Alexander C. Lestrange a écrit:Coucou

J'ai une idée comme lien et qui remonterait à des temps immémoriaux. Les deux familles, Wieder et Lestrange auraient pu s'épauler au 17e siècle, les deuxième aidant les premiers à fuir le pays. Depuis, la première a donc une dette envers la deuxième et une « amitié » une « alliance » aurait pu se former entre elles qui ne serait pas oublié des descendants. Alexander l'aurait su de son père qui lui l'aurait su de son père et ainsi de suite. Chacune des deux familles s'épauleraient  ainsi depuis.

Par ailleurs, vu que Ferdinand a un poste haut placé sur l'échiquier politique, il est inconcevable qu'il ne discute pas au moins une fois par semaine avec Alexander. Alex est le président-directeur du magenmagot et, depuis 2001, le bras droit du Seigneur des Ténèbres. En gros, si monsieur est absent il faut s'adresser à lui et il agit à titre de porte-parole aussi (remarquons qu'il fait quand même une meilleure job avec sa beauté naturelle, arhem sors)

Alors voilà pour moi.

Le lien entre nos familles remonte à une autre époque où les miens avaient aidé les siens à fuir la France pour la Prusse, aujourd’hui l’Allemagne. Dès lors, les Wieder avaient non seulement une dette envers les Lestrange, mais ceux-ci se sont arrangé pour toujours être de bons amis à cette famille de sorciers dorénavant allemande. L’éloignement territorial n’a jamais non plus été un problème, car ces liens d’amitié et d’entraide entre sorciers doivent transcender l’espace. Ainsi, plusieurs partenariats économiques avec d’autres gens ont été forgés grâce aux Wieder pour les Lestrange ou même inversement. Peu de Wieder sont présents au Royaume-Uni cependant et donc Ferdinand n’a pas passé inaperçu de mon père et de mon oncle voire moi-même à ce moment ou je n’étais qu’un enfant. J’ai, très tôt, eu connaissance de l’histoire ayant mené à cette amitié. Je la connais par cœur et je tiens bien à la préserver puis, pourquoi pas, à la faire péricliter. Non seulement les alliés sont importants, mais plus encore une amitié tangible et loyale. C’est celle-ci qui fait du bien à l’âme malgré les revers. Aujourd’hui, c’est surtout moi en la place de mon père et de mon oncle qui va vers Ferdinand Wieder. J’y trouve un homme, un sorcier avisé et compétent avec qui j’aime échanger.