prénom : Cormac, Tibérius, il est d’ailleurs assez fier de porter comme deuxième prénom celui de son oncle et parrain. nom :  McLaggen, nom doré, fierté familiale, il le prône tel un étendard qu’il ne saurait dénigrer. âge & date de naissance : 23 ans, comment ça ? bah ouais faute de naître en fin d’année. le premier novembre 1978, à Sainte Mangouste, c’est un pur Londonien celui-ci. nature du sang : un sang-mêlé, il n’est clairement dérangé avec ce statut par ailleurs, bien au contraire. il sait parfaitement que n’importe quel sorcier devrait pouvoir monter en classe s’il le souhaite. École & maison : à poudlard, le choixpeau l'a envoyé à gryffondor. profession : employé au ministère au bureau de liaison des gobelins. capacité spéciale : sa répartie légendaire et son sourire ravageur ça compte ? Affiliation : il fait partie des rebelles, il a pris le parti pour celle-ci lors de la bataille de poudlard où il est retourné lors de celle-ci. mais semble profiter de l’influence de son oncle pour l’instant pour ne pas être découvert au ministère.Crédit : avatar par Cheekeyfire sur tumblr et icon par shinrinkitsune sur tumblr.

McLaggen tout n’est pas aussi simple avec ce patronyme. oui le nom aide, il faut bien profiter des privilèges. arrogance familiale. il aime cette sensation d’être quelqu’un grâce aux siens. mais une grande responsabilité que celle de porter ce nom. leader né, il ne peut pas se permettre de faire partie de ceux qui suivent. il doit agir, être le premier, faire attention aux conséquences. si les siens ont réussi à se positionner en haut de la hiérarchie, même si leurs sang-mêlés les fait descendre un peu ces derniers temps. il ne peut être un perdant. n’accepte pas l’échec, encore moins passer après un rouquin de bas étage. ne jamais laisser passer une occasion de se montrer, seul ou bien accompagné. bien accompagné c’est parfait. trouver celle qui pourra se faire prendre au jeu. malmener les douceurs du beau sexe, jouer avec cette naïveté qui leur est propre. jouer. s’amuser, se défaire des attentes ? jamais. ou bien avec désinvolture, s’attendre à être celui que l’on regarde en premier. incapable de rester en place. besoin de bouger encore et encore, toujours un peu plus. sportif dans l’âme. il ne peut se permettre de ne pas façonner son corps de rêve. sinon comment pourrait-il séduire ? loin d’être la douceur incarné. passionné à souhait. chaque sujet l’intéressant, ne lui fera pas peur. tant qu’il ne l’aura pas retourné dans tous les sens. interprété. acquis.

01. mclaggen, nom compliqué à porter. il a souvent fait avec. mais en est pourtant très fier. rien n’est plus important pour lui dorénavant que de faire prospérer les siens. de la même manière que ses figures paternelles. 02. n’est pas aussi proche de son père qu’il le voudrait. les devoirs politiques du père ont toujours été plus important que sa vie de famille, lors de son enfance. très absent. il le vit mal, mais ne le montre pas. trop de fierté pour ça. 03. a toujours aimé le quidditch depuis qu’il est haut comme trois pommes, son oncle Tibérius l’amenait aux matchs des Canons de Chudley, ils n’ont raté aucun match jusqu’à ce que Cormac entre à Poudlard. 04. sa mère est la seule et unique femme qu’il adore. il ne peut pas la voir comme les autres. il ignore pourquoi, mais elle est pour lui la perfection. bien plus douce et présente que son paternel. 05. lors de ses jeunes années, il n’était pas rare que son oncle Tibérius l'emmène avec lui au ministère. il le connaît comme sa poche d’ailleurs, c’est un avantage pour lui. il avait ce laisser passer du nom dans le haut lieu de la politique magique, même si maintenant il semble bien moins pouvoir en profiter.

