envies. Un monstre doté d’une grande intelligence qu’il vaut mieux éviter de rencontrer, ou de côtoyer car derrière ses sourires et ses tenus impeccables vous ne saurez jamais ce qui se cache réellement dans son esprit.

WARNING : Ce personnage est un personnage. Je tiens à préciser que la joueuse n'est absolument pas d'accord avec la violence gratuite et ce que Nicholas pourra faire. Par ailleurs, je préfère prévenir que l'histoire peut comporter des propos en liens avec la violence.

Ecrire ses mémoires, est souvent plus compliqué qu’on ne le pense. Décrire son enfance, décrire sa vie d’enfant, au fond on embellit toujours un peu les choses n’est-ce pas ? On donne une image faussée de la réalité parce que c’est plus beau. La violence, on a tendance à la caché derrière un millier de nuage ou des arcs-en-ciel tout aussi gris et morne que la pluie de Londres. Une ville que beaucoup considèrent comme puante, au lendemain d’une reconstruction, à la recherche de nouvelles volontés de vivre, dans les années 1950 et 1960, le début de nouvelles musiques et de nouvelles mœurs. En ce qui concerne le monde magique, Wihelmina Tuft était toujours ministre de la Magie, gouvernant dans un monde de paix après une seconde guerre mondiale moldu qui avait fait des ravages de tout côté. Toujours gardé son identité secrète pour se protéger. Les Bulstrode en faisait partis, ils étaient ce genre de personne qui n’avaient jamais pris part à des conflits qui ne leur rapporte rien, même si fournir des armes quelques peu modifié à un camp puis à un autre n’était pas une si mauvaise chose, cela faisait un joli feu d’artifice. Des commerçants, des inventeurs, ou tout simplement des gens qui aimaient profiter des malheurs d’autres. Lenora Bulstrode, née Rowle et Rufus Bulstrode n’eurent qu’un enfant. Issus d’un mariage sans aucun amour, simplement par convenance comme c’était la coutume, on ne peut pas vraiment dire que l’enfance de Nicholas fut réellement des plus heureuses. Entre les leçons de convenances et la manie que son père avait de se mettre en colère pour des broutilles, le jeune Nicholas devint bien rapidement un jeune homme très droit, très froid, qui se devait de toujours montrer un visage impassible pour éviter de subir les foudres de son père. Sa mère de son côté lui donnait cette allure d’être pitoyable, toujours à boire, un verre à la main qui semblait ne se rappelait que rarement de son existence. Une ombre dans leur demeure. On ne peut pas vraiment dire que ça ait réellement déranger Nicholas depuis qu’il était jeune, au contraire, il avait toujours vu son père se comporter froidement avec sa mère, voir brutalement des fois, simplement parce qu’elle était une femme et qu’elle lui était inférieure. Bonne à enfanter !

Ce fut dans ce genre d’ambiance qu’il grandit, il n’y a sans doute rien de bien fascinant à raconter son enfance, ni même comment il découvrit ses pouvoirs. Il se savait sorcier depuis longtemps, en même temps quand on était de sang-pur ce n’était guère surprenant. L’idée qu’il aurait pu être un cracmol ne lui avait même pas effleurer l’esprit, pas un seul instant, se montrant sous son meilleur jour rapidement, apprenant à manier les mots pour séduire, même avec un visage d’enfant. Il fut réparti à Serpentard, sans grande surprise, commençant à côtoyer des sang-purs comme lui qu’il avait déjà croisé au fur et à mesure. Leur supériorité n'était plus à démontré selon eux, mais tous se donnèrent un malin plaisir à martyriser tous les né-moldus qu’ils croisaient, encore plus quand un né-moldus avaient été élus ministre de la Magie. Une horreur qui ferait rager n’importe qui. Nicholas observa avec amusement les marches des cracmols pour leurs droits, ne comprenant pas réellement l’intérêt, mais observa encore plus attentivement la venue d’une personne avec des idées passionnantes. Son père en parlait comme s’ils l’avaient attendus depuis des années, qu’enfin quelqu’un faisait attention à qui ils étaient et qui voulait leur donner la supériorité qu’ils méritaient. A Poudlard, Nicholas ne voyait déjà au-dessus de tout, prenant exemple sur son paternel, semant la frayeur chez certains par un sourire, se faisant doucement réprimander par le corps enseignant qui il le savait ne pouvait pas réellement agir. En toute chose, la scolarité de Nicholas fut couronnée de succès selon lui, n’étant clairement pas mauvais élève. Nicholas rejoignit les rangs du seigneur des ténèbres, dans un premier temps aux côtés de son père, alors qu’il sortait tout juste de Poudlard. A ses côtés il y découvrit moult moyen de torturer et d’obtenir des informations, notamment en voyant la souffrance des autres dans leur regard, un sourire admiratif sur ses lèvres. Il voyait la folie chez son père, une folie belle, mais aussi inquiétante et parfois beaucoup trop désordonné pour lui. Mais une réelle fascination commença alors chez le jeune Nicholas, mais cela fut de courte durée quand le seigneur des ténèbres tomba finalement à cause d’un marmot. Les Bulstrode furent accusé, mais le jeune homme intelligent qu’il était devenu, affirma alors que son père complètement fou les avait forcés à participer. Nul témoin ne pouvait nier la folie qui semblait émané de Rufus et sous le joug de son fils, sa mère acquiesça simplement, prétendant que ni l’un ni l’autre n’avait eu le choix.

