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Joyeux Halloween - Team fantôme
Ven 6 Nov - 11:41Joyeux Halloween Team fantôme |
31 octobre 2000
« Joyeux Halloween ! » criait un employé devant la boutique de Zonko. « Venez explorer notre maison hantée ! Vous pourrez vivre une expérience inédite ! Profitez. Profitez cela est gratuit. N’hésitez pas à la fin de passer dans notre boutique ! » continuait cette employée en gesticulant ! Il choisissait une personne. « Vous souhaitez rentrer dans notre maison ! Soyez les bienvenues dans un monde de terreur. Bouhouhouhou » finissait-il à fond. Vous sentiez que vous étiez à fond pour rentrer dedans. Peut-être que vous retrouviez des personnes. Ils attendaient une équipe entre e et 4 personnes pour l’aventure.
Une fois rentré, le hall de la pièce était telle Poudlard. On avait presque l’impression d’être rentrée dans l’école. Le sortilège de magie était juste époustouflant. La différence avec l’entrée de l’école, c’était la vue qui montrait un escalier qui descendait, une porte en or à droite et une porte de couleur sang à gauche. L’atmosphère était devenue plus glaciale telle un détraqueur qui avait passé par là. On sentait toute la joie de vivre disparaître laissant place à l’angoisse. La porte se referma comme par magie derrière chaque groupe.
Dans ce tour, nous vous demandons d’expliquer comment ils se sont retrouvés dans cet endroit. Je vous laisse choisir une pièce par la même occasion. Vous avez qu’une seule possibilité pour traverser ce couloir de l’horreur qui vous attend. Merci de mettre un résumé en bas de votre Rp pour récapituler ce qui se passe. Nous laissons libre le nombre de lignes. Favorisez des petites réponses pour répondre plus rapidement.
Team fantôme : @Billie Grimmson , @CHARLES WEASLEY
« Joyeux Halloween ! » criait un employé devant la boutique de Zonko. « Venez explorer notre maison hantée ! Vous pourrez vivre une expérience inédite ! Profitez. Profitez cela est gratuit. N’hésitez pas à la fin de passer dans notre boutique ! » continuait cette employée en gesticulant ! Il choisissait une personne. « Vous souhaitez rentrer dans notre maison ! Soyez les bienvenues dans un monde de terreur. Bouhouhouhou » finissait-il à fond. Vous sentiez que vous étiez à fond pour rentrer dedans. Peut-être que vous retrouviez des personnes. Ils attendaient une équipe entre e et 4 personnes pour l’aventure.
Une fois rentré, le hall de la pièce était telle Poudlard. On avait presque l’impression d’être rentrée dans l’école. Le sortilège de magie était juste époustouflant. La différence avec l’entrée de l’école, c’était la vue qui montrait un escalier qui descendait, une porte en or à droite et une porte de couleur sang à gauche. L’atmosphère était devenue plus glaciale telle un détraqueur qui avait passé par là. On sentait toute la joie de vivre disparaître laissant place à l’angoisse. La porte se referma comme par magie derrière chaque groupe.
Dans ce tour, nous vous demandons d’expliquer comment ils se sont retrouvés dans cet endroit. Je vous laisse choisir une pièce par la même occasion. Vous avez qu’une seule possibilité pour traverser ce couloir de l’horreur qui vous attend. Merci de mettre un résumé en bas de votre Rp pour récapituler ce qui se passe. Nous laissons libre le nombre de lignes. Favorisez des petites réponses pour répondre plus rapidement.
Team fantôme : @Billie Grimmson , @CHARLES WEASLEY
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Re: Joyeux Halloween - Team fantôme
Ven 6 Nov - 16:56“This is Halloween. This is Halloween.” Chantonnais-je dans ma tête. Cette chanson moldu, j’adorais l’écouter et la chantonnait dans cette atmosphère de festivité. C’était tellement beau de voir des courges partout avec leur visage sculpté. Des fantômes de sortie durant ce jour ce qui donnait un air un peu plus sinistre, je me penchais sur une toile d’araignée qui était super bien faîte avant de me rendre qu’il y avait un vrai animal dessus. Merde ! Je reculais avec un air de dégout. C’était vraiment dégueulasse. Je n’étais pas friande de ce genre de créature. Je croisais une bande d’enfants qui me demandait des bonbons ou un sort. Je souriais en leur disant que je souhaitais des bonbons. Racontant une histoire d’horreur moldu, les enfants eurent le regard défiguré. Je réussis à leur piquer une sucette au goût de tarte au citron. C’était pas mal. Vous pouvez le dire que j’étais un truand. Franchement, c’était de leur faute s’il venait se mettre devant moi. J’étais censé rejoindre Astoria sans qu’elle le sache pour lui faire la surprise. Un autre plan allait se profiler comme d’habitude.
Un vendeur était en train de vendre sa maison hantée en poussant un homme dedans que je pensais reconnaître. Instinctivement, je suivais pour savoir si c’était bien lui au pire je le sèmerais dans la maison. Un sourire en guise de bonjour, je rentrais dans la maison. À ma « grande » surprise, ce fût bien lui. Je ne l’aurais jamais imaginé rentrer dans un endroit pareil. Son sourire fut accueillant. Le mien venait juste répondre au sien. « Non, j’avais simplement envie de savoir si c’était vraiment toi qu’on venait de pousser ici. Autant faire l’expérience ensemble, non ? » Je lui adressais un clin d’œil. Suite à notre soirée, il devait avoir l’habitude de mon franc-parler et de mes manières.
« De plus, je trouve vraiment charmant de passer ce moment avec toi. » Finissais-je en le rejoignant. J’eus le culot de me rapprocher de lui et de me mettre sur la pointe des pieds pour embrasser sa joue. Il me laissait donc choisir la voie à suivre. « Je choisis la porte rouge. » Décidai-je ne sachant pas ce qu’il allait m’attendre derrière. Je mis la main sur la porte j’entendis les autres portes se verrouillaient. « Bon je crois qu’il nous reste que cette route à prendre. » Une pièce noire apparut en face et du froid tombait sur mes pieds. Je ne sentais rien d’accueillant venant de cet endroit. Cela donnait l’impression que la mort régnait à l’intérieur. Je reculais en me retournant vers Charlie. Je me mettais à côté de lui pour prendre son bras. « Voilà, ça ira mieux comme ça. Je me sens plus apte à affronter ça. » Je lui tirais la langue tout en lui souriant de plus belle. Excuse bidon pour être proche de lui.
Un vendeur était en train de vendre sa maison hantée en poussant un homme dedans que je pensais reconnaître. Instinctivement, je suivais pour savoir si c’était bien lui au pire je le sèmerais dans la maison. Un sourire en guise de bonjour, je rentrais dans la maison. À ma « grande » surprise, ce fût bien lui. Je ne l’aurais jamais imaginé rentrer dans un endroit pareil. Son sourire fut accueillant. Le mien venait juste répondre au sien. « Non, j’avais simplement envie de savoir si c’était vraiment toi qu’on venait de pousser ici. Autant faire l’expérience ensemble, non ? » Je lui adressais un clin d’œil. Suite à notre soirée, il devait avoir l’habitude de mon franc-parler et de mes manières.
« De plus, je trouve vraiment charmant de passer ce moment avec toi. » Finissais-je en le rejoignant. J’eus le culot de me rapprocher de lui et de me mettre sur la pointe des pieds pour embrasser sa joue. Il me laissait donc choisir la voie à suivre. « Je choisis la porte rouge. » Décidai-je ne sachant pas ce qu’il allait m’attendre derrière. Je mis la main sur la porte j’entendis les autres portes se verrouillaient. « Bon je crois qu’il nous reste que cette route à prendre. » Une pièce noire apparut en face et du froid tombait sur mes pieds. Je ne sentais rien d’accueillant venant de cet endroit. Cela donnait l’impression que la mort régnait à l’intérieur. Je reculais en me retournant vers Charlie. Je me mettais à côté de lui pour prendre son bras. « Voilà, ça ira mieux comme ça. Je me sens plus apte à affronter ça. » Je lui tirais la langue tout en lui souriant de plus belle. Excuse bidon pour être proche de lui.
