Le rendez-vous avec les Travers s'était très bien déroulé, mais quelque chose avait attiré l'attention de Maximilian : la jeune fiancée de Samaël. Callista n'avait pas caché que sa fille manquait cruellement de confiance en elle. Cependant, Maximilian avait déjà remarqué cela lors du cours de duel auquel il avait participé en personne. Il avait profité de l'occasion pour observer les élèves aspirant à devenir Aurors, mais une élève en particulier l'avait surpris : une jeune fille timide, apparemment mal à l'aise.

Il était hors de question qu'elle soit un fardeau pour Samaël. Maximilian avait fait des recherches approfondies sur elle, examinant ses notes et son dossier disciplinaire, et le tableau était catastrophique. Une descente aux enfers initiale, des notes plus qu'acceptables, pour ne pas dire parfaites, puis un déclin brutal, marqué par un cruel manque de confiance en soi et une timidité maladive. Cependant, lors du cours de duel, quelque chose avait captivé le patriarche : malgré son manque de pratique, la jeune fille de 15 ans montrait des aptitudes remarquables en sortilèges et en magie. De plus, elle aspirait à devenir Auror.

Maximilian était partagé entre aider cette jeune fille pour son fils ou abandonner l'alliance et chercher une meilleure candidate. Cependant, sa curiosité l'emporta sur ses réserves. C'est ainsi qu'au ministère, lors d'un stage, il décida de rencontrer sa future belle-fille. Alors qu'elle attendait à l'entrée du bureau des Aurors, ses suspicions se confirmèrent : elle avait vraiment l'aspiration de devenir Auror, mais elle semblait vouée à l'échec aux examens d'entrée. Maximilian ne tolérerait aucune complaisance dans le travail, même pour sa future belle-fille.

Il attendit l'heure du début du stage avant d'arriver d'un pas assuré devant la jeune Miss, son air froid mais déterminé.

"Mademoiselle Travers, bienvenue au département de la justice magique. Je suppose que vous ne vous êtes pas trompée d'étage." Il voulait s'assurer qu'elle ne ferait pas marche arrière, car elle jouait son avenir actuellement. "Veuillez me suivre, je vous prie." D'un pas rapide, ils traversèrent les bureaux pour atteindre le bureau de Maximilian, une pièce isolée. "Installez-vous, je vous prie. Vous ne voulez pas boire quelque chose ?"

Le bureau de Maximilian reflétait son caractère, à la fois rustique et noble. Un détail attira immédiatement l'œil : les trophées qu'il avait récupérés sur ses adversaires lors de combats magiques. Maximilian était un collectionneur, récupérant soit la baguette, soit un objet ayant appartenu au vaincu, et son bureau en était rempli.

Maximilian ne chercha pas à la brusquer davantage. Elle était déjà assez stressée. Elle ne le savait pas encore, mais le directeur allait lui faire passer un entretien en personne pour devenir Auror. Une manière plus approfondie de comprendre les motivations de la jeune fille, cette fois seule face à lui, sans amis pour la soutenir.

Que la boisson soit servie ou non, le directeur continua. Cependant, ses traits s'assombrirent soudainement. D'après ce qu'il avait compris de Freyja, certains élèves à Poudlard propageaient des rumeurs selon lesquelles les examens pour devenir Auror étaient simplifiés pour recruter davantage et pallier le manque d'effectifs. Quelle naïveté, pensa-t-il. Devenir Auror n'était pas à la portée de tous. Les Aurors représentaient l'élite, et les rejoindre demandait un effort exceptionnel.

"Je vais me présenter, puis vous ferez de même. Maximilian Corvinus Rosier, né le 29 septembre 1951 à Londres, à Chelsea plus précisément. J'ai commencé ma carrière d'Auror à l'âge de 18 ans et j'ai un peu plus de 800 missions réussies à mon actif. Cela fait quelques années que je dirige le département de la justice magique. Mon but est de protéger et de servir la population sorcière britannique. J'ai trois enfants, Ambrose, Freyja et Samaël, et ma femme Isabella est également Auror. À vous maintenant."

Il prit une plume et un parchemin pour prendre des notes, qu'il dissimula à la jeune fille. Malgré sa tentative de la mettre à l'aise, son ton restait froid, même face à la détresse de sa future belle-fille. Elle n'avait plus aucun allié ici, seule face à elle-même, et les épreuves ne faisaient que commencer.

L’année précédente a été très difficile et j’ai cru voir mon monde s’effondrer. Tout ce en quoi je croyais a été remis en cause alors que je me suis posée tant de questions auxquelles je ne trouvais pas de réponse. Je ne suis pas certaine d’en avoir trouvé davantage à l’heure actuelle mais la confiance qui m’est accordée par certains est précieuse. Une lumière dans l’obscurité qui m’entoure et qui me donne l’énergie d’espérer un peu. Je tente de remonter mes notes alors que les BUSES approchent à grands pas. Dans quelques mois, je vais devoir être à la hauteur si je veux pouvoir continuer les matières nécessaires à accomplir mon rêve. Je veux devenir auror même si je ne suis pas certaine d’être à la hauteur. Le doute est encore omniprésent et il se bataille avec une volonté qui tente d’émerger. Ce n’est pas le jour pour me focaliser sur les questionnements identitaires alors que je dois me rendre au ministère pour une période de stage. J’imagine bien plus de l’observation en lien avec mon désir d’emprunter cette future voie professionnelle. Une manière de venir découvrir si j’en suis réellement capable ainsi que le croit Marcus. Je ne dois pas me rater alors que je ne voudrais pas me montrer indigne de la confiance qu’il a placée en moi. Je me rends au ministère à l’heure indiquée et je suis ponctuelle. Je désire tant faire honneur contrairement à ces derniers temps où j’ai principalement été une source de déception avec mon comportement aux antipodes de celui attendu. Je vois arriver un homme dont je connais l’identité et la fonction et je suis assez surprise qu’il me demande de le suivre. Je ne pensais pas qu’il prendrait le temps de me reçevoir alors que ce n’est qu’un simple stage.

Je tente de ne pas montrer ma surprise mais je n’ai jamais été la plus douée à cet exercice. Je n’en dis rien. “Bonjour Monsieur Rosier, je vous remercie pour votre accueil. Je suis bien au bon étage, je devais venir aujourd’hui pour un stage”. La voix est mal assurée alors que je me demande si j’ai fait quelque chose qui nécessite sa présence à cet instant. Je le suis alors que je sens le stress qui monte en moi. La dernière fois que j’ai dû suivre un adulte dans un bureau, c'était la directrice de Poudlard et cela ne s’est pas réellement bien passé. Un des grands moments de panique. J’y repense un instant mais je chasse vite cette pensée de ma tête avant que cela ne m’angoisse réellement. Je m’installe alors qu’il me l’indique. “Non merci, je ne désire pas de boisson”. La gorge est bien trop sèche à cet instant pour que je puisse avaler quoique ce soit. Je l’écoute alors qu’il se présente et je suis impressionnée par le nombre de missions qu’il a réussi. Le doute grandit un peu plus alors que je me demande si je suis à ma place. Le silence dure quelques instants après qu’il ait fini de parler. Je cherche mes mots, ne désirant pas faire une gaffe. Je finis par prendre la parole d’une voix que je cherche à assurer. “Je m’appelle Hope Travers. J’ai 15 ans et je suis née le 14 mai 1986. Je suis en cinquième année à Poudlard et j'ai été répartie à Serdaigle. J’ai deux frères Keylian et Alejandro et mes parents sont William Travers et Callista Travers”. Elle s’arrête un instant avant d’ajouter d’une voix beaucoup plus timide et l’assurance tremble. “Je voudrais devenir auror pour protéger les autres”. Le désir est affirmé et je ne peux plus revenir en arrière.

Maximilian observa attentivement Hope Travers, son regard pénétrant scrutant chaque expression sur son visage. Il nota mentalement ses réponses, évaluant la détermination derrière ses paroles. Le directeur pouvait percevoir la tension et le doute chez la jeune fille, mais il devait déterminer si cela serait un obstacle insurmontable.

"Hope Travers, née le 14 mai 1986. Une famille de sorciers sans antécédents d'aurors, si je ne m'abuse. Vos motivations pour devenir auror sont nobles, la protection des autres est une vertu cruciale. Cependant, les motivations ne suffisent pas. Vous comprenez que devenir auror exige bien plus que des intentions louables, n'est-ce pas ?" commença Maximilian d'un ton calme, mais direct.

Il marqua une pause, laissant ses paroles pénétrer l'esprit de Hope. Le directeur cherchait à percer la carapace qu'elle tentait peut-être de maintenir.

"Je vois sur votre dossier que vos résultats scolaires ont connu des hauts et des bas. Comment l'expliquez-vous ?" Il marqua une pause et continua. "La voie des Aurors est impitoyable, et le doute peut être votre plus grand ennemi, mais vous intégrerez une famille, des hommes et des femmes sur qui vous pourrez compter en toute circonstance. J'ai vu quelque chose en vous lors du cours de duel. Une étincelle de talent qui ne demande qu'à être nourrie."

Maximilian plongea son regard dans celui de Hope, scrutant son âme comme s'il cherchait la vérité cachée derrière ses yeux. Son regard imperturbable pesait sur elle comme s'il cherchait à sonder ses pensées les plus profondes ainsi que les réponses qu'elle venait de lui donner. Il savait que l'aspect psychologique était tout aussi crucial que les compétences magiques et la motivation pour devenir un Auror accompli.

"Hope, permettez-moi de vous poser quelques questions supplémentaires avant que nous passions à la suite, et je veux que vous répondiez honnêtement. La franchise est essentielle dans cette profession. Vous dites vouloir protéger les autres, mais pourquoi avez-vous choisi spécifiquement de devenir Auror pour atteindre cet objectif ? Pourquoi pas d'autres voies moins périlleuses mais tout aussi nobles ? Je ne doute pas de vos capacités, je me pose juste la question de comment vous réagiriez en situation de crise ou même face à la mort, car vous y serez confrontée tôt ou tard." interrogea-t-il, cherchant à comprendre le fond de sa motivation.

Il attendit sa réponse, observant les nuances de son expression et les signes de réflexion. Maximilian ne cherchait pas simplement des réponses préfabriquées, mais une compréhension plus profonde de la personnalité et des convictions de Hope. C'était enfin le moment où elle devait lui montrer ses motivations et son désir de protéger et servir la communauté magique actuelle.

"En tant qu'Auror, vous serez confrontée à des situations difficiles, parfois même traumatisantes. Comment pensez-vous gérer la pression émotionnelle et les épreuves potentielles qui pourraient surgir dans votre carrière ?" ajouta-t-il, soulignant l'importance de la résilience psychologique dans le rôle d'un Auror.

Maximilian ne cherchait pas à déstabiliser Hope, mais plutôt à évaluer sa capacité à faire face aux réalités brutales de la profession. Les Aurors étaient souvent confrontés à des choix moralement complexes et à des situations mettant à l'épreuve leur force émotionnelle. La jeune aspirante devait démontrer une maturité et une compréhension approfondie de ces aspects, au-delà de sa volonté affichée de protéger les autres.

"Enfin, si vous échouez dans votre quête de devenir Auror, comment pensez-vous réagir ? L'échec est inévitable dans cette voie, mais c'est votre capacité à vous relever qui définit un véritable Auror. Comment envisagez-vous de surmonter les obstacles et les déceptions qui peuvent survenir ?" conclut Maximilian, scrutant les réactions de Hope avec une attention particulière.

Je me retrouve dans le bureau avec le directeur du département de la justice magique et il est égalemnt mon futur beau-père. J’entends la voix de mes parents qui me pressent de ne pas commettre d’impair et de me montrer à la hauteur cette fois. Je sais que j’ai accumulé les déceptions ces derniers temps et je désire changer cela. La situation est toujours aussi complexe mais je tente de reprendre confiance. Je ne peux pas flancher devant lui même si me retrouver ainsi provoque une montée de stress. Je me présente en tentant de ne pas manifester l’ampleur de l’angoisse qui m’anime. Je prête beaucoup d’attention à ses réponses alors que je suis effectivement une des rares de ma famille à vouloir emprunter la voie des Aurors. Je ne me vois pas un avenir dans la fabrique de whisky ni même dans la mode. Je veux protéger les autres depuis longtemps et venir défendre ceux qui en ont besoin. J’ai cru pendant un moment que cette voie n’était plus compatible avec mes idéaux mais Marcus m’a fait prendre conscience que cela peut l’être. C’est bien pour cela que je peux affirmer ainsi à voix haute mes ambitions professionnelles. Ambitions encore lointaines alors que je ne suis qu’en cinquième année et qu’il me reste encore trois ans et demi d’étude avant de devoir décider réellement ce que je veux faire. Je lui réponds d’une voix pleine de doute cette fois alors que j’ai bien conscience que les intentions ne suffisent pas pour devenir auror. Suis-je réellement à la hauteur de mes ambitions?

“Oui j’en ai bien conscience, être auror demande beaucoup plus que de simples intentions. C’est une voie qui demande beaucoup au niveau physique et psychique et ceux qui y arrivent ne sont pas nombreux”. C’est bien pour cette raison, que quelques mois auparavant, je ne pensais pas être capable d’y arriver. Je tremble intérieurement alors qu’il aborde la question de mes résultats scolaires. J’ai été une très bonne élève durant mes quatres premières années, frôlant avec l’excellence mais depuis cette année, mes résultats sont catastrophiques. Je tente désormais de remonter mes résultats mais cela ne doit pas encore apparaître dans mon dossier scolaire. Je ne sais pas comment justifier cela alors que je ne peux pas lui parler de Candice. “J’ai eu beaucoup de mal à faire face au niveau attendu en cinquième année et mes résultats n’ont pas été à la hauteur. Je travaille beaucoup pour me remettre à niveau et mes prochaines notes seront meilleures.” Un accident passager alors que je fais tout désormais pour rattraper mon retard. Mes pensées vont un instant à Marcus qui m’encourage dans cette voie. J’ai également la pression de mes parents qui ne toléront pas que je continue à être aussi mauvaise. Ma voix tremble un peu alors que je lui expose cela. Tous les doutes émergent dans mon esprit mais je tente de garder le contrôle. Je suis surprise qu’il ait vu quelque chose en moi lors de ce fameux club de duel. Je voudrais lui demander ce qu’il a vu mais je n’ose pas. Je ne voudrais pas qu’il pense que je mets sa parole en doute ou que je suis pathétique. C’est souvent ce que je pense de moi d’ailleurs. Une étincelle de talent. Des mots qui renforcent la confiance en moi qui est si vacillante. S’il pense cela aussi alors je dois vraiment y croire et arrêter de douter en permanence. Je me raccroche à ce que je peux alors que je ne veux pas m’effondrer à cet instant.

Je sens son regard qui se plonge dans le mien et pour une fois je n’ai pas envie de baisser les yeux. Je soutiens son regard sans être non plus irrespectueuse mais juste une certaine affirmation de moi. Je l’écoute et je sais que malgré tout ce qu’il me dit sur les conséquences du métier, c’est la voie que je désire emprunter. J’en ai tant douté mais cette discussion est la confirmation. J’ai peur de beaucoup de choses en ce moment mais ces propos ne m’inspirent pas cette sensation de ne pas y arriver. Mon regard s’affirme et prend une assurance inédite. Pour la première fois, je suis certaine de ce que j’avance. Je décide d’être sincère dans mes propos alors que je ne désire pas tenter de le berner avec une mascarade. Je ne suis pas ainsi, je ne suis pas comme mes comparses qui affirment quelque chose tout en pensant le contraire. C’est un défaut selon certains et sûrement que je devrais apprendre à mentir. “Je désire devenir auror et pas une autre carrière car ils sont une force d’élite qui intervient dans les crimes les plus importants. Ils peuvent autant être appelés pour traquer un criminel que pour protéger des personnes ou des lieux”. Mes yeux brillent alors d’une vraie lueur que peu de personnes ont vus. Mes yeux souvent assombris par le doute affichent désormais une détermination. Je continue d’une voix douce. “Je n’ai jamais été confronté à la mort ni à vraiment des situations de réelles crises alors je ne sais pas comment je réagirais vraiment. Je ne veux pas vous mentir en vous disant quelque chose que j’ignore. Est-ce que les trois années de formation des aurors ne permettent pas de préparer justement à savoir comment affronter ces situations là?” Le silence s’installe quelques instants alors que je ne sais pas si ma réponse est celle attendue. Peut-être que je vais regretter mais je ne vois pas d'autre réponse à cet instant. Je devrais vouloir m’enfuir alors qu’il m’explique le type de situation auxquelles je pourrais être confronté en tant qu’auror mais cela ne me donne pas envie de fuir.

Je ne comprends pas ce qui se produit en moi à cet instant, comme un déclic qui s’est enfin produit. “Je pense que c’est en étant confronté aux situations que l’on apprend au fur et à mesure à les gérer. Pour gérer la pression émotionnelle, les temps passés avec sa famille et ses amis sont essentiels afin de pouvoir prendre du recul. Et pouvoir en parler aussi, ne pas rester tout seul quand quelque chose est difficile”. J’en connaîs un rayon alors que cela commence à aller mieux depuis que je peux me reposer sur mes proches. Mon frère et Daemon sont un rayon de soleil dans une journée orageuse et leur présence me fait un bien fou. Je réfléchis avant de répondre à la dernière question. Je ne suis pas impulsive de nature et je sais prendre le temps avant de répondre. “Si j’échoue pour devenir auror, je passerai de nouveau les sélections l’année suivante. J’essaierais de comprendre pourquoi j’ai échoué et je ferais en sorte de m’améliorer pour être au niveau. Je sais que j’échouerais sûrement, que je ne suis pas la plus affirmée et que je doute beaucoup pour l’instant mais je n’abandonne pas et je me battrai pour y arriver.  Je pense que l’échec est nécessaire pour progresser”. Je me retrouