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Hôpital et chocolat
Mar 26 Mar - 18:58Fin octobre 2001 Hopitale de sainte Mangouste,
Un "bad boy" sans cœur – voilà probablement comment la majorité des étudiantes de Poudlard percevaient Thaddeus... Enfin, lui, il préférait se faire appeler Owen ; il avait en horreur son prénom de naissance. C'était bien regrettable que, dans la communauté magique, on ne laisse pas aux enfants la liberté de choisir leur propre prénom. Owen jouissait de la réputation de séducteur de Poudlard, un statut qui lui plaisait énormément. Il profitait pleinement de cette image : entre les flirts, ses performances académiques, son cercle d'amis, et bien sûr, sa famille – sa mère étant en elle-même une raison de fierté. Sa vie était décidément bien remplie. Et puis, il y avait Arya, probablement la seule jeune fille de l'école avec qui Owen avait entretenu une relation amoureuse sérieuse – la seule pour qui il serait prêt à affronter tous les périls. Mais leur idylle s'était conclue par une rupture sans rancune, bien qu'Owen en ait été profondément affecté, dissimulant soigneusement son chagrin.
La nouvelle de l'agression d'Arya au ministère avait profondément choqué Owen ; dès qu'il avait appris son réveil, il avait quitté Poudlard à l'insu de sa mère pour aller la voir et lui tenir compagnie. Naturellement, il ne s'était pas présenté les mains vides. Sur le Chemin de Traverse, il avait acquis un bouquet de lys, symboles de la royauté française – après tout, les Lestrange avaient des origines françaises – ainsi que des chocolats, une attention traditionnelle pour les visites hospitalières. Patientant dans le hall de la clinique, une infirmière l'avait ensuite guidé vers son amie.
La porte de la chambre était déjà entrouverte, et Arya sommeillait encore. Owen s'approcha d'elle, arborant un sourire mêlant arrogance et bienveillance, et lui murmura à l'oreille : "Il est presque 3 heures de l'après-midi, et toi, tu dors encore, espèce de paresseuse," dit-il en éclatant de rire, "comment te sens-tu ? Ça va mieux ?" Rassuré, il constata qu'ils étaient seuls, une intimité qu'il appréciait d'autant plus depuis l'annonce de ses fiançailles avec Aylia, la sœur jumelle d'Arya. La dernière chose qu'il désirait, c'était de croiser son futur beau-père ou sa future concubine.
Un "bad boy" sans cœur – voilà probablement comment la majorité des étudiantes de Poudlard percevaient Thaddeus... Enfin, lui, il préférait se faire appeler Owen ; il avait en horreur son prénom de naissance. C'était bien regrettable que, dans la communauté magique, on ne laisse pas aux enfants la liberté de choisir leur propre prénom. Owen jouissait de la réputation de séducteur de Poudlard, un statut qui lui plaisait énormément. Il profitait pleinement de cette image : entre les flirts, ses performances académiques, son cercle d'amis, et bien sûr, sa famille – sa mère étant en elle-même une raison de fierté. Sa vie était décidément bien remplie. Et puis, il y avait Arya, probablement la seule jeune fille de l'école avec qui Owen avait entretenu une relation amoureuse sérieuse – la seule pour qui il serait prêt à affronter tous les périls. Mais leur idylle s'était conclue par une rupture sans rancune, bien qu'Owen en ait été profondément affecté, dissimulant soigneusement son chagrin.
La nouvelle de l'agression d'Arya au ministère avait profondément choqué Owen ; dès qu'il avait appris son réveil, il avait quitté Poudlard à l'insu de sa mère pour aller la voir et lui tenir compagnie. Naturellement, il ne s'était pas présenté les mains vides. Sur le Chemin de Traverse, il avait acquis un bouquet de lys, symboles de la royauté française – après tout, les Lestrange avaient des origines françaises – ainsi que des chocolats, une attention traditionnelle pour les visites hospitalières. Patientant dans le hall de la clinique, une infirmière l'avait ensuite guidé vers son amie.
La porte de la chambre était déjà entrouverte, et Arya sommeillait encore. Owen s'approcha d'elle, arborant un sourire mêlant arrogance et bienveillance, et lui murmura à l'oreille : "Il est presque 3 heures de l'après-midi, et toi, tu dors encore, espèce de paresseuse," dit-il en éclatant de rire, "comment te sens-tu ? Ça va mieux ?" Rassuré, il constata qu'ils étaient seuls, une intimité qu'il appréciait d'autant plus depuis l'annonce de ses fiançailles avec Aylia, la sœur jumelle d'Arya. La dernière chose qu'il désirait, c'était de croiser son futur beau-père ou sa future concubine.
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Re: Hôpital et chocolat
Jeu 28 Mar - 19:35Hôpital et chocolat
Fin octobre 2001 Hopitale de sainte Mangouste - @Thaddeus Owen Fawley
Avant son mariage, on connaissait Arya comme une véritable peste, sans cœur et sans le moindre tact avec ceux qu’elle détestait ou qu’elle n’appréciait guère compte tenu de son rang, mais depuis, elle avait grandi et changer quelque peu de mentalité, en étant devenue, une véritable femme. Elle s’était donc partiellement adoucit, sans pour autant laisser l’ancienne Arya complètement de coter. Non, elle demeurait toujours bel et bien présente, et par chance, même si sa vie n’avait tenue il y a peut-être un mois de cela, que sur un fil, elle demeurait toujours là, vivante, et ne pouvait qu’intérieurement s’en rassurer.
Il ne lui restait encore plus que quelques jours, et elle allait pouvoir rentrer. La plupart de ses proches étaient venus lui rendre visite pendant sa convalescence et d’autres à son réveil, elle ne s’en souvenait plus très bien, mais le plus important avait été qu’ils viennent bien évidemment la voir. Cependant, elle devait encore se reposer et suivre son traitement, malgré cela, elle demeurait encore sujette à quelques séquelles, qu’elle ne pouvait pas maîtriser, mais pour l’heure, elle allait beaucoup mieux. Pour le plus grand bonheur de ses proches. En parlant d’eux, elle avait tout particulièrement hâte de les retrouver, mais pour l’heure, Arya faisait de son mieux pour se reposer.
Elle dormait plus ou moins paisiblement, même si elle disposait aujourd’hui, d’un sommeil plutôt léger, lui permettant de se réveiller beaucoup plus facilement qu’à l’accoutumer. Elle fut d’ailleurs réveillée, délicatement, et pas brutalement par l’un de ses amis, qu’il lui avait chuchoté quelques mots à l’oreille. Cela eut pour effet de la faire sourire bien entendu, car elle avait reconnu cette voix, Thaddeus ou plutôt Owen. Ce dernier s’était empressé de la taquiner en lui parlant de l’heure et du fait qu’elle ne pouvait être qu’une paresseuse à ses yeux.
Ouvrant délicatement les yeux, elle s’empressa alors bien qu’un peu assoupi de lui répondre « Je faisais semblant de dormir » (ou peut-être pas). Il ne put alors s’empêcher d’éclater de rire, et de son côté, de continuer à sourire, rapidement, il lui avait demandé comment est-ce qu’elle allait, devait-elle lui dire la vérité ou bien lui mentir ? « Cela pourrait aller mieux » lui avait-elle alors répondu, sans pour autant en dire davantage et tout en découvrant rapidement non loin d’elle, une boîte de chocolat et un bouquet de lys « C’est pour moi ? » lui avait-elle demandé, car oui, elle se souvenait encore que ce bouquet et cette boîte n’était pas là, il y a quelques minutes, il ne pouvait s’agir que de plusieurs présents de son ami, Thaddeus.
KoalaVolantAvant son mariage, on connaissait Arya comme une véritable peste, sans cœur et sans le moindre tact avec ceux qu’elle détestait ou qu’elle n’appréciait guère compte tenu de son rang, mais depuis, elle avait grandi et changer quelque peu de mentalité, en étant devenue, une véritable femme. Elle s’était donc partiellement adoucit, sans pour autant laisser l’ancienne Arya complètement de coter. Non, elle demeurait toujours bel et bien présente, et par chance, même si sa vie n’avait tenue il y a peut-être un mois de cela, que sur un fil, elle demeurait toujours là, vivante, et ne pouvait qu’intérieurement s’en rassurer.
Il ne lui restait encore plus que quelques jours, et elle allait pouvoir rentrer. La plupart de ses proches étaient venus lui rendre visite pendant sa convalescence et d’autres à son réveil, elle ne s’en souvenait plus très bien, mais le plus important avait été qu’ils viennent bien évidemment la voir. Cependant, elle devait encore se reposer et suivre son traitement, malgré cela, elle demeurait encore sujette à quelques séquelles, qu’elle ne pouvait pas maîtriser, mais pour l’heure, elle allait beaucoup mieux. Pour le plus grand bonheur de ses proches. En parlant d’eux, elle avait tout particulièrement hâte de les retrouver, mais pour l’heure, Arya faisait de son mieux pour se reposer.
Elle dormait plus ou moins paisiblement, même si elle disposait aujourd’hui, d’un sommeil plutôt léger, lui permettant de se réveiller beaucoup plus facilement qu’à l’accoutumer. Elle fut d’ailleurs réveillée, délicatement, et pas brutalement par l’un de ses amis, qu’il lui avait chuchoté quelques mots à l’oreille. Cela eut pour effet de la faire sourire bien entendu, car elle avait reconnu cette voix, Thaddeus ou plutôt Owen. Ce dernier s’était empressé de la taquiner en lui parlant de l’heure et du fait qu’elle ne pouvait être qu’une paresseuse à ses yeux.
Ouvrant délicatement les yeux, elle s’empressa alors bien qu’un peu assoupi de lui répondre « Je faisais semblant de dormir » (ou peut-être pas). Il ne put alors s’empêcher d’éclater de rire, et de son côté, de continuer à sourire, rapidement, il lui avait demandé comment est-ce qu’elle allait, devait-elle lui dire la vérité ou bien lui mentir ? « Cela pourrait aller mieux » lui avait-elle alors répondu, sans pour autant en dire davantage et tout en découvrant rapidement non loin d’elle, une boîte de chocolat et un bouquet de lys « C’est pour moi ? » lui avait-elle demandé, car oui, elle se souvenait encore que ce bouquet et cette boîte n’était pas là, il y a quelques minutes, il ne pouvait s’agir que de plusieurs présents de son ami, Thaddeus.
Thaddeus Owen Fawley
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Re: Hôpital et chocolat
Mar 16 Avr - 18:06Owen, souriant à la réplique d’Arya, se pencha légèrement pour poser le bouquet de lys et la boîte de chocolats sur la petite table à côté de son lit d’hôpital. Son sourire, toujours empreint d’un mélange de malice et de tendresse, ne faiblissait pas alors qu’il répondait.
« Bien sûr que c'est pour toi, » dit-il en douceur, les yeux pétillants d’amusement. « Je ne saurais venir te voir les mains vides, surtout après tout ce que tu as traversé. » Il marqua une pause, observant son visage attentivement, cherchant à déceler des signes de fatigue ou de douleur qui pourraient trahir ses vrais sentiments. « Et je préfère que tu me dises la vérité, Arya. Comment te sens-tu vraiment ? »
Son ton était plus sérieux maintenant, montrant une facette de lui-même souvent dissimulée derrière le masque du charmeur. Owen était conscient que leur relation avait ses complexités, surtout compte tenu de leurs passés entremêlés et de son engagement avec Aylia. Toutefois, en cet instant, sa préoccupation pour Arya était sincère et dénuée de toute autre intention que de s'assurer de son bien-être.
« Je sais que ce n'est pas facile de récupérer après ce que tu as enduré, » continua-t-il, s’asseyant sur le bord du lit. « Mais je veux que tu saches que je suis là pour toi, comme un ami, si tu as besoin de parler, ou de quoi que ce soit d’autre. »
Il prit une des mains d’Arya entre les siennes, la chaleur de son geste cherchant à offrir confort et réassurance. « Et ne t'inquiète pas pour les formalités et les apparences, d'accord ? En ce moment, ce qui compte le plus, c'est ta guérison. »
La chambre semblait enveloppée dans une bulle de quiétude, à l’écart du reste du monde magique et de ses tumultes. Owen restait attentif, prêt à écouter et à répondre aux besoins d’Arya, démontrant ainsi une profondeur émotionnelle qui contrastait avec l'image du séducteur insouciant qu’il projetait souvent à Poudlard.
« Le médecin a dit que tu pourrais sortir quand, tu nous manques à Poudlard, j'avoue que sans toi Élite n'est plus pareille. ». Elle lui disait la vérité franchement s'il avait le type qui lui a fait ça nul doute que les flashs verts fuserait de sa baguette sans discontinuer, « Le médecin m'a dit que tu n'avais rien manger depuis ton arrivée ici prends au moins un chocolat, ils viennent du chemin de travers de chez madame Goldwyn, ce sont les meilleurs. »
Owen insista doucement, mais avec une pointe de fermeté dans sa voix. Il ouvrit la boîte de chocolats, dévoilant une collection de confiseries finement décorées, leur arôme riche emplissant l'air autour du lit d'hôpital. « Ils disent que le chocolat a des vertus curatives, surtout ceux de chez Madame Goldwyn. Essaye, ça te fera du bien. »
Il marqua une pause, son regard sombre traduisant son sérieux et son engagement. « Personne ne mérite de subir ce que tu as enduré. Et même si je ne peux pas remonter le temps et changer les choses, je peux au moins m'assurer que tu ne te sentes pas seule maintenant. »
Owen regardait Arya avec une affection protectrice, renouvelant implicitement son engagement à être là pour elle, non seulement en paroles mais aussi en actions, illustrant ainsi le profond lien qui persistait.
« Bien sûr que c'est pour toi, » dit-il en douceur, les yeux pétillants d’amusement. « Je ne saurais venir te voir les mains vides, surtout après tout ce que tu as traversé. » Il marqua une pause, observant son visage attentivement, cherchant à déceler des signes de fatigue ou de douleur qui pourraient trahir ses vrais sentiments. « Et je préfère que tu me dises la vérité, Arya. Comment te sens-tu vraiment ? »
Son ton était plus sérieux maintenant, montrant une facette de lui-même souvent dissimulée derrière le masque du charmeur. Owen était conscient que leur relation avait ses complexités, surtout compte tenu de leurs passés entremêlés et de son engagement avec Aylia. Toutefois, en cet instant, sa préoccupation pour Arya était sincère et dénuée de toute autre intention que de s'assurer de son bien-être.
« Je sais que ce n'est pas facile de récupérer après ce que tu as enduré, » continua-t-il, s’asseyant sur le bord du lit. « Mais je veux que tu saches que je suis là pour toi, comme un ami, si tu as besoin de parler, ou de quoi que ce soit d’autre. »
Il prit une des mains d’Arya entre les siennes, la chaleur de son geste cherchant à offrir confort et réassurance. « Et ne t'inquiète pas pour les formalités et les apparences, d'accord ? En ce moment, ce qui compte le plus, c'est ta guérison. »
La chambre semblait enveloppée dans une bulle de quiétude, à l’écart du reste du monde magique et de ses tumultes. Owen restait attentif, prêt à écouter et à répondre aux besoins d’Arya, démontrant ainsi une profondeur émotionnelle qui contrastait avec l'image du séducteur insouciant qu’il projetait souvent à Poudlard.
« Le médecin a dit que tu pourrais sortir quand, tu nous manques à Poudlard, j'avoue que sans toi Élite n'est plus pareille. ». Elle lui disait la vérité franchement s'il avait le type qui lui a fait ça nul doute que les flashs verts fuserait de sa baguette sans discontinuer, « Le médecin m'a dit que tu n'avais rien manger depuis ton arrivée ici prends au moins un chocolat, ils viennent du chemin de travers de chez madame Goldwyn, ce sont les meilleurs. »
Owen insista doucement, mais avec une pointe de fermeté dans sa voix. Il ouvrit la boîte de chocolats, dévoilant une collection de confiseries finement décorées, leur arôme riche emplissant l'air autour du lit d'hôpital. « Ils disent que le chocolat a des vertus curatives, surtout ceux de chez Madame Goldwyn. Essaye, ça te fera du bien. »
Il marqua une pause, son regard sombre traduisant son sérieux et son engagement. « Personne ne mérite de subir ce que tu as enduré. Et même si je ne peux pas remonter le temps et changer les choses, je peux au moins m'assurer que tu ne te sentes pas seule maintenant. »
Owen regardait Arya avec une affection protectrice, renouvelant implicitement son engagement à être là pour elle, non seulement en paroles mais aussi en actions, illustrant ainsi le profond lien qui persistait.
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Re: Hôpital et chocolat
Ven 19 Avr - 16:39Hôpital et chocolat
Fin octobre 2001 Hopitale de sainte Mangouste - @Thaddeus Owen Fawley
Arya disposait de bien des talents. Celui de mentir ou encore de jouer la comédie lui allait comme un gant. Tout du moins, elle parvenait plus facilement à entourlouper son entourage, même s’il lisait plus en elle que les personnes extérieures, qu’elle parvenait à manipuler à sa guise. Même dans un lit d’hôpital, Arya parvenait à le faire, et c’est ce qu’elle tenta de faire, en usant de ses charmes auprès d’Owen pour lui faire avaler qu’elle pourrait aller mieux compte tenu de la situation, tout en affichant une réelle surprise face à ses présents : du chocolat et un bouquet de lys. Était-ce pour elle ? lui avait-elle alors demandé, tout en lui affichant un joli sourire.
Comme si cela demeurait une évidence, Thaddeus venait de lui affirmer cela avec douceur. Ce qui avait eu pour effet de la faire continuer de sourire car en réalité, elle savait pertinemment qu’il ne venait pratiquement jamais la voir avec les mains vides, même à Poudlard, il avait toujours sur lui quelques friandises sur lui, qu’il partageait, avec elle et les autres membres du groupe, tout en l’analysant, et en lui redemandant ce qu’il avait pu déjà lui demande : comment est-ce qu’elle se sentait réellement.
Elle le sentait préoccuper, ce qui pouvait largement se comprendre, de son côté, elle ne pouvait donc pas continuer à lui mentir, et elle s’efforça donc de rester honnête en reprenant la parole dans sa direction, « Je suis fatiguée, je dirais même épuiser, littéralement » lui avait-elle alors répondu, dans un premier temps, avant qu’il ne réagisse. Il venait de lui faire comprendre qu’il resterait présent et de ne surtout pas hésiter si elle ressentait le besoin de parler ou de s’entretenir avec lui. Tout en lui laissant une place, sur le lit, elle continuait de l’écouter, et de sentir rapidement l’une de ses mains entre celles de son ami.
« Je compte bien guérir et vite revenir parmi vous » lui dit-elle tout en ignorant encore à ce jour, qu’elle ne tarderait pas à déclencher quelques séquelles. Elle l’avait rapidement remercié du regard tout en écoutant ses questions et recommandations. Il était si prévenant « Je devrais sortir d’ici quelques semaines, avant la rentrée d’octobre, j’espère que personne ne s’est laissé aller pendant mon absence » lui avait-elle indirectement demandé. Interrompue par le bruit de son ventre, elle ne put que suivre les instructions de son amie, en goutant ses fameux chocolats « D’accord tu as gagné, mais je tiens quand même à te signaler que je mange quand même un peu, même si les repas ne sont pas merveilleux comme à la maison, c’est un fait » lui avait-elle répondu.
« Ne parlons plus de ça tu veux bien, ce qui est fait est fait et je ne désire plus y repenser, tu en veux aussi ? » lui proposa-t-elle tout en lui tendant la boîte de chocolat qu’il avait pu lui donner quelques minutes plus tôt. « Ils sont très bon, j’adore ceux au lait, je commence à ressentir leurs effets » conclut-elle dans sa direction « Racontes-moi, est-ce qu’il s’est passé des trucs intéressants pendant mon absence ? » demanda-t-elle curieuse.
KoalaVolantArya disposait de bien des talents. Celui de mentir ou encore de jouer la comédie lui allait comme un gant. Tout du moins, elle parvenait plus facilement à entourlouper son entourage, même s’il lisait plus en elle que les personnes extérieures, qu’elle parvenait à manipuler à sa guise. Même dans un lit d’hôpital, Arya parvenait à le faire, et c’est ce qu’elle tenta de faire, en usant de ses charmes auprès d’Owen pour lui faire avaler qu’elle pourrait aller mieux compte tenu de la situation, tout en affichant une réelle surprise face à ses présents : du chocolat et un bouquet de lys. Était-ce pour elle ? lui avait-elle alors demandé, tout en lui affichant un joli sourire.
Comme si cela demeurait une évidence, Thaddeus venait de lui affirmer cela avec douceur. Ce qui avait eu pour effet de la faire continuer de sourire car en réalité, elle savait pertinemment qu’il ne venait pratiquement jamais la voir avec les mains vides, même à Poudlard, il avait toujours sur lui quelques friandises sur lui, qu’il partageait, avec elle et les autres membres du groupe, tout en l’analysant, et en lui redemandant ce qu’il avait pu déjà lui demande : comment est-ce qu’elle se sentait réellement.
Elle le sentait préoccuper, ce qui pouvait largement se comprendre, de son côté, elle ne pouvait donc pas continuer à lui mentir, et elle s’efforça donc de rester honnête en reprenant la parole dans sa direction, « Je suis fatiguée, je dirais même épuiser, littéralement » lui avait-elle alors répondu, dans un premier temps, avant qu’il ne réagisse. Il venait de lui faire comprendre qu’il resterait présent et de ne surtout pas hésiter si elle ressentait le besoin de parler ou de s’entretenir avec lui. Tout en lui laissant une place, sur le lit, elle continuait de l’écouter, et de sentir rapidement l’une de ses mains entre celles de son ami.
« Je compte bien guérir et vite revenir parmi vous » lui dit-elle tout en ignorant encore à ce jour, qu’elle ne tarderait pas à déclencher quelques séquelles. Elle l’avait rapidement remercié du regard tout en écoutant ses questions et recommandations. Il était si prévenant « Je devrais sortir d’ici quelques semaines, avant la rentrée d’octobre, j’espère que personne ne s’est laissé aller pendant mon absence » lui avait-elle indirectement demandé. Interrompue par le bruit de son ventre, elle ne put que suivre les instructions de son amie, en goutant ses fameux chocolats « D’accord tu as gagné, mais je tiens quand même à te signaler que je mange quand même un peu, même si les repas ne sont pas merveilleux comme à la maison, c’est un fait » lui avait-elle répondu.
« Ne parlons plus de ça tu veux bien, ce qui est fait est fait et je ne désire plus y repenser, tu en veux aussi ? » lui proposa-t-elle tout en lui tendant la boîte de chocolat qu’il avait pu lui donner quelques minutes plus tôt. « Ils sont très bon, j’adore ceux au lait, je commence à ressentir leurs effets » conclut-elle dans sa direction « Racontes-moi, est-ce qu’il s’est passé des trucs intéressants pendant mon absence ? » demanda-t-elle curieuse.
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