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Re: Joyeux Halloween - Team fantôme
Ven 6 Nov - 17:36Joyeux Halloween Team fantôme |
Suite au choix de la participante, les autres lieux venaient de se verrouiller. Il ne restait qu’une seule sortie à cette salle d’accueil avec l’illusion de Poudlard. Une pièce noire et froide s’ouvrit derrière la porte en sang. On avait l’impression que la mort elle-même y habitait. Cela laissait un sentiment qu’un détracteur avait envahi les lieux. On pouvait sentir un air frais hivernal sorti de la pièce. Cela laissait une sensation vraiment désagréable.
Une fois que les participants seront rentrés dans le couloir. La porte se refermerait pour les laisser dans un silence total et l’obscurité la plus complète. Ceux qui avaient peur d’être claustrophobes ou dans un lieu sombre.
Si vous êtes armé de votre baguette, vous pourrez lancer un « Lumos ». Des murs ensanglantés et gelés apparaitront. Vous rentrez dans la première étape d’un petit labyrinthe où il n’y a pas de porte. Que faites-vous ? Il semblerait qu’il faudrait chercher un indice pour sortir de cette première pièce.
Une fois que les participants seront rentrés dans le couloir. La porte se refermerait pour les laisser dans un silence total et l’obscurité la plus complète. Ceux qui avaient peur d’être claustrophobes ou dans un lieu sombre.
Si vous êtes armé de votre baguette, vous pourrez lancer un « Lumos ». Des murs ensanglantés et gelés apparaitront. Vous rentrez dans la première étape d’un petit labyrinthe où il n’y a pas de porte. Que faites-vous ? Il semblerait qu’il faudrait chercher un indice pour sortir de cette première pièce.
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Re: Joyeux Halloween - Team fantôme
Ven 13 Nov - 18:08 Oui, j’allais me cacher dans les jupons de Charlie pour rentrer dans cette pièce et je m’en fichais. J’aimais bien être proche de lui. C’était réconfortant et je n’avais pas du tout peur à ses côtés. Je ne sais pas pourquoi ce sentiment était présent, mais c’était agréable simplement. Il ne posait pas de questions. Il était mature. J’aimais tellement sa répartie. On pouvait dire que c’était un homme expérimenté. Il en profita pour me taquiner. Je répondis tellement franchement à sa question. « Évidemment qu’est-ce que tu penses. C’est parfait que tu aies été kidnappé. Je pourrais trouver une excuse à nouveau pour aller dans tes bras ! » rigolai-je en souriant, heureuse d’être avec lui dans cette expérience inédite.
Sa main se mettant sur ma hanche, me laisser pas indifférente pour autant. J’aimais vraiment le contact que je pouvais avoir avec lui. En même temps, il fallait se confier. Je n’étais pas genre de personne à garder mes distances et à être froide envers les autres personnes. Boute-en-train et chaleureuse, j’aimais le contact. C’était plus fort que moi. Pis il fallait avouer qu’une gamine comme moi, Charlie était le fantasme inexpliqué. Puis, je finis par me laisser emporter par l’animation pour choisir la porte rouge. Puis, je me remis au côté de Charlie. Après tout, c’était lui l’homme de la situation. Il garderait bien plus son sérieux et de sang-froid à cette situation. Enfin vu ce que j’avais vécu aussi, cela ne devrait pas être difficile. Oh connard. « Je ne vais pas hurler déjà d’un ! Pis tu ne viendras pas pleurer sur moi toi ! » Ce n’était pas pour autant que tu lâchais son bras.
Le froid vint la glacer sur place. La chaleur de Charlie était de bienvenue. Après tout, elle était déjà frileuse de base. Elle sentait qu’elle allait mourir de froid dans ce couloir qui servait de congélo à ses heures perdues. « Oui, tu as raison. Je vais regarder. » Je sortais ma baguette pour lancer le sortilège. Je le quittais pour inspecter de mon côté. Instinctivement, je mis mon doigt sur le mur pour voir si c’était du vrai sang. Heureusement, cela ne l’était pas. Cela me rassurait sur ce spectacle macabre. J’avais envie de rigoler. Je pris du faux sang par terre dans pour en mettre sur mon poignet pendant qu’il tournait le dos. « Aie. Bordel » lâchai-je en essayant d’être convainquant dans ma comédie. « Charlie. Je me suis faite mal.» Je maintenais ma main sur mon poignet qui était rouge. « Je crois que j’ai besoin d’un bisou magique » finissais-je par lâcher au moment qu’il allait regarder mon poignet. Ouais… Je savais qu’il pourrait se venger aussi. Après une mini pause, je finis par réaltérer ma demande. « Pas de bisous ? » demandai-je avec des yeux de chiens battus.
« Bon après, j’ai regardé. Je ne trouve rien avec la lumière. C’est bizarre vraiment cet endroit. En plus, j’ai froid. » Disais-je simplement sans l’intention de me plaindre. Mon regard parcourait l’endroit. « Peut-être que si on tapote, on pourra voir si un mur est creux ? Qu’est-ce que tu en penses ? » Cela n’était pas logique non plus. Cela mettrait du temps pour faire tout le couloir. Il devait y avoir un truc. C’était forcément ça. Je ne pus m’empêcher de regarder Charlie en souriant : « Bon, ça doit être un truc tout con. J’en suis sûre. Notre réflexe a été de lancer un lumos dans ce noir. Cela offre une vue vraiment spectaculaire de l’horreur, mais bon… Je n’arrive pas à mettre mon doigt dessus pour l’instant. Dommage qu’il n’y a pas de lit au moins on pourrait se réchauffer. » Finissais-je par lâcher. C’était une plainte cette fois-ci. Je commençais vraiment à avoir froid.
Sa main se mettant sur ma hanche, me laisser pas indifférente pour autant. J’aimais vraiment le contact que je pouvais avoir avec lui. En même temps, il fallait se confier. Je n’étais pas genre de personne à garder mes distances et à être froide envers les autres personnes. Boute-en-train et chaleureuse, j’aimais le contact. C’était plus fort que moi. Pis il fallait avouer qu’une gamine comme moi, Charlie était le fantasme inexpliqué. Puis, je finis par me laisser emporter par l’animation pour choisir la porte rouge. Puis, je me remis au côté de Charlie. Après tout, c’était lui l’homme de la situation. Il garderait bien plus son sérieux et de sang-froid à cette situation. Enfin vu ce que j’avais vécu aussi, cela ne devrait pas être difficile. Oh connard. « Je ne vais pas hurler déjà d’un ! Pis tu ne viendras pas pleurer sur moi toi ! » Ce n’était pas pour autant que tu lâchais son bras.
Le froid vint la glacer sur place. La chaleur de Charlie était de bienvenue. Après tout, elle était déjà frileuse de base. Elle sentait qu’elle allait mourir de froid dans ce couloir qui servait de congélo à ses heures perdues. « Oui, tu as raison. Je vais regarder. » Je sortais ma baguette pour lancer le sortilège. Je le quittais pour inspecter de mon côté. Instinctivement, je mis mon doigt sur le mur pour voir si c’était du vrai sang. Heureusement, cela ne l’était pas. Cela me rassurait sur ce spectacle macabre. J’avais envie de rigoler. Je pris du faux sang par terre dans pour en mettre sur mon poignet pendant qu’il tournait le dos. « Aie. Bordel » lâchai-je en essayant d’être convainquant dans ma comédie. « Charlie. Je me suis faite mal.» Je maintenais ma main sur mon poignet qui était rouge. « Je crois que j’ai besoin d’un bisou magique » finissais-je par lâcher au moment qu’il allait regarder mon poignet. Ouais… Je savais qu’il pourrait se venger aussi. Après une mini pause, je finis par réaltérer ma demande. « Pas de bisous ? » demandai-je avec des yeux de chiens battus.
