FB AOUT 2001 - PV  @Ferdinand L. Wieder

Membre de la haute société, Callista était une femme intelligente et tout particulièrement ambitieuse. Tout lui réussissait (tout du moins presque). Sa plus grosse et récente réussite, était également son plus gros échec. Le nom des Travers avait été malmené et bafoué à cause de toute cette histoire, et elle se devait avec son mari de le redorer. Elle était devenue encore beaucoup plus stricte et intransigeante, ce qui était positif pour certains et négatifs pour d’autres. La tête haute, elle continuait à se rendre à son travail, et à satisfaire sa clientèle tout en se rendant aux soirées mondaines malgré les quelques bruits de couloirs, et au ministère pour son propre compte personnel.

Elle n’avait pas perdu le nord, et elle n’était pas du genre à se laisser faire. En seulement quelques semaines/mois, elle y était arrivée et elle avait réussi à faire cesser les bruits de couloirs, même si sa haine à l’encontre du patriarche Lestrange n’avait absolument pas disparu à ce jour. Elle essayait juste de ne pas le montrer. Actuellement dans son atelier, qui était également présent dans la boutique et dans une pièce du manoir Travers, Callista réfléchissait activement face aux différents modèles de costume qu’elle avait confectionné et qu’elle allait présenter à son plus fidèle client qui n’était autre que Monsieur Wieder, un membre haut placé du ministère de la magie.

Elle n’était pas à 100% satisfaite, car à chaque fois, elle se disait qu’elle aurait pu mieux faire, cependant, si elle ne partait pas maintenant, elle allait être en retard, et vu qu’elle était une personne des plus respectueuses et qu’elle était une grande appréciatrice de la ponctualité, elle s’empressa donc par le biais d’un sort de diminuer la taille de tout ce qu’elle allait transporter, et lorsqu’elle eut terminé, elle entreprit de transplaner jusqu’au manoir Wieder.

Une fois arrivée, elle entreprit de frapper et d’attendre que quelqu’un vienne lui ouvrir la porte, elle fut ensuite conduite jusqu’au lieu où se trouvait son client ; elle entreprit de le saluer « Bien le bonjour Monsieur Wieder, vous avez une excellente mine, comment allez-vous aujourd’hui ? » s’enquit-elle de demander.