Darius n’avait pas eu vraiment le choix. Il était venu pour deux raisons. La première était évidemment parce qu’on l’y avait convié. N’étant pas mangemort mais tout de même en contrat étroit avec Lord Voldemort, il ne pouvait se permettre de refuser ce genre de soirée. La seconde raison était beaucoup plus intime : le fait que l’on s’en prenne à Ayla Lestrange en révélant son secret ou encore indirectement de Victoria Bulstrode lui avait laissé un goût amer dans la bouche. Il était plutôt furieux que l’on s’en prenne à ses seules amies.

Cependant, Darius était très curieux au fond. Très curieux de savoir qui avait bien pu mettre à mal un bal dans l’un des lieux les plus importants du monde sorcier de Grande-Bretagne, sans que les lieutenants ni Voldemort lui-même ne puissent intervenir correctement et arrêter l’attaque avant qu’elle n’ait lieu ! Au fond de lui, Darius était satisfait d’une partie de la situation. Cette situation. Parce que cela lui prouvait que l’on pouvait se défaire de Lord Voldemort et cela lui donnait sans qu’il le réalise vraiment… un semblant d’espoir.

Le jeune homme avait donc hâte que l’on leur en dise plus sur cette fameuse nuit où il n’avait été que témoin. En attendant, il se tenait discret, comme toujours. Habillé de noir, comme il en avait l’habitude, il était élégant sans être trop voyant. Le jeune homme prit le temps de saluer tout le monde et notamment Alexander Lestrange, Maximilian Rosier et bien évidemment son mentor, avant de se tenir appuyé à un mur, attendant patiemment ce qui l’intéressait vraiment…

Elegius avait été envahi par une colère brûlante au bal de Noël, une colère alimentée par son sentiment d'impuissance face à l'intrusion du fanatique du « Chaos ». Ce dernier avait semé le trouble et la terreur parmi les sorciers les plus puissants de la soirée, les réduisant à des spectateurs impuissants face à son acte de violence extrême. Pire encore, il avait choisi de se suicider avant que quiconque ne puisse l'arrêter, emportant avec lui ses secrets dans la tombe, frustrant ainsi les efforts des autorités pour démêler son plan et ses complices.

Pour Elegius, dont l'ambition de devenir un mangemort efficace et puissant était en constante ébullition, cette situation était particulièrement exaspérante. Il était venu à la réunion du conseil avec l'intention ferme d'en apprendre autant que possible sur les événements de la nuit précédente et, si l'occasion se présentait, de se montrer utile dans la recherche de solutions.

Avant le début de la réunion, Elegius prit le temps de saluer les personnes qu'il connaissait, en particulier son parrain, Maximilian Rosier et sa femme, et l'une de ses figures d'admiration, Alexander Lestrange. Evidemment, il salua Morgana. Il leur fit savoir qu'il se tenait à leur disposition si besoin était, puis se retira discrètement pour s'asseoir et réfléchir à la meilleure façon d'apporter sa contribution. Il prit le temps également de saluer Ayla et Keylian. 

Alors que l'attente de la réunion lui semblait interminable, Elegius bouillonnait d'impatience. Il avait tant de questions qui tournoyaient dans son esprit, en commençant par la véracité des révélations du sorcier du chaos. Était-il possible que Marcus Parkinson, un sorcier respecté, soit vraiment un traître ? C'était l'une des questions cruciales qu'il espérait voir abordées lors de cette réunion tendue.

Maximilian pensait avoir enfin laissé derrière lui les réunions dénuées de tout but, à part celui de satisfaire les caprices de celui dont le nom ne doit pas être prononcé. Ayant quitté le conseil de sa propre initiative, il se retrouvait, malgré lui, encore mêlé à ces affaires. Il n'avait même pas assisté à ce maudit bal. Quel intérêt cela pourrait-il donc avoir pour lui? Mais soit, il accepta la situation telle qu'elle se présentait et transplana, comme à son habitude, directement sur son siège, attendant patiemment le début de la joute verbale. Dans ce genre de circonstances, le Seigneur des Ténèbres exigeait du sang, et beaucoup de sang.