« Bon après, j’ai regardé. Je ne trouve rien avec la lumière. C’est bizarre vraiment cet endroit. En plus, j’ai froid. » Disais-je simplement sans l’intention de me plaindre. Mon regard parcourait l’endroit. « Peut-être que si on tapote, on pourra voir si un mur est creux ? Qu’est-ce que tu en penses ? » Cela n’était pas logique non plus. Cela mettrait du temps pour faire tout le couloir. Il devait y avoir un truc. C’était forcément ça. Je ne pus m’empêcher de regarder Charlie en souriant : « Bon, ça doit être un truc tout con. J’en suis sûre. Notre réflexe a été de lancer un lumos dans ce noir. Cela offre une vue vraiment spectaculaire de l’horreur, mais bon… Je n’arrive pas à mettre mon doigt dessus pour l’instant. Dommage qu’il n’y a pas de lit au moins on pourrait se réchauffer. » Finissais-je par lâcher. C’était une plainte cette fois-ci. Je commençais vraiment à avoir froid.
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Re: Joyeux Halloween - Team fantôme
Ven 13 Nov - 18:18Joyeux Halloween Team fantôme |
C’est la citrouille qui vous parle. Quoi !?! Il n’y a pas de citrouille. Merde. C’est votre instinct, alors. Crotte. Alors en analysant la pièce avec votre sortilège de lumière, vous ne trouvez rien pour passer de l’autre côté. Peut-être que vous ne cherchez pas correctement. Mouahahahaha. Je m’absente jusqu’au prochain tour pour voir si vous trouverez la solution.
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Re: Joyeux Halloween - Team fantôme
Mar 24 Nov - 18:58 Halloween était une nuit où on recherchait ce sentiment de peur. C’était bizarre de vouloir sentir de nouveau frisson pour avoir l’impression de vivre. On recherchait cette adrénaline en sortant dans les rues pour traîner sous une vision d’horreur. On peut sentir son cœur s’emportait, battre frénétique quand on sursaute suite à une grosse frayeur. Un rire nerveux apparait pour apaiser cela qui doit être insensé. Je n’étais pas particulièrement fan d’Halloween. Cette fête était simplement venue des états unis dans leur tradition sorcière. Ce n’était rien de spéculaire. Bon, c’était toujours synonyme avec la soupe à la courge. C’était tellement bon ou avec une tarte à la courge. J’étais sorti pour rejoindre à nouveau une amie très proche. À la vue de cet homme, j’avais juste basculé pour passer du temps avec lui. Il n’y avait rien de sérieux entre nous. Cependant, tel un aimant, j’avais besoin d’être collé à lui. J’étais complètement sous le charme de ses sourires et de son caractère. Cela faisait tellement de bien. Même s’il me disait que je n’avais pas besoin de ça, j’avais besoin d’être dans ses bras et à son contact. La vie semblait beaucoup plus simple. La seule peur que je pouvais peut-être un jour au fil de nos rencontres ressentir serait de le perdre. C’était un homme fort. Cela ne risquait pas du tout d’arriver. Les temps de morts étaient derrière nous. La guerre était finie. Enfin, c’était ce que tout le monde voulait croire.
Je réussis à le faire rire. Cela me comblait entièrement. La vie pouvait vraiment se montrer simple et bienveillante avec les rencontres qu’on faisait. C’était peut-être fou. Mais ce n’était pas tous les jours où on pouvait ressentir un tel sentiment envers une personne. Sa réponse me fit sourire. Je le narguais avec un clin d’œil : « Qui sait peut-être un jour ? ». Il ne fallait jamais dire jamais. Pleurez sur une épaule de tristesse, de bonheur et j’en passe. Bon, avouons-le. Ce n’était pas le genre de type à pleurer et à vouloir le faire. C’était pour ça que cela rendait la chose plus ironique.
En pénétrant le congélateur qui servait de corridor, la vue des murs ensanglantés ne me faisait absolument rien. J’avais juste envie de rire et de chercher Charlie. Je simulais une blessure. Il vint. Et répondis à ma blague : un bisou sur une blessure. Mon cœur fit un léger bond. J’aurais pu lui sauter dessus pour cette délicate attention. Il était vraiment parfait. J’adorais ce moment avec lui. Il y eut une explication sur comment on pouvait bien sortir de cet endroit. Après tout, on était coincé avec nos baguettes. Il fallait trouver une solution pour sortir de cette vision d’horreur. Il y aurait sûrement une autre pièce qui nous attendrait plus tard. Je me demandais ce qu’il pourrait bien nous attendre de l’autre côté. Je finis par râler sur le manquement de lit pour nous réchauffer. J’avais froid et en même temps cela n’était pas une remarque innocente. Sa réponse me serra le souffle. Ma libido était là. Je m’imaginais déjà partir loin dans mes fantasmes. C’était horrible. Une jeune adulte remplie d’hormones en ébullition à son contact. Quand je sentis, ses mains se posaient sur moi pour m’attirer à lui, mon cœur loupa un bond. Malgré cette atmosphère d’horreur, je me foutais totalement. J’avais juste d’une douche froide pour me concentrer à nouveau. « Tu… tu as raison… hum » disait légèrement en bégayant. Je réfléchissais sur cette pièce. C’était censé être un parcours simple et sans prise de grosse conscience. On n’était pas dans une escape game. Fallait juste avancer et traîner un peu dans les salles pour aller plus loin. Quand Charlie lâcha, échapper l’hypothèse de la lumière, je le suivis sans proclamation. Il tenait peut-être une piste. Quand la lueur apparut, il se saisit de ma taille pour avancer. Je me rendais compte que j’étais un peu raide dingue de ce contact. C’était complètement déraisonnable de ma part, c’était pourtant si simple et il n’y avait aucune étiquette. Parfait. En se rapprochant, elle put voir une phrase qu’elle lut à haute voix : « Oseras-tu te retrouver devant ton pire cauchemar ? » une porte se déverrouilla.
Inconsciemment, je me mis contre lui pour rentrer dans cette nouvelle pièce. Je sentais bizarrement qu’il allait se passer une chose terrible. C’était une impression qui me collait à la peau. On pouvait sentir le froid sortir de cette pièce. Est-ce qu’on était vraiment prêt à rentrer dans cette pièce.
Je réussis à le faire rire. Cela me comblait entièrement. La vie pouvait vraiment se montrer simple et bienveillante avec les rencontres qu’on faisait. C’était peut-être fou. Mais ce n’était pas tous les jours où on pouvait ressentir un tel sentiment envers une personne. Sa réponse me fit sourire. Je le narguais avec un clin d’œil : « Qui sait peut-être un jour ? ». Il ne fallait jamais dire jamais. Pleurez sur une épaule de tristesse, de bonheur et j’en passe. Bon, avouons-le. Ce n’était pas le genre de type à pleurer et à vouloir le faire. C’était pour ça que cela rendait la chose plus ironique.
En pénétrant le congélateur qui servait de corridor, la vue des murs ensanglantés ne me faisait absolument rien. J’avais juste envie de rire et de chercher Charlie. Je simulais une blessure. Il vint. Et répondis à ma blague : un bisou sur une blessure. Mon cœur fit un léger bond. J’aurais pu lui sauter dessus pour cette délicate attention. Il était vraiment parfait. J’adorais ce moment avec lui. Il y eut une explication sur comment on pouvait bien sortir de cet endroit. Après tout, on était coincé avec nos baguettes. Il fallait trouver une solution pour sortir de cette vision d’horreur. Il y aurait sûrement une autre pièce qui nous attendrait plus tard. Je me demandais ce qu’il pourrait bien nous attendre de l’autre côté. Je finis par râler sur le manquement de lit pour nous réchauffer. J’avais froid et en même temps cela n’était pas une remarque innocente. Sa réponse me serra le souffle. Ma libido était là. Je m’imaginais déjà partir loin dans mes fantasmes. C’était horrible. Une jeune adulte remplie d’hormones en ébullition à son contact. Quand je sentis, ses mains se posaient sur moi pour m’attirer à lui, mon cœur loupa un bond. Malgré cette atmosphère d’horreur, je me foutais totalement. J’avais juste d’une douche froide pour me concentrer à nouveau. « Tu… tu as raison… hum » disait légèrement en bégayant. Je réfléchissais sur cette pièce. C’était censé être un parcours simple et sans prise de grosse conscience. On n’était pas dans une escape game. Fallait juste avancer et traîner un peu dans les salles pour aller plus loin. Quand Charlie lâcha, échapper l’hypothèse de la lumière, je le suivis sans proclamation. Il tenait peut-être une piste. Quand la lueur apparut, il se saisit de ma taille pour avancer. Je me rendais compte que j’étais un peu raide dingue de ce contact. C’était complètement déraisonnable de ma part, c’était pourtant si simple et il n’y avait aucune étiquette. Parfait. En se rapprochant, elle put voir une phrase qu’elle lut à haute voix : « Oseras-tu te retrouver devant ton pire cauchemar ? » une porte se déverrouilla.