aôut 1993,
« laisse-moi arranger cette cravate jeune homme. » soupir. il se laisse néanmoins faire par sa génitrice. alors que celle-ci noue à nouveau sa cravate et réajuste sa tenue. le sourire qu’il voit se déposer sur sa mère, le ravi. elle est fière de lui, bien plus que son époux. chose qui rassure l’enfant en lui, ce regard maternel qu’il cherche bien souvent. ils se tournent tous les deux vers son père lorsque celui-ci arrive dans l’entrée. moment entre mère et fils terminé bien plus vite qu’il le souhaiterait. est venu le temps des avertissements. il écoute d’une oreille le fils. il les connaît tous par coeur. être aimable, bien répondre aux questions, ravir les dames. comme s’il ignorait depuis le temps ce qu’il devait faire lors d’une soirée mondaine. n’était-il pas un McLaggen ? dernier regard à sa mère avant de transplaner. les recommandations étant bien trop ennuyantes. il attend cependant ses parents avant d’avancer vers la maison des Shacklebolt. croisant ainsi l’homme qu’il respecte le plus dans ce monde. « mon oncle, ravi de vous trouver ici. » douce rencontre. au moins un allié serait présent ce soir. il saurait où fuir si besoin l’en prend. même si les frères n’étaient jamais bien loin, l’un de l’autre.

06.  sa figure paternelle n’est autre que son oncle. il le suivra peu importe où il ira. le rendre fier est certainement l’une des plus grandes ambitions de Cormac. même s’il aimerait le faire sans bouger le petit doigt. 07.  famille de politiciens oblige. il connaît les bonnes manières, même s’il ne les utilise pas toujours. préfère parfois les oublier. principalement avec la gente féminine. 08.  les courtoisies ne lui font pas peur. le nombre de dîners officiels, de soirées mondaines qu’il a vécu lui a donné une vision du monde peut être fausse. mais il aime son monde et les possibilités que son milieu lui offre. légèrement arrogant et méprisant avec le petit peuple parfois. 09.  entrer à Poudlard n’était pas une option. lorsqu’il a développé ses pouvoirs, c’était avec un balais. espérant de tout son être de pouvoir le faire venir à sa main et le monter dès qu’il le pourrait. c’était une si grande fierté qu’il a été voir son père dans son bureau pour lui annoncer la bonne nouvelle. sauf qu’il s’est retrouvé avec un simple. « c’est bien mon garçon. » 10.  lors de sa première rentrée pour l’école de magie, il a été chercher sa baguette en compagnie de sa mère et de son oncle. son père n’ayant pas pris le temps pour passer ce moment spécial avec son fils.

août 1996,
la soirée battait son plein, les deux jeunes sorciers passaient du bon temps au chaudron baveur. oublier les troubles de la rentrée approchant. eux qui avaient cru terminé leur scolarité. les voilà obligés de rempiler. tout du moins pour le McLaggen. ce n’est pas son choix, il s’en passerait bien. mais il ne peut pas. accompagné du Farley, il profitait de cette dernière soirée de liberté. un peu trop sans aucun doute. ignorant quel était le nombre exact de verre qu’il venait de boire. le whisky pur feu monte à la tête. bien trop vite. mais il s’en fiche. il écoute son ami parler. trop ? non certainement pas. il sait se tenir le sang-pur bien plus que le sang-mêlé. là n’est pas la question. la bombe a été lâchée. un enfant. et bien il l’a pas à moitié celui-ci. si au fond il le félicite. il n’est pas certain que ce soit la meilleure nouvelle qu’il puisse avoir. cependant, il se surprend à parler de rentrer chez lui. incapable de transplaner seul néanmoins. tom l’accompagne jusqu’à la bâtisse qui lui sert de maison, bien trop grande pour ses trois seuls habitants. remerciant son ami, il entre. croise son père. mouvement de tête afin de saluer son géniteur. silence. une mouche passe. soupir. il s’avance vers les escaliers pour les grimper en direction. « tu rentres à cette heure ? dans cet état ? » s’arrête net. il se tourne. croise le regard déçu du paternel. ne sait que répondre. hormis peut-être le seul signe de rébellion de sa vie, face à ce père absent. « depuis quand vous inquiétez vous pour moi père ?  » sans violence pourtant. il est las. ivre et las de cette ignore que son père lui a toujours offert. « depuis quand vous souciez vous de ce que je pense ou bien fait ? tant que cela n’affecte pas votre si parfaite image.  » constatation pure et dure. il sait qu’il va trop loin. il sait que cela ne plaira pas, mais l’alcool aidant, il s’en fiche. « dois-je te rappeller que tu pars pour Poudlard demain ? » il balaye d’un coup de bras la réponse de son père avant de continuer à gravir les marches. « reste ici ! » le ton monte. la mère sort de la chambre pour venir voir ce qu’il se pense entre les hommes de sa vie. « tu ne prendras pas le train dans cet état. » tout irait très bien le lendemain. l’alcool ne serait plus, un mal de crâne carrabiné certainement par contre. sauf qu’il n’écoute pas. il continue son chemin. obéir n’est pas sa volonté ce soir.