La vie de Nicholas se transforma alors, son père condamné, sa mère toujours aussi ivre et pitoyable, il entreprit de gérer lui-même des fiançailles prévues avec une jeune femme de la famille Flint. Mélissandre Flint. Il ne la regarda à peine le jour du mariage, sachant très bien que cette union n’était là que pour perdurer des traditions, des sangs qui se devaient de rester pur. Le jeune Nicholas avait déjà entrepris ses études de medicomagie à la suite de ses années à Poudlard, entrecoupé par les prises de positions du seigneur des ténèbres, il continua sur cette lancée à la fin de la première guerre des sorciers. Il aimait voir comment les corps réagissaient au sort, comment les potions pouvaient être pensées pour soigner ou au contraire blessé. Dans le manoir où sa mère n’était plus qu’une ombre et où sa femme en deviendrait une, parfois cela lui arrivait de tester des choses ; sur l’elfe de maison, sur le chat qu’il avait offert à Melissandre pour leur mariage, ou simplement sur ce qui lui tombait sur la main. Par curiosité, autant que par envie. Rentrer du boulot, de l’hôpital avec la rage au ventre le prenait souvent, chaque jour, même si cela lui arrivait d’avoir un côté jovial parfois qui ne prévoyait rien de bon pour son entourage. La première fois qu’il toucha sa femme, Nicholas se sentit infiniment frustrée, ne voyant aucune lueur dans son regard, ni même ne ressentant même pas de plaisir à l’idée de la voir ainsi. Ce ne fut surement qu’une fois qu’il eu trouver son compte, en mêlant violence et sexe – au grand détriment de Melissandre – qu’il y trouva une certaine satisfaction. Le genre d’homme capable de rentrer chez lui et de forcer sa femme, qui selon lui ne lui servait qu’à cela, à coucher avec lui. Elle était sienne et cela ne changerait jamais. Etrangement par ailleurs, il mit un moment avant de réussir à avoir des enfants, alors qu’il entendait presque les rumeurs dans les soirées mondaines comme quoi il ne pourrait pas enfanter, qu’il aurait quelque souci à ce niveau-là. Était-ce de sa faute ? Il trouva la solution bien des années plus tard, en voyant sa femme prendre une potion de contraception. Elle le qualifia de monstres, ayant parlé de tout cela à ses parents, qui ne voyait pas le mal à ce qu’un homme jouisse de sa femme, elle n’avait trouvé que cette solution pour ne pas lui donner satisfaction. Nicholas rentra dans une colère noire, ne contrôlant pas sa rage tout en usant de sortilège doloris sur sa femme, la frappant jusqu’à n’en plus pouvoir, ne laissant qu’un corps rempli de sang sur le sol. Il ne la tua pas ce soir-là, arrivant à se contrôler à la juste limite.

Une fille naquit finalement, un joli petit brin de marmot qui s’était mis à crier dans tout le manoir. Les coups donnés continuellement à Melissandre avait eu raison d’elle, ou simplement avait-elle décidé d’en finir tout simplement, mais elle ne survécu que quelques jours après la naissance.  Nicholas aurait surement pu être ravis d’avoir une progéniture, mais ce n’était pas un garçon. Il s’agissait d’une fille, au sourire adorable et aux yeux de sa mère, tout aussi belle qu’elle pouvait l’être. Il la délaissa volontiers à des domestiques, ne s’inquiétant d’elle que lorsqu’il était question d’éducation. Il l’avait appelé Victoria Bulstrode. Un prénom digne d’une reine, mais pour laquelle il n’avait aucune considération. Nicholas pouvait se souvenir sans soucis des moments où elle venait chercher son attention et où l’homme n’en avait strictement rien à faire. Il avait d’autres projets, au moins pourrait-il un jour la fiancée à quelqu’un, Nicholas n’étant jamais tendre avec sa fille, plus d’une fois violent dans ses mots ou dans ses gestes, certains que comme sa mère un jour elle chercherait à le tuer. Il y avait réfléchi plus d’une fois et une idée lui était venue. Une idée cruelle à offrir à son enfant qui ne comprit absolument pas l’étendue de ce qui allait lui arriver. Elle avait cinq ans, peut-être six, il ne s’était jamais occupé de l’anniversaire de sa fille, quand il avait demandé à l’une de ses domestiques de pratiquer un serment inviolable avec Victoria. Elle ne pourrait ainsi jamais le tuer. Et il promettait de ne jamais la tuer en retour. La petite fille avait hésité, longtemps, avant de voir son papa sourire, affirmant que tout irait bien ainsi. Ce pacte sacré dont sa fille n’aurait surement jamais confiance à l’âge adulte fut le départ de bien des traumas qu’il causa à Victoria, à coup de violence physique et psychologique qui semblèrent moins nombreuses que lorsqu’elle rejoignit finalement Poudlard. Une manière d’aimer, dirait certains.