Inconsciemment, je me mis contre lui pour rentrer dans cette nouvelle pièce. Je sentais bizarrement qu’il allait se passer une chose terrible. C’était une impression qui me collait à la peau. On pouvait sentir le froid sortir de cette pièce. Est-ce qu’on était vraiment prêt à rentrer dans cette pièce.
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Re: Joyeux Halloween - Team fantôme
Mar 24 Nov - 19:50Joyeux Halloween Team fantôme |
Hey bien. Hey bien Je vois que vous avez éteint votre baguette. Vous avez peut-être cédé à la panique d’être enfermé ou bien pas.. Fort agréable comme sensation d’être coincé dans le monde des morts : Le silence de la pièce, le froid glacial, le sang qui présage que vous aurez à traverser une lourde épreuve qui risque de vous faire réfléchir ou même raviver un souvenir douloureux. Ce texte luminescent dans le noir, vous pouvez lire très clairement « Oseras-tu te retrouver devant ton pire cauchemar ? » Inquiétant, non ? Vous vous en tirez très bien dans cette première salle. Cependant, la deuxième sera très clairement un endroit où vous auriez aimé éviter pour cette soirée de l’épouvante. Ah ah ah ah
Vous avez lu les paroles à hautes voix. Une porte dans le mur s’ouvre. Un vent polaire se saisit de vos membres. L’envie de rigoler disparait petit à petit. Rien de bon n’échappe de cette pièce. La lumière entre la porte éclaire très clairement l’endroit où vous devez vous rendre. Vous avancez pour rentrer dans cette salle si mystérieuse. Un énorme bureau s’offre à vous d’un style colonial. La lumière de la nuit rentre par les fenêtres. On sent comme une présence qui est là et qui vous guette. Vous vous avancez et constater que la pièce à une vitre qui vous empêche d’aller dans l’autre moitié de l’endroit où vous vous trouvez.
C’est comme si on avait pris le désir d’enfermer quelque chose dedans. Vous avez beau chercher. Elle n’apparaît pas tout de suite. Peut-être entendriez-vous un murmure, votre attention sera attirée par votre peur la plus terrifiante. Cette forme a pris racine dans vos émotions les plus profondes. Oserez-vous affronter votre peur ? Peut-être que vous ne vous rendrez pas du tout compte que cette vitre vous sépare de cette créature magique.
Vous avez lu les paroles à hautes voix. Une porte dans le mur s’ouvre. Un vent polaire se saisit de vos membres. L’envie de rigoler disparait petit à petit. Rien de bon n’échappe de cette pièce. La lumière entre la porte éclaire très clairement l’endroit où vous devez vous rendre. Vous avancez pour rentrer dans cette salle si mystérieuse. Un énorme bureau s’offre à vous d’un style colonial. La lumière de la nuit rentre par les fenêtres. On sent comme une présence qui est là et qui vous guette. Vous vous avancez et constater que la pièce à une vitre qui vous empêche d’aller dans l’autre moitié de l’endroit où vous vous trouvez.
C’est comme si on avait pris le désir d’enfermer quelque chose dedans. Vous avez beau chercher. Elle n’apparaît pas tout de suite. Peut-être entendriez-vous un murmure, votre attention sera attirée par votre peur la plus terrifiante. Cette forme a pris racine dans vos émotions les plus profondes. Oserez-vous affronter votre peur ? Peut-être que vous ne vous rendrez pas du tout compte que cette vitre vous sépare de cette créature magique.
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Re: Joyeux Halloween - Team fantôme
Ven 4 Déc - 19:06 Cette attraction d’Halloween était pour l’instant une blague à l’horreur. J’avais envie de profiter de chaque instant à pouvoir apprécier pour la deuxième fois à être dans ses bras qui me réchauffait. Son allusion vis-à-vis d’avoir une relation sexuelle me perturbait et me faisait crever d’envie. Mais ce n’était pas le moment. Il ne fallait pas céder. Ce serait mieux de sortir de cet endroit pour retourner chez lui et échanger une nuit d’amour tranquillou dans un lit. Peau contre peau, cela changera du froid de canard qu’il y avait ici. Pis en me rendant compte à ce que je pensais, j’avais inconsciemment rougi. Sa voix avait aussi changé. J’étais bonne pour faire tout ce qu’il désirait. C’était horrible. En me gardant dans les bras, nous restions l’un contre l’autre. C’était nous contre le monde. J’appréciais beaucoup ce sentiment que je pouvais peut-être lui appartenir, devenir sienne encore une fois… Malgré toutes ces pensées, nous avions trouvé un moyen pour sortir de ce couloir ensanglanté. La porte s’ouvrit devant nous pour passer à la prochaine phase. « Je crois qu’ils vont payer grave cher la clim. » Disais-je en rigolant. Après tout, les moldus l’utilisaient bien. Dans certains magasins, cela donnait le même effet que d’être dans un frigidaire.
La pièce qui s’offrait était vraiment belle. J’appréciais voir les détails. La lumière de la lune laissait une atmosphère vraiment mystérieuse. Cependant, petit à petit, je sentais Charlie devenir tendu. Instinctivement, je l’étais aussi. Je montais en crescendo. S’il n’était pas assuré dans cet endroit, cela devait grave puer. Petit à petit, je ne me sentais vraiment pas bien. Mon regard cherchait déjà un moyen de pouvoir partir de là. Ce n’était vraiment pas le moment de rester sur les lieux. Je n’osais pas sortir de ses bras pour autant. Puis, étant contre Charlie, je sentai ses battements de cœurs qui s’accélèra…. Sa voix résonna : « Bill ». Mon regard tomba sur le cadavre. Comment je ne l’avais pas remarqué. J’étais en train de chercher un foutu moyen pour sortir d’ici… Il se détacha de ma personne. La scène semblait si irréelle à présent. Mon rouquin se dirigea vers la vitre. Je le suivais d’un pas hésitant et ne sachant pas ce qu’il allait nous tomber dessus. C’était un autre piège. Il connaissait la personne à terre. C’était rassurant… Il jouait peut-être un rôle. Puis, son instinct prit sûrement possession de lui. Je voyais ce corps par terre, Charlie qui martelait comme un fou. Insciemment, je faisais le lien à présent. Il faisait partie de la famille Weasley.
Tout me revint en mémoire comme un flashback : Ginny. Ron. Fred. George... leur frère éleveur de dragon. Ils avaient aussi des grands frères : Percy et… Bill ? Mes sourcils se froncèrent. Tout tournait en accéléré dans ma tête. Puis, je fis le lien à ce dompteur de dragon que j’aimais regarder durant le tournoi des trois sorciers. C’était leur grand frère : Charlie. Enfin. Je n’étais pas sûr dans quel ordre se situer après Fred & George. Cela avait été une tragédie la mort d’un des jumeaux. Maintenant, il y avait un de ses frères à terre. Mon regard regardait ses poings sur la vitre qui n’allait pas céder. Mon frère m’avait entraîné à ces situations de stress. Je devins glaciale et stoïque. Il ne pouvait pas être mort. Il devait y avoir un truc. Une illusion. Tout continuait à tourner très rapidement dans ma tête. Ce n’était pas possible. Comment il avait pu réaliser une illusion aussi poussée… Le sang commençait à couler contre cette paroi. Ma voix commençait à s’élever pour l’appeler. Cependant, il était totalement hermétique.
