@font-face {font-family: 'Bernard MT Condensed';src: url('https://dl.dropbox.com/s/lmu0dfqqt9d42j8/BERNHC.TTF?');font-family: 'Castro Script';src: url('https://dl.dropbox.com/s/a4ji6ug4xvi86nw/CastroScript_PERSONAL_USE_ONLY.ttf?');}“Assez tôt, sur mon parcours, j'avais rencontré l'amitié. Et jusqu'à ce jour, elle marche toujours à mes côtés.” [PV Ronald Weasley]
AK
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Anonymous

En bref



“Assez tôt, sur mon parcours, j'avais rencontré l'amitié. Et jusqu'à ce jour, elle marche toujours à mes côtés.”
@Dean Thomas & @Ronald Weasley

Samedi 15 septembre 2001, chez Weasley, Farces pour sorciers facétieux Le mois était déjà bien entamé. Le Chemin de Traverse avait récupéré son calme habituel, bien loin de la cohue principalement estudiantine que l'on y trouve généralement durant les vacances - surtout celles estivales. C'est qu'entre les flâneries qui se font encore par certains durant les chaudes journées de juillet et les achats des fournitures scolaires en août, la célèbre rue commerçante magique pouvait désormais paraitre pour être bien trop clame.

Dans tous les cas, que le quartier sorcier de la capitale anglaise te paraisse plus calme n'avait pas changé grand chose à ton quotidien.  Tes semaines étaient principalement rythmées par tes services à l'Antre de Merlin, donc ce n'était pas l'éventuel moins de monde sur le Chemin de Traverse qui allait te "perturber" plus que ça.
En ce troisième samedi du mois, profitant d'un moment de pause avant de prendre ton service du soir, tu t'étais décidé à sortir faire un tour. Tu n'avais pas spécialement l'intention de te rendre à la boutique tenue par les frères Weasley, mais c'est une bande de gamins qui en sortait dans un mélange d'hurlements et de rires qui t'en fait finalement passer la porte. Tu avais toujours admiré la capacité de George et Ron de vouloir continuer à faire tourner le magasin que les jumeaux avaient ouverts. Continuer à créer des facéties et autres bonbons après ce qu'eux et leur famille avaient traversé comme épreuve, à leur place, tu n'étais pas certain que tu aurais réussi...

Une fois dans le magasin, tu repéras assez rapidement la crinière rousse de ton ancien camarade de dortoir qui semblait de finir de batailler avec des frisbees à dents de serpent. Les "jouets" avaient sans doute aucun dû être lâchés par la bande de gamins que tu avais croisés. Ca devait être les désavantages - ou les avantages - d'avoir un magasin de farces et attrapes: c'est que les gens se permettaient peut-être de se lâcher et d'y faire plus de bêtises que dans n'importe quelle autre boutique! “Y a l'air d'avoir de l'ambiance, ici...!” Que tu ne peux t'empêcher de lancer avec un sourire en guise de salutations au Weasley.

Anonymous

En bref


Assez tôt, sur mon parcours, j'avais rencontré l'amitié. Et jusqu'à ce jour, elle marche toujours à mes côtés.Après la bataille de Poudlard, j'avais rejoint George dans l'affaire familiale. J'avais toujours admiré les farces inventées par mes grands frères. Je pensais que George n'accepterait pas ma proposition, mais il a dit oui et c'était le plus beau jour de ma vie. J'aimais travailler avec lui dans le magasin, même si parfois j'avais des envies de meurtres envers les élèves de Poudlard. Mais ça me permettait également de me rappeler comment j'étais à l'époque.

Le magasin ne désemplissait pas. Chaque jour il attirait les jeunes sorciers et sorcières en quête d'un peu de joie de vivre. Je n'imaginais pas la vie à Poudlard avec tous ces changements. Je comprenais ces jeunes, j'en aurais sûrement fait autant à leur place. Le plus important là-dedans, c'était que nous n'arrêtions pas un instant et ça me permettait d'oublier mes propres soucis.

Une bande de gamins avaient fait son apparition peu avant la fermeture et je me doutais bien qu'ils préparaient un sale coup. Je les repérais de loin ceux-là, car je pouvais aisément me mettre à leur place. Je les surveillais discrètement, en faisant semblant de rempoter un rayon de magie moldu. Je détournais le regard quelques secondes pour essayer de voir si George n'avait pas besoin d'aide. Et là les frisbees à dents de serpents commencèrent à voler dans le magasin. Je mettais alors la bande de gamins dehors avant d'essayer d'attraper les jouets.

Quelle idée lumineuse de proposer cet objet en vente libre dans le magasin ! Pensais-je. J'attrapais le dernier plusieurs minutes plus tard avec l'aide de mon frère, quand j'entendis une voix familière. Je me retournais et apercevais mon ancien camarade de dortoir. Nous en avions passé des soirées agréables ensemble. Je lui faisais un sourire mi-amusé, mi-courroucé.

« Salut Dean ! Ouais on s'amuse comme des fous ! »

Lui lançais-je, sur un ton ironique avant de lui envoyer un frisbee.
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