Le visage du patriarche affichait une expression fermée, indiquant clairement qu'il n'était guère enclin à prendre la parole, sauf pour répondre aux questions qui lui seraient posées. Il avait déjà pris toutes les dispositions nécessaires pour éviter qu'une telle situation ne se reproduise. La sécurité était désormais à son paroxysme, mais parfois, même donner son maximum ne suffit pas, et qui sait ce que cette réunion apporterait de nouveau. Il tenait discrètement sa baguette dans sa manche, prêt à la dégainer si le besoin se faisait sentir. Il n'avait pas pour habitude d'être pris au dépourvu. Qui sait si quelqu'un avait l'intention de trahir, ou quelle autre futilité pourrait surgir, surtout venant de Marcus. L'idée que Marcus puisse être un traître le surprit; après tout, à ce stade, rien ne pouvait vraiment le surprendre.

« Et les quatre nés-moldus dans ton grenier, tu veux nous faire gober qu’i’s’ont été là par hasard ?
— Je… ne sais rien… Je n’en sais rien ;
— J’entends pas, qu’est-ce tu dis ?
— Ce pauvre loup vous dit qu’il ne sait pas de quoi vous parlez, très cher. Il est grand temps de faire quelque chose quant à vos problèmes de surdité ! »

Le moribond, nu, ruisselant de sueur et de sang, leva la tête. Son tortionnaire qui conférait davantage à l’ours qu’à l’être humain, tourna également la sienne en direction du petit homme potelé, confortablement installé sur une vulgaire chaise de bois.
Le vieil homme, parfaitement habillé d’un costume de velours rouge sang, la face grasse enroulée d’une élégante cravate de soie noire aux reflets argentés, la mine soudainement contrite et embêtée, portait sur l’étonnant et sanglant tableau un regard froid d’un spectateur de théâtre qui s’ennuie. Si l’assemblage rustique de quelques morceaux de bois sur lequel il était installé avait été remplacé par un élégant fauteuil, on aurait pu tout à faire croire qu’il se trouvait dans quelque salon mondain à discuter des dernières rumeurs ou d’une augmentation soudaine d’un produit complètement inutile. Les jambes croisées l’une sur l’autre, la cigarette fine fumante fixée dans le porte-cigarette, dégageant une entêtante odeur de lavande, Ferdinand Wieder assistait depuis quatre heures à la torture d’un jeune homme d’une vingtaine d’années tout juste arrêté par les Raffleurs. Tout un réseau souterrain portant secours à des Sangs-de-bourbes fuyards avait été démantelé un peu plus tôt par les Aurors et les Raffleurs, tandis que déjà les oisillons de Wieder volaient vers les membres qui n’avaient pas eu le temps de s’échapper. Une fois la répression musclée réalisée, restait au Département de Contrôle de la Population magique le lent et alchimique travail d’analyse, de récolte d’informations, de classification et d’enquête idéologique pour limiter politiquement ce qui semblait être un nid de résistance. La boue devenait progressivement de l’or… Mais force était de constater que tout n’était pour le moment que boue.

Le jeune homme, qui avait été beau le matin même, le corps svelte et musclé, pendant les mains accrochées, entièrement nu, des marques sur son corps, traces violentes de la torture qu’il venait de subir.
Wieder s’en tenait à une raisonnable distance. Il s’était installé sur cette chaise inconfortable pour ne pas laisser son âme s’appesantir dans l’ivresse de cette souffrance qu’il lisait dans les yeux du torturé. La rudesse de l’assise l’obligeait à rester éveillé, à observer et à analyser les soubresauts d’une voix qui ment ou qui dit la vérité, d’un regard qui a peur ou qui est fier. Sa mémoire, dernier vestige de ce qu’avait été son intelligence, notait et retenait tout de cette séance. Ses yeux fixaient ce qui ressemblait à des signes, à des réponses non maîtrisées par le jeune supplicié. Mais, au plus profond de lui, l’Araignée savait qu’il faisait durer cette séance qui aurait pu être raccourcie par un sortilège impardonnable ou un sérum de vérité. Et s’il le faisait, c’était bien pour frôler des sens ce doux contact avec le physique athlétique du bourbiste. Sa souffrance remplaçait le désir que le vieil homme aurait pu ressentir en voyant ses jambes finement recouvertes de poils, ses muscles du torse tendus et suants, son sexe au repos, son ventre dessiné et qui avait dû faire rêver la femme qui partageait sa vie avant qu’elle ne soit exécutée quelques minutes plus tôt sous ses yeux.
Wieder buvait ce spectacle de la souffrance pour ne pas ressentir la sienne, celle tapie au fond de lui, celle qui avait résulté de son désir pour les corps masculins. Cette monstruosité à laquelle il se livrait n’était finalement que le fruit empoisonné de sa propre blessure.