« CHARLIE. BON SANG. CE N’EST PAS BILL. TU ES À PRE-AU-LARD DANS UNE MAISON HANTE. » Il n’entendait toujours pas. Je décidais d’essayer à me mettre entre lui et la glace. Je savais que ce n’était pas logique. Je savais que j’aurais dû essayer de chercher la réponse à cette énigme. Mais je ne pouvais pas agir normalement. J’essayais de prendre un de ses bras pour l’empêcher de taper davantage. En essayant, je me retins de ne pas tomber. Je me sentais plus qu’impuissante. Puis, la scène changea légèrement. Le corps avait disparu pour prendre une silouhette. J’étais la plus proche. Peut-être une cible plus sensible ? Je vis une personne se rapprocher de nous du coin de l’oeil. C’était ma personne. Qu’est-ce que je foutais de l’autre côté. Cela n’était pas réel. Je me détaillai comme un mauvais miroir. Ses mains étaient en sang avec un sourire de bonheur complet. Ce n’était pas moi. Je ne l’avais pas tué. Confuse. Je m’étais complètement perdue dans la scène. Ma tenue était totalement ensanglantée. Qu’est-ce qui se passait bordel. Je… Je… Je ne l’avais pas tué. J’étais avec Charlie. C’était un cauchemar ?
Désorientée, j’étais complètement pétrifiée à cet instant. Je continuais de me voir là debout avec le sang du corps sur moi. « Je ne suis pas un monstre. Je n’ai rien fait. » Répétais-je en murmurant pour essayer de reprendre le contrôle. Je n’avais tué personne. Je ne deviendrais jamais cette personne. Je commençais déjà par être rongé par cette culpabilité avant même d’avoir tué qui ce soit. Se retrouver face à ce tableau, c’était une farce d’un mauvais goût. Je sentais toute la terreur me posséder à mon tour. Puis, je regardais Charlie sans me rendre compte que j’étais en train de pleurer à cette scène. « Je n’ai pas tué Bill. Je te l’assure. Je n’ai rien fait. » C’était vrai. Avec cette scène, est-ce qu’il me croira ? J'avais plus de mal à respirer comme si l'air me manquait.
La pièce qui s’offrait était vraiment belle. J’appréciais voir les détails. La lumière de la lune laissait une atmosphère vraiment mystérieuse. Cependant, petit à petit, je sentais Charlie devenir tendu. Instinctivement, je l’étais aussi. Je montais en crescendo. S’il n’était pas assuré dans cet endroit, cela devait grave puer. Petit à petit, je ne me sentais vraiment pas bien. Mon regard cherchait déjà un moyen de pouvoir partir de là. Ce n’était vraiment pas le moment de rester sur les lieux. Je n’osais pas sortir de ses bras pour autant. Puis, étant contre Charlie, je sentai ses battements de cœurs qui s’accélèra…. Sa voix résonna : « Bill ». Mon regard tomba sur le cadavre. Comment je ne l’avais pas remarqué. J’étais en train de chercher un foutu moyen pour sortir d’ici… Il se détacha de ma personne. La scène semblait si irréelle à présent. Mon rouquin se dirigea vers la vitre. Je le suivais d’un pas hésitant et ne sachant pas ce qu’il allait nous tomber dessus. C’était un autre piège. Il connaissait la personne à terre. C’était rassurant… Il jouait peut-être un rôle. Puis, son instinct prit sûrement possession de lui. Je voyais ce corps par terre, Charlie qui martelait comme un fou. Insciemment, je faisais le lien à présent. Il faisait partie de la famille Weasley.
Tout me revint en mémoire comme un flashback : Ginny. Ron. Fred. George... leur frère éleveur de dragon. Ils avaient aussi des grands frères : Percy et… Bill ? Mes sourcils se froncèrent. Tout tournait en accéléré dans ma tête. Puis, je fis le lien à ce dompteur de dragon que j’aimais regarder durant le tournoi des trois sorciers. C’était leur grand frère : Charlie. Enfin. Je n’étais pas sûr dans quel ordre se situer après Fred & George. Cela avait été une tragédie la mort d’un des jumeaux. Maintenant, il y avait un de ses frères à terre. Mon regard regardait ses poings sur la vitre qui n’allait pas céder. Mon frère m’avait entraîné à ces situations de stress. Je devins glaciale et stoïque. Il ne pouvait pas être mort. Il devait y avoir un truc. Une illusion. Tout continuait à tourner très rapidement dans ma tête. Ce n’était pas possible. Comment il avait pu réaliser une illusion aussi poussée… Le sang commençait à couler contre cette paroi. Ma voix commençait à s’élever pour l’appeler. Cependant, il était totalement hermétique.
« CHARLIE. BON SANG. CE N’EST PAS BILL. TU ES À PRE-AU-LARD DANS UNE MAISON HANTE. » Il n’entendait toujours pas. Je décidais d’essayer à me mettre entre lui et la glace. Je savais que ce n’était pas logique. Je savais que j’aurais dû essayer de chercher la réponse à cette énigme. Mais je ne pouvais pas agir normalement. J’essayais de prendre un de ses bras pour l’empêcher de taper davantage. En essayant, je me retins de ne pas tomber. Je me sentais plus qu’impuissante. Puis, la scène changea légèrement. Le corps avait disparu pour prendre une silouhette. J’étais la plus proche. Peut-être une cible plus sensible ? Je vis une personne se rapprocher de nous du coin de l’oeil. C’était ma personne. Qu’est-ce que je foutais de l’autre côté. Cela n’était pas réel. Je me détaillai comme un mauvais miroir. Ses mains étaient en sang avec un sourire de bonheur complet. Ce n’était pas moi. Je ne l’avais pas tué. Confuse. Je m’étais complètement perdue dans la scène. Ma tenue était totalement ensanglantée. Qu’est-ce qui se passait bordel. Je… Je… Je ne l’avais pas tué. J’étais avec Charlie. C’était un cauchemar ?
Désorientée, j’étais complètement pétrifiée à cet instant. Je continuais de me voir là debout avec le sang du corps sur moi. « Je ne suis pas un monstre. Je n’ai rien fait. » Répétais-je en murmurant pour essayer de reprendre le contrôle. Je n’avais tué personne. Je ne deviendrais jamais cette personne. Je commençais déjà par être rongé par cette culpabilité avant même d’avoir tué qui ce soit. Se retrouver face à ce tableau, c’était une farce d’un mauvais goût. Je sentais toute la terreur me posséder à mon tour. Puis, je regardais Charlie sans me rendre compte que j’étais en train de pleurer à cette scène. « Je n’ai pas tué Bill. Je te l’assure. Je n’ai rien fait. » C’était vrai. Avec cette scène, est-ce qu’il me croira ? J'avais plus de mal à respirer comme si l'air me manquait.
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Re: Joyeux Halloween - Team fantôme
Mar 8 Déc - 21:42 Quand on est enfant, notre peur est généralement basée sur le fait de perdre ses parents, d’avoir peur des fantômes, de l’obscurité ou encore de choses complètement insensés. En grandissant, ces peurs changent. On peut dire que l’innocence disparait pour laisser place aux doutes et à des peurs concrètes. Je me rappelle d’un jour complètement stupide. Ma mère m’avait raconté une comptine stupide de noël : douce nuit. Les complets auraient pu sonner comme une sagesse dans fin à cette nuit horrifique. Cette chanson dans un cadre beaucoup plus lugubre aurait pu vous glacer le sang.