Nicholas en profita pour se remarier, ayant tisser des liens avec des sang-purs d’autres pays pour trouver une nouvelle femme qui pourrait éventuellement lui donner un héritier. Mais on ne changeait pas l’homme qu’il était, prenant son pied dans la violence qu’il donnait aux autres, elle subit le même traitement que sa précédente femme. Mais l’année où Victoria fut accueillie à Poudlard marqua également une année bien spéciale pour Nicholas. Depuis de nombreuses années, tapis dans l’ombre, il était médicomage le jour et bourreau la nuit. Il avait entrepris de nombreuses constructions dans les sous-sols de son manoir, des accès dont il était le seul à connaitre les entrées où il se livrait à des expériences sur les moldus ou les né-moldus. Son but : perfectionner son art de la torture. Il avait depuis quelques temps maintenant sentit que l’heure où le seigneur des ténèbres reviendrait, ne tarderait pas et il voulait lui être utile. Voir le sang giclé, recouvrir le sol, entendre les cris des pauvres malheureux sous ses doigts étaient tellement jouissif pour lui. Parfois la nuit on pouvait entendre des pleurs ou des cris, mais il ne fut jamais inquiété prétendant que ce n’était que les plaintes de ses chiens. Lors de l’année 1994, il rejoignit les mangemorts qui se mêlèrent à la foule pour attaquer le camp de la coupe du monde de quidditch. Il y prit un malin plaisir à entendre les cris, voir les tentes brûlées, mais rapidement toutefois pris la fuite pour ne pas se faire repérer.  L’année se déroula en somme sans accrocs, observant de loin le Tournois des Trois sorciers, avant de finalement se rendre au cimetière quand sa marque le brûla. Il savait n'avoir rien à craindre, accueillant la venue du seigneur des ténèbres avec beaucoup trop d’enthousiaste, caché derrière son masque.

Rapidement, Nicholas devint un atout pour le seigneur des ténèbres, ne se préoccupant de sa fille que lorsqu’il se souvenait de son existence. Elle avait son caractère, il pouvait le reconnaitre, toujours source de contrariété même s’il la corrigeait comme il savait le faire. Nicholas pouvait sentir la peur parfois gagner les yeux de Victoria, quand elle se rendait compte de ce que son père faisait, mais il ne faisait rien d’autre que sourire. L’année 1997 fut magnifique pour lui, alors que Voldemort avait finalement repris le pouvoir qui lui revenait, que les né-moldus étaient remis à leur place et que finalement les sang-purs étaient vus à leur juste valeur. La victoire qui suivit la bataille de Poudlard fut naturellement délicieuse à savourer, voyant dans le regard de ceux qui avaient voulu combattre la peur de la défaite. Il devint Medicomage en chef du département des pathologies des sortilèges, continuant toutefois à fournir ses services auprès du seigneurs des ténèbres lorsqu’il s’agissait d’interroger des personnes. Ce fut lors d’une soirée entre sang-pur qu’il rencontra finalement une jeune femme qui retint toute son attention : Eilya Greengrass. Elle n’avait que 23 ans ou peut-être 24 ans. Nicholas avait toujours aimé les jeunes femmes, sa femme qui n’était devenue que l’ombre d’elle-même, un bien sans intérêt pour lui, avait plus dix ans de différence quand il l’avait épousé. Mais Eilya l’intrigua rapidement pour autre chose. Leur conversation se fit aussi douce qu’atroce, d’un point de vue expérience. Apprenant qu’elle avait un certain talent pour les poisons, il lui demanda de lui en fournir. Le lendemain il se retrouvait avec une fiole qu’il versa dans le thé de sa femme dont le décès fut immédiat, annonçant selon les légistes qu’il ne s’agissait que d’une crise cardiaque. Trouvant cela fort efficace et fabuleux, Nicholas entreprit de montrer son entreprise macabre à la jeune femme, certains que si elle prenait peur, il pouvait aussi bien la tuer sur le champ, mais fut ravis de voir la fascination qu’elle eu pour ses projets personnels. Nicholas la pris sous son aile, faisant d’elle son assistante. Voir ses yeux qui pétillaient devant la cruauté dont il faisait preuve, lui donnait un pouvoir immense, une satisfaction qui prit plus d’une fois une tournure charnelle, toujours dans la beauté du sang et de la violence.

Aujourd’hui, presque quatre ans après l’ascension au pouvoir de Voldemort, la défaite de Harry Potter, Nicholas est devenu un atout quand il s’agit d’obtenir des informations par la force, un sourire toujours sur les lèvres en laissant son imagination mortelle parlé, écoutant attentivement les propositions de son assistante Eilya et prévoyant le mariage de sa fille à une personne bien né. Et jamais il ne laissera quiconque le briser de son plaisir actuel.