« Mais M’sieur le Directeur, faut qu’i cause celui-là ! Dans une heure il est mort, faut qu’on en tire qu’que chose !
— Tu as bien raison, mon grand. Wieder déplia ses deux jambes comme une pieuvre qui arme ses tentacules devant une proie. Il se leva, délicatement, tel un personnage d’une pièce de théâtre tragique prêt à son prochain monologue. Mais, vois-tu, la plus intime des vérités s’entend dans le dernier souffle... Le vieil homme se trouvait désormais devant le corps endolori de la victime. S’approcher au plus près de l’extrême limite, celle juste avant la Chute… Les yeux globuleux observaient le visage qui petit à petit perdait sa couleur naturelle, celle de la vie. C’est à cette extrémité-là que nous saurons tout…
— Monsieur le Directeur ? Wieder se retourna. Je tiens à vous rappeler que vous êtes attendu au Ministère et que nous avons du retard.
— Et… Wieder reprit dans son regard le regard du jeune homme sur le point de mourir. Sa main blanche, baguée, potelée, caressa la joue abîmée de multiples entailles, passa sur les poils d’une barbe de quelques jours, descendit dans le cou passant sur les pulsations sanguines qui faisaient se soulever la fine et jeune peau. Voilà seulement que vous me sonnez, Neeson ? La main du Mangemort se referma sur le cou du jeune homme dont les yeux s’ouvrirent de nouveau, comme soulagés d’être enfin promis à la mort. Imbécile. »

Et Wieder lâcha son emprise.
Ce que vit le supplicié, en à peine une seconde, ce fut le tressaillement de dégoût qui passa sur la face livide et arrondie de Ferdinand Wieder. Seul lui put percevoir ce qui ressemblait aux traces d’une émotion du vieil homme, seul lui au seuil de la mort put ressentir le gouffre dans lequel son bourreau se débattait. Des deux, il ne faisait aucun doute que Ferdinand Wieder était le plus mourant.
Le fameux G., espion et maître-tortureur, et Andrew Neeson, secrétaire particulier de Ferdinand Wieder, ne virent rien du visage de leur supérieur qui leur tournait le dos. Trop habitués à l’horreur, ils ne perçurent pas non plus le regard du supplicié qui, seul, l’avait regardé dans les yeux. L’un, trop pressé d’en finir, et l’autre, soucieux de la ponctualité du Mangemort, n’étaient en rien sensibles aux fractions de seconde d’existences fracturées.
Wieder se retourna, marcha jusqu’à une table aussi sommaire que la chaise sur laquelle il était plus tôt assis, et plongea ses deux mains dans une bassine d’eau. Il les frotta longtemps, l’œil froid porté vers la fenêtre du hangar qui donnait sur une forêt sombre. Il se les essuya soigneusement, replaça avec délicatesse ses deux bagues pour enfin relever la tête vers ses deux subordonnés, le visage entaillé par un sourire doucereux. « Allons-y, Neeson. »

Quelques minutes plus tard, le Directeur du Département de Contrôle de la Population magique fit son apparition dans l’Atrium du Ministère de la Magie, confortablement enroulé de son costume de velours, la démarche légère d’une danseuse, avançant avec sérénité ses petits pieds enfermés dans des mocassins dont les talonnettes faisaient résonner le parquet usé et vert des lieux.
Il parcourut, Neeson à ses trousses, de nombreux couloirs, monta quelques escaliers et en descendit d’autres avant d’entrer dans la salle où bien des sbires du Seigneur des Ténèbres s’étaient réunis.
Et, comme une tragédienne dont le moment est enfin venu de faire son entrée sur scène, Ferdinand Wieder, un large sourire milieu sur sa face enrobée, pénétra dans la pièce.