Dans cette nuit, il fallait avouer. Ce bureau éclairait. Le mystère annoncé par cette mise en garde s’accomplissait. Complètement en panique, j’avais perdu légèrement la tête. Mon sang-froid disparaissait pour laisser place à une culpabilité subjacente. Charlie était complètement perdu. Il était impossible pour moi de pouvoir l’atteindre. Il était impossible de le ramener à la réalité de cette scène lugubre. Petit à petit, cela changea pour me mettre dans une torpeur profonde. C’était une chose qui m’effrayait plus que tout. Si je prenais goût au sang et si j’aimais torturer les gens pour leur retirer des informations, c’était inconcevable. Tuer une personne, cela mettrait fin à tout ce que j’avais connu jusqu’à maintenant. Pendant, que je me voyais en face de moi tel un miroir, mes larmes coulèrent. La notion de monstre en grandissant avait tellement changé. Je n’avais plus peur des fantômes ni des montres imaginaires… J’avais simplement peur de devenir un monstre. Le sang sur mes mains m’indiquait clairement que j’avais fait un massacre pour en avoir autant. Je pouvais voir des gouttes tombaient au sol. Cela aurait pu être le retour de Carrie. J’aurais été plus détendue à coup sûr. Si je devais être à être amené à tuer les gens que j’aime pour un fichu contrat. Je n’étais qu’une gamine qui pleurait. C’était trop. Ma respiration s’accélérait. J’avais mal à la gorge tellement que cette vision m’horrifiait. J’avais tué son frère. Je ne me sentais pas bien. Je répétais en murmurant des phrases incompréhensibles. Puis, je faisais face à mes actions. Les doutes, j’avais peur. Est-ce que je l’avais vraiment tué. Cela pouvait très bien être moi. Qu’est-ce qui m’aurait empêché de le faire. Ma tête tournoyait dans cette psychose. L’épouvantard réussissait petit à petit à me faire céder dans une crise. J’avais cette fichue comptine qui continuait de tourner.
Je me sentais perdue, damnée et mourant de froid. Mes poils s’étaient hérissaient. Je me tournais pour me repentir. Il me le pardonnerait. Peut-être que la folie était là ? Je perdais toute notion de lucidité. Le voyant bouger, je bougeais légèrement. Il était là. J’avais peur de savoir ce qu’il pourrait me faire. Je me tournais pour regarder le cadavre. Il n’était plus là. Je sentis Charlie mettre son bras autour de mes épaules. Son souffle m’apaisa. Sa voix attira mon attention sur ma personne. Je me rappelais de ce cours. Je ne pensais simplement jamais avoir l’occasion d’en voir un… Le sort, c’était Riddiculus. Je montais ma baguette contre cette image qui était la mienne. Je formulais une première fois sans que cela ne fasse quoi ce soit ! Puis, je montais plus la voix avec plus de conviction. La créature apparaissait et filait se cacher. Une porte s’ouvrit pour nous laisser sortir de ce bureau. Je ne me retins pas de quitter ce lieu en me séparant de Charlie pour prendre de l’air. J’avais besoin de respirer. L’air me donnait l’impression de vivre à nouveau. Quand le dragonologiste fut à ma hauteur, je ne pus résister au fait de l’embrasser comme si ma vie en dépendait. J’avais besoin de me sentir contre lui. Je regrettais d’être rentré dans cet endroit. Une fois le souffle perdu, j’avais envie de déchirer ses vêtements pour le faire. C’était un appel sauvage comme si j’avais besoin de lui pour vivre. Reprenant mon souffle à la fin de notre baiser, je mis ma tête contre son torse. « Ils sont cinglés d’avoir fait ça ! » . Je tournais la tête pour observer la scène qui s’offrait à nous.
Douce nuit, sainte nuit !
Dans les cieux, l’astre luit.
Le mystère annoncé s’accomplit.
Cet enfant sur la paille endormi,
C’est amour infini ! c’est l’amour infini !
Dans les cieux, l’astre luit.
Le mystère annoncé s’accomplit.
Cet enfant sur la paille endormi,
C’est amour infini ! c’est l’amour infini !
Dans cette nuit, il fallait avouer. Ce bureau éclairait. Le mystère annoncé par cette mise en garde s’accomplissait. Complètement en panique, j’avais perdu légèrement la tête. Mon sang-froid disparaissait pour laisser place à une culpabilité subjacente. Charlie était complètement perdu. Il était impossible pour moi de pouvoir l’atteindre. Il était impossible de le ramener à la réalité de cette scène lugubre. Petit à petit, cela changea pour me mettre dans une torpeur profonde. C’était une chose qui m’effrayait plus que tout. Si je prenais goût au sang et si j’aimais torturer les gens pour leur retirer des informations, c’était inconcevable. Tuer une personne, cela mettrait fin à tout ce que j’avais connu jusqu’à maintenant. Pendant, que je me voyais en face de moi tel un miroir, mes larmes coulèrent. La notion de monstre en grandissant avait tellement changé. Je n’avais plus peur des fantômes ni des montres imaginaires… J’avais simplement peur de devenir un monstre. Le sang sur mes mains m’indiquait clairement que j’avais fait un massacre pour en avoir autant. Je pouvais voir des gouttes tombaient au sol. Cela aurait pu être le retour de Carrie. J’aurais été plus détendue à coup sûr. Si je devais être à être amené à tuer les gens que j’aime pour un fichu contrat. Je n’étais qu’une gamine qui pleurait. C’était trop. Ma respiration s’accélérait. J’avais mal à la gorge tellement que cette vision m’horrifiait. J’avais tué son frère. Je ne me sentais pas bien. Je répétais en murmurant des phrases incompréhensibles. Puis, je faisais face à mes actions. Les doutes, j’avais peur. Est-ce que je l’avais vraiment tué. Cela pouvait très bien être moi. Qu’est-ce qui m’aurait empêché de le faire. Ma tête tournoyait dans cette psychose. L’épouvantard réussissait petit à petit à me faire céder dans une crise. J’avais cette fichue comptine qui continuait de tourner.
Quel accueil pour un Roi !
Point d’abri, point de toit !
Dans sa crèche, il grelotte de froid
O pécheur, sans attendre la croix,
Jésus souffre pour toi !
Point d’abri, point de toit !
Dans sa crèche, il grelotte de froid
O pécheur, sans attendre la croix,
Jésus souffre pour toi !
Je me sentais perdue, damnée et mourant de froid. Mes poils s’étaient hérissaient. Je me tournais pour me repentir. Il me le pardonnerait. Peut-être que la folie était là ? Je perdais toute notion de lucidité. Le voyant bouger, je bougeais légèrement. Il était là. J’avais peur de savoir ce qu’il pourrait me faire. Je me tournais pour regarder le cadavre. Il n’était plus là. Je sentis Charlie mettre son bras autour de mes épaules. Son souffle m’apaisa. Sa voix attira mon attention sur ma personne. Je me rappelais de ce cours. Je ne pensais simplement jamais avoir l’occasion d’en voir un… Le sort, c’était Riddiculus. Je montais ma baguette contre cette image qui était la mienne. Je formulais une première fois sans que cela ne fasse quoi ce soit ! Puis, je montais plus la voix avec plus de conviction. La créature apparaissait et filait se cacher. Une porte s’ouvrit pour nous laisser sortir de ce bureau. Je ne me retins pas de quitter ce lieu en me séparant de Charlie pour prendre de l’air. J’avais besoin de respirer. L’air me donnait l’impression de vivre à nouveau. Quand le dragonologiste fut à ma hauteur, je ne pus résister au fait de l’embrasser comme si ma vie en dépendait. J’avais besoin de me sentir contre lui. Je regrettais d’être rentré dans cet endroit. Une fois le souffle perdu, j’avais envie de déchirer ses vêtements pour le faire. C’était un appel sauvage comme si j’avais besoin de lui pour vivre. Reprenant mon souffle à la fin de notre baiser, je mis ma tête contre son torse. « Ils sont cinglés d’avoir fait ça ! » . Je tournais la tête pour observer la scène qui s’offrait à nous.
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Re: Joyeux Halloween - Team fantôme
Mar 8 Déc - 22:32Joyeux Halloween Team fantôme |
Félicitation ! Vous venez de triompher de l’horrible épouvantard. Comme un jeu de Dungeon et dragon. Une porte s’est ouverte. En réalité, la bibliothèque s’est ouverte. La sortie était totalement cachée. En sortant, vous trouvez une salle plus chaleureuse digne d’une salle commune de Poudlard. Une cheminée est présente avec un feu chaud pour vous réchauffer. Après l’épreuve, le réconfort.