11.  être envoyé à gryffondor ne l’a pas tant que cela étonné, même s’il sait que son père aurait préféré une maison plus noble. bien trop feignant pour utiliser toutes ses aptitudes le Cormac. 12.  le nombre de ses amis se comptent sur les doigts d’une main. s’il sait y faire, se faire aimer n’est pas aussi facile qu’il l’aurait pensé. surtout avec son arrogance maladive. 13.  en grandissant, il a pris les même habitudes que son oncle auprès des dames. loin d’être un gentleman, légèrement ennuyant, un peu provocant, souvent dans le trop. mais il connaît son charme et ses atouts. 14.  il passe beaucoup de temps dans le parc de l’école, pour courir et faire du sport, il n’arrive pas à passer une journée sans se défouler physiquement. 15.  miss farley est certainement l’une des rares filles qu’il n’a pas vu comme une proie pendant un moment. peut-être à cause du quidditch ? il ignore pourquoi d’ailleurs. certainement ce qui lui a permis de la laisser s'immiscer doucement dans sa vie.

21 mai 1998,
« qu’est-ce qui t’a pris ? tu aurais pu te faire tuer ! » sa mère était plus qu’énervée alors que le jeune homme allait plutôt bien. elle ne le lâchait pas depuis la bataille de poudlard, il savait que cela ne plairait à aucun des siens qu’il aille se battre. pourtant il le devait. pour son bien-être mental. alors que la discussion avec sa génitrice semblait impossible, il comptait la laisser dans le salon pour s’enfuir et partir dans sa chambre. il ne pouvait pas son père et son oncle arrivaient tous les deux, revenant du ministère, leur mine grave, il savait que quelque chose n’allait pas. pourtant ils ne semblaient pas vouloir en parler directement. « les lois vont changer, il va falloir être prudents et réfléchis. » le paternel parlait et il savait qu’il ne lui parlerait pas du fait qu’il était du côté de potter et les autres lors de la bataille. il aurait certainement préféré qu’il ne fasse rien, cormac s’en doutait, mais il n’avait pas pu laisser ses amis se battre sans lui. il ne pouvait pas laisser le seigneur des ténèbres gagner, même si au fond c’était bien ce qui s’était passé. il ne lâcherait pas et continuerait de se battre à son échelle tout du moins, sans rien dire aux siens.

16. a eu un petit crush pour hermione, mais il ne l’assume plus trop. même s’il en joue principalement pour emmerder weasley. en même temps, il ne peut pas lâcher sa façade de petit con arrogant. 17. si on apprend à réellement le connaître, s’il se laisse approcher. il est beaucoup moins arrogant que d’habitude. même si souvent le naturel revient au galop. 18. aimerait bien finir en tant que joueur de quidditch, mais il sait qu’il n’a pas le droit. après tout c’est un McLaggen, il ne va pas vivre pour voler derrière une balle. 19. il sent que sa relation avec gemma est en train de changer. il ne la regarde plus comme avant. elle n’est plus la simple petite blonde qu’il aime chercher. il y a bien plus que cela. 20. ne boit plus de whisky pur feu, sa dernière cuite avant la rentrée à Poudlard, il a clairement un peu abusé et a eu la plus grande dispute avec son père de toute sa vie à cause de celle-ci.