« Mes très chers amis, pardonnez ce honteux retard ! Neeson, ce singe-savant, n’a pas été en mesure de me transmettre le bon horaire. Le petit homme courut presque jusqu’à sa chaise, lança à qui voulait bien les recevoir des sourires peinés ou affligés, et s’installa avec toute la grâce qu’un vieux dandy sentant la lavande était en mesure de produire. Une lourde affaire a retenu mon attention… Mais, je crains que d’autres plus graves nous attendent ! »

Il semblait tout à fait normal que Maximilian prenne la parole en premier. Après tout, il occupait la position de Directeur de la Justice Magique et, en cas de conflit, il servait également le général des forces du Seigneur des Ténèbres. D'une manière abrupte mais silencieuse, il se leva, balayant du regard chacun des individus présents autour de la table. Son allure, habituellement glaciale, avait pris ce soir-là une teinte encore plus froide, témoignant de la gravité de l'heure. La guerre, semblant inévitable, menaçait de fragiliser davantage la stabilité de la nation ainsi que celle des institutions magiques. Les marques de l'épuisement étaient visibles sur son visage ; il était clair qu'il ne s'était pas accordé le luxe du sommeil depuis plusieurs jours, se soutenant à peine grâce à des potions d'éveil.

"La guerre est à notre porte, j'en suis persuadé. Malgré mes multiples appels au ministre pour un changement de politique, il persiste dans son refus. Les rebelles redoublent d'activité ces temps-ci, remplissant nos salles d'interrogatoire, tandis que les Aurors et la police magique œuvrent sans relâche pour protéger et servir notre communauté," déclara-t-il, appuyant ses deux mains sur la lourde table de bois qui occupait le centre de la pièce.

Il poursuivit, "Lors d'une récente intervention dans les docks moldus de Londres, nous avons saisi des documents révélant les intentions de certains rebelles de s'en prendre aux enfants des hauts dignitaires Mangemorts, notamment Ailya Lestrange, Samaël Rosier et Syanna Selwyn. C'est cette menace qui m'a poussé à renforcer la sécurité autour de Poudlard. Tant que les élèves ne provoquent pas les Détraqueurs, ces derniers assureront la sécurité de l'école et dissuaderont toute tentative d'agression envers les innocents. Cependant, nos effectifs sont insuffisants."

À ce moment, le patriarche Rosier se redressa pour prendre la parole, son ton empreint de sérieux. "Isabella a été envoyée en mission car nous suspectons la présence d'un potentiel traître. Après les révélations du Bal, Marcus est devenu un sujet de préoccupation. Cependant, je vous interdis de propager la moindre rumeur ou infamie à son sujet. Je connais Marcus depuis plus longtemps que quiconque ici présent. Nos états de service sont comparables, et sa famille est tout aussi respectée et crainte que la mienne. Si ces suspicions s'avèrent fondées, je m'en occuperai personnellement."

La résolution de ce problème se ferait certainement par un duel. Marcus était un sorcier redoutable, certes, mais pas autant que Maximilian. Leur confrontation durant le cours de duel n'avait été qu'un échauffement, une prémisse à un affrontement bien plus décisif.

"Je suis actuellement engagé dans la mise en œuvre de réformes au sein du Département de la Justice Magique, tout en préparant les dispositifs nécessaires pour une éventuelle guerre. Mes hommes et moi serons les premiers à monter au front, à condition, bien sûr, que ces lâches de rebelles acceptent de se mesurer à nous dans un affrontement direct et ordonné. Nous n'avons pas l'intention de les laisser perturber davantage notre société sans riposter. Ces réformes et préparatifs sont essentiels pour garantir non seulement la sécurité immédiate de notre communauté mais également pour préserver l'ordre magique que nous avons mis tant d'efforts à établir. Le temps est venu d'affirmer notre détermination et de montrer que nous ne reculerons devant aucun sacrifice pour protéger notre monde et ses valeurs. Le Département de la Justice Magique se doit d'être un bastion de force et de résilience, prêt à affronter les défis qui nous attendent avec une volonté inébranlable."

Maximilian, déterminé à remporter la guerre imminente, avait reçu des instructions claires du Seigneur des Ténèbres : réprimer l'ennemi à tout prix. Contrairement à de nombreux mages noirs, la peur de la mort lui était étrangère. Pour lui, la Mort était une vieille connaissance, ayant emporté tant d'êtres chers qu'il avait cessé de les compter. Au fond de lui, il se demandait si cette guerre serait celle qui le réunirait finalement avec cette vieille amie. Maximilian faisait partie de ces hommes qui préféraient ne pas finir leurs jours alités, que ce soit dans le luxe de leur manoir ou dans la froideur d'un lit de Sainte-Mangouste. Mourir les armes à la main, voilà ce qu'il considérait comme un honneur.

Il trouvait un étrange réconfort dans l'absence de son débauché de fils. Concentré sur les stratégies à venir et les ordres du Seigneur des Ténèbres, il était prêt à mener ses troupes dans la bataille, animé par une résolution inébranlable et une acceptation tranquille de tout destin que la guerre lui réservait.

L'auror transplana quelques secondes après son mari, cette réunion avait été demandée rapidement et malgré les missions pour trouver le nid des rebelles rapidement la sorcière prit le temps de venir, les lestranges sont une famille auquel les rosiers étaient en liés régulièrement.
Rapidement, elle s'installa à droite de son mari pendant que les autres prirent place également autour de la grande table.
Le fait que les portes se firent fermer en un claquement de baguette fit poser dans l'esprit de la sorcière quelques questions puis vient le tour de parole. Le sujet était clairement énoncé ainsi une solution devait être trouvé cela aller de soi d'autant plus que de son coter Isabella mener de nombreuses enquêtes avec ses équipes à ce sujet.
Elle mit sa main discrètement sur le genou de son époux empoignant quelques secondes l'articulation quand celui-ci finit son discours lui fessant comprendre sans un mot qu'elle le soutenait puis elle remit sa main à sa place sur son ventre massant avec le bout des doigts son ventre qui la lança légèrement comme un point de côté sans s'arrêter de regarder les réactions des uns et des autres. La directrice de Poudlard prit la parole, l'auror écouta ce que la femme qui avait la responsabilité de l'éducation de ses enfants voulait en venir.

"Donc quelles seraient vos solutions madame Fawley?" lança Isa tout en se levant de sa chaise pour exprimer son désir de parole

"Vous dites que des incidents avec les détraqueurs se sont produits soit, mais Poudlard est supposé avoir une discipline exigeante serait-ce un manquement de l'école que d'avoir des élèves désobéissant aux consignes ? les créatures utilisent servent Azkaban depuis des lunes et malgré les dangers que nous connaissons de ces monstres, ils s'avèrent la barrière anti-intrusion la plus efficace."

Isabelle attendit quelques secondes avant de reprendre, son ventre fessant des siennes, elle reprit avec une plus grande inspiration

"Mr et Madame Lestrange, nous les aurors pensons que d'ici à 1 mois environs nous seront sûrement capable de déterminer le nid des rebelles, 1 mois c'est long, je le conçois, nous pourrions envisager de mettre les enfants en cours distanciels ? ainsi moins de risque pour eux, ou nous pouvons également envisager un plan pour tendre un piège à ceux qui pensent que couper des têtes réglerons leurs problèmes."

Tendre un piège était bien sûr pour la rosier la meilleure des options, pourquoi pas avec l'aide du ministre faire une fausse déclaration publique ou la foule elle-même ferait partie du complot et ainsi pouvoir rapidement agir, mais cela joue avec le hazar ou alors faire en sortent de poser sur des membres rebelles des traceurs qui mèneraient directement à leurs nids.

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