Vous trouvez une table vers la fenêtre remplie de bonbons offerts par Honeydukes. En réalité, c’était plus Avery qui avait payé l’addition. Il fallait bien que la pauvre commerçante gagne un peu sa vie. On pouvait aussi trouver diverses pâtisseries qui avaient été concoctées par les elfes de maisons.
Vous pouviez voir une autre porte où une jolie pancarte était accrochée : « Vous avez triomphé avec succès de cette maison de l’horreur. Nous espérons vous voir l’année prochaine pour de nouvelles aventures ! ». Était-il vraiment sérieux ! Qui oserait foutre ses pieds là-dedans l’année prochaine.
Vous trouvez une table vers la fenêtre remplie de bonbons offerts par Honeydukes. En réalité, c’était plus Avery qui avait payé l’addition. Il fallait bien que la pauvre commerçante gagne un peu sa vie. On pouvait aussi trouver diverses pâtisseries qui avaient été concoctées par les elfes de maisons.
Vous pouviez voir une autre porte où une jolie pancarte était accrochée : « Vous avez triomphé avec succès de cette maison de l’horreur. Nous espérons vous voir l’année prochaine pour de nouvelles aventures ! ». Était-il vraiment sérieux ! Qui oserait foutre ses pieds là-dedans l’année prochaine.
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Re: Joyeux Halloween - Team fantôme
Lun 21 Déc - 18:18 La peur… La terreur, c’était un sentiment qui pouvait envahir une vie. Cela pouvait rendre une personne complètement irrationnelle. J’étais dégoutée par ma vision. Je n’arrivais pas à m’y faire. J’avais lutté contre cet épouvantard sous la garde de Charlie. Il y avait des questions qui me taraudaient. Je ne me rendais pas compte de la pièce qui nous entourait. C’était comme si j’étais encore plongé dans cette étape traumatisante de la soirée. Je n’arrivais pas à m’aérer la tête. Je n’arrivais pas à me sortir mon propre reflet avec un meurtre sur ma conscience. J’étais tellement perdue et désorientée. Charlie, qu’est-ce qu’il devait penser de tout ça ? Charlie. Il arrivait à ma hauteur. J’avais besoin d’aller dans ses bras. Le sentiment de sécurité ne m’échappait pas. Mes lèvres se saisirent des siennes. Le besoin de me sentir vivant était envahissant dans mon esprit. J’avais envie de céder à la colère. C’était quoi cette blague. C’était censé être une maison hantée. En aucun cas, on s’attendait à affronter une créature magique. Celle-là était une des créatures que je haïssais le plus. Je m’étais retrouvée dans cette pièce. Reprenant mes esprits, je ne pus pester directement : « Ils sont cinglés d’avoir fait ça ! ». Est-ce qu’il avait le droit de faire cela au moins. Qui leur avait donné l’autorisation d’avoir une créature magique ? Mon visage contre son torse, je fermais les yeux pour sentir son odeur et me concentrer sur les battements de son cœur. J’avais plus envie de sentir la tête de là. J’avais envie de rester dans cette position indéfiniment. Je me rendais absolument aveugle jusqu’à attendre sa voix qui disait que c’était fini. Je levais mon nez pour le regarder. Sans écarter mon corps du sien, je bougeais la tête pour la mettre sur le côté et mieux entendre son cœur. Je scrutais telle une enfant apeurée par ce qu’elle venait de voir. On pouvait même dire que j’étais un koala. Cela me donnait un haut-le-cœur de voir l’inscription que c’était terminé. J’avais la haine contre cette maison de l’horreur. Cette odeur de bonbon… Ce feu qui devait apporter de la chaleur… Je sentais qu’il avait touché une corde sensible. Ce sentiment de malaise ne partait pas. Je devrais tuer et capturer des sorciers quand quelques mois… Il fallait que je me le rentre dans la tête et que ça percute pour de bon. Je deviendrais un monstre. Je ne serais qu’un monstre qui tue ses compères par contrat. Je n’avais pas envie de le faire. Ce n’était pas fini. J’avais tellement envie de le dire à Charlie.
Cela m’avait donné le tour. Je remerciais le ciel qu’il n’y est pas plus de pièce. Après tout, c’était déjà trop pour moi. Si j’avais du croisé des créatures des eaux, des loups-garous, des détraqueurs ou d’autres créatures magiques. Mon sang-froid aurait fait plus d’un tour dans le sac. J’aurais sûrement pété un plomb. Cette bibliothèque, je n’avais pas confiance pour autant. On avait l’impression que toutes ces friandises, ces gâteaux… Cette ambiance chaleureuse, c’était pour se faire pardonner de ce qu’il avait enduré. J’aurais voulu affronter des dragons. Cela m’aurait moins assommé. On ne m’avait pas entraîné contre les créatures magiques… J’essayais de reprendre mon souffle et mon sang-froid. Mon regard s’attardait sur tous les détails de la pièce. Je n’avais pas envie de quitter ses bras. Je me rendais compte que lui non plus ne devait pas être bien. Il ne me chassait pas. Il me gardait précieusement dans ses bras. J’avais l’impression. Le bout de mon nez se leva aussitôt pour laisser mon regard océan et intense l’observer. Il était toujours un peu pâle après tout, c’était son frère qui avait été par terre. J’avais compris que c’était un Weasley. J’avais envie de parler, mais je sentais que ma voix était toujours trop basse. Me raclant légèrement la gorge et profitant qu’il me frottait légèrement le dos. J’essayais de changer de sujet. D’une voix faible et plus terne… « Tu vas trouver drôle… Mais sans cet épisode, je n’aurais pas compris que tu étais un Weasley… » disais-je. Puis, ma tête alla se cacher dans sa poitrine pour commencer à reparler avec une voix à moitié étouffée. « Tu sais que j’étais bêtement amoureuse de toi durant la coupe de feu… » Est-ce qu’il avait tout compris ? Ce n’était pas sûr. Parce que c’était vraiment stupide. Pis, après tout, elle se souvenait bien de ce passage de sa vie.
Durant la préparation des dragons, elle était dans la tribune. On pouvait voir les dragonologistes installer les dragons. Pis, il était apparu pour y déposer le magyar à pointes noires. Vous savez c’est un moment où vous êtes jeunes. Vous pouvez avoir de l’admiration complètement stupide pour une personne. Charlie m’avait hanté durant de nombreuses nuits. Je ne m’en étais pas souvenu et n’avait pas fait le lien durant notre rencontre aux Trois Balais. Pis, cela le ferait sûrement rire de savoir que la gamine que j’étais craqué sur lui. Peut-être qu’il n’avait entendu que le mot amoureuse ou encore que des petits fragments de ses phrases. Je prenais la fuite dans ses bras et ne voulait pas sortir de cette cachette fort agréable. Chassant cette vision d’horreur que j’avais fait face, j’avais plus envie d’y penser. Je forçais mon esprit à essayer d’aller de l’avant sauf que ce n’était pas évident…
En tout cas personne ne semblait venir nous sortir de la pièce. Ils avaient bien raison. J’aurais quitté mon nid douillet actuellement pour leur péter la gueule. J’étais tiraillé par plein de sentiments.
Cela m’avait donné le tour. Je remerciais le ciel qu’il n’y est pas plus de pièce. Après tout, c’était déjà trop pour moi. Si j’avais du croisé des créatures des eaux, des loups-garous, des détraqueurs ou d’autres créatures magiques. Mon sang-froid aurait fait plus d’un tour dans le sac. J’aurais sûrement pété un plomb. Cette bibliothèque, je n’avais pas confiance pour autant. On avait l’impression que toutes ces friandises, ces gâteaux… Cette ambiance chaleureuse, c’était pour se faire pardonner de ce qu’il avait enduré. J’aurais voulu affronter des dragons. Cela m’aurait moins assommé. On ne m’avait pas entraîné contre les créatures magiques… J’essayais de reprendre mon souffle et mon sang-froid. Mon regard s’attardait sur tous les détails de la pièce. Je n’avais pas envie de quitter ses bras. Je me rendais compte que lui non plus ne devait pas être bien. Il ne me chassait pas. Il me gardait précieusement dans ses bras. J’avais l’impression. Le bout de mon nez se leva aussitôt pour laisser mon regard océan et intense l’observer. Il était toujours un peu pâle après tout, c’était son frère qui avait été par terre. J’avais compris que c’était un Weasley. J’avais envie de parler, mais je sentais que ma voix était toujours trop basse. Me raclant légèrement la gorge et profitant qu’il me frottait légèrement le dos. J’essayais de changer de sujet. D’une voix faible et plus terne… « Tu vas trouver drôle… Mais sans cet épisode, je n’aurais pas compris que tu étais un Weasley… » disais-je. Puis, ma tête alla se cacher dans sa poitrine pour commencer à reparler avec une voix à moitié étouffée. « Tu sais que j’étais bêtement amoureuse de toi durant la coupe de feu… » Est-ce qu’il avait tout compris ? Ce n’était pas sûr. Parce que c’était vraiment stupide. Pis, après tout, elle se souvenait bien de ce passage de sa vie.
Durant la préparation des dragons, elle était dans la tribune. On pouvait voir les dragonologistes installer les dragons. Pis, il était apparu pour y déposer le magyar à pointes noires. Vous savez c’est un moment où vous êtes jeunes. Vous pouvez avoir de l’admiration complètement stupide pour une personne. Charlie m’avait hanté durant de nombreuses nuits. Je ne m’en étais pas souvenu et n’avait pas fait le lien durant notre rencontre aux Trois Balais. Pis, cela le ferait sûrement rire de savoir que la gamine que j’étais craqué sur lui. Peut-être qu’il n’avait entendu que le mot amoureuse ou encore que des petits fragments de ses phrases. Je prenais la fuite dans ses bras et ne voulait pas sortir de cette cachette fort agréable. Chassant cette vision d’horreur que j’avais fait face, j’avais plus envie d’y penser. Je forçais mon esprit à essayer d’aller de l’avant sauf que ce n’était pas évident…
En tout cas personne ne semblait venir nous sortir de la pièce. Ils avaient bien raison. J’aurais quitté mon nid douillet actuellement pour leur péter la gueule. J’étais tiraillé par plein de sentiments.
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Re: Joyeux Halloween - Team fantôme
Mar 2 Fév - 16:55 La peur était dans mon estomac. Je sentais le moindre de mes muscles s’atrophier tel un animal mort. Je n’en revenais pas. Comment les organisateurs avaient-ils pu faire cela ? Les mains de Charlie se fracassant contre le mur de verre. La terreur d’avoir vu ma propre image assassine, c’était trop pour moi. Faible dans ses bras, je me laissais aller contre lui. Il m’apportait un sentiment de sureté. Ses bras se refermant sur moi, c’était un sentiment indescriptible. J’essayai de positiver. Puis, ma remarque retentit. C’était une situation amusante à souhait. Mon souvenir était toujours aussi clair qu’autrefois. J’étais une pauvre innocente qui attendait le prince charmant. Il était là à de rares reprises. Pourtant, cela avait fait le tour dans ma tête durant de nombreuses nuits. J’étais trop jeune pour que ce soit considéré comme de l’amour. Pourtant, cela était drôle de le dire de cette manière. C’était un homme mature. Qu’est-ce qu’il aurait fait d’une gamine ? Rien. Après tout, il était là pour un job. Il n’avait été qu’un fantasme d’une gamine en croissance hormonale. Une idéalisation très téméraire, pouvait-on dire.
Puis, finalement, ma voix ne fut pas assez étouffée dans son torse. Il répéta trois mots qui me lova encore plus contre lui : « Amoureuse de moi ? ». C’était beaucoup mieux qu’un je t’aime après tout. Plus subtile et beaucoup plus drôle, actuellement, notre relation n’était que charnelle. Nous apprenions à nous connaitre. Je comptais bien le garder pour moi quoi qu’il arrive. Se cachant toujours contre lui, j’étais vraiment bien comme ça. Je n’avais pas envie le quitter. Les battements de son cœur résonnaient contre ma tête. C’était apaisant.
Quand il décida de prendre les devants, je me laissais faire sans problème. Se retrouvant à califourchon sur lui, je le regardais enfin dans les yeux. Sa main sur mon visage, je n’avais pas peur avec lui malgré le malaise que je ressentais toujours à cause de l’épouvantard. Son sourire fut communicateur. Le mien y répondit automatiquement.
« J’avais 13 ans Monsieur Weasley ! J’étais en deuxième année ! » lui tirai-je la langue amusée par la situation. « Après, je plaide coupable parce qu’à l’époque. C’était un amour on va dire enfantin. Je me rappelle du jour après l’épreuve des dragons, tu n’étais pas heureux pour la magyar… » Racontai-je en le regardant maintenant avec une grimace faussement jouée. « Tu m’avais envoyé chier avec ma lettre d’amour. Bon après, ça m’a permis de me faire consoler par Viktor. On est devenu ami grâce à toi. » lui fis-je un clin d’œil. « En vrai, je ne t’ai pas reconnu tout de suite. Mais maintenant Charlie, il faut que tu paies pour ton crime ? » finissais-je avec un sourire espiègle.
C’était mieux de rire de ce moment. Mon regard était posé sur lui de manière charmeuse. Ma main alla caresser son visage. Pourquoi ne pouvais-je pas le narguer un peu. « Je dois t’avouer qu’aujourd’hui je ne pense pas que je te laisserais aussi vite repartir. » Mes lèvres allèrent sur les siennes pour l’embrasser chastement. C’était plus fort que moi. J’étais totalement attiré par lui. Son caractère et ses manières me plaisant. C’était simple sans prise de tête.
Puis, finalement, ma voix ne fut pas assez étouffée dans son torse. Il répéta trois mots qui me lova encore plus contre lui : « Amoureuse de moi ? ». C’était beaucoup mieux qu’un je t’aime après tout. Plus subtile et beaucoup plus drôle, actuellement, notre relation n’était que charnelle. Nous apprenions à nous connaitre. Je comptais bien le garder pour moi quoi qu’il arrive. Se cachant toujours contre lui, j’étais vraiment bien comme ça. Je n’avais pas envie le quitter. Les battements de son cœur résonnaient contre ma tête. C’était apaisant.
Quand il décida de prendre les devants, je me laissais faire sans problème. Se retrouvant à califourchon sur lui, je le regardais enfin dans les yeux. Sa main sur mon visage, je n’avais pas peur avec lui malgré le malaise que je ressentais toujours à cause de l’épouvantard. Son sourire fut communicateur. Le mien y répondit automatiquement.
« J’avais 13 ans Monsieur Weasley ! J’étais en deuxième année ! » lui tirai-je la langue amusée par la situation. « Après, je plaide coupable parce qu’à l’époque. C’était un amour on va dire enfantin. Je me rappelle du jour après l’épreuve des dragons, tu n’étais pas heureux pour la magyar… » Racontai-je en le regardant maintenant avec une grimace faussement jouée. « Tu m’avais envoyé chier avec ma lettre d’amour. Bon après, ça m’a permis de me faire consoler par Viktor. On est devenu ami grâce à toi. » lui fis-je un clin d’œil. « En vrai, je ne t’ai pas reconnu tout de suite. Mais maintenant Charlie, il faut que tu paies pour ton crime ? » finissais-je avec un sourire espiègle.
C’était mieux de rire de ce moment. Mon regard était posé sur lui de manière charmeuse. Ma main alla caresser son visage. Pourquoi ne pouvais-je pas le narguer un peu. « Je dois t’avouer qu’aujourd’hui je ne pense pas que je te laisserais aussi vite repartir. » Mes lèvres allèrent sur les siennes pour l’embrasser chastement. C’était plus fort que moi. J’étais totalement attiré par lui. Son caractère et ses manières me plaisant. C’était simple sans prise de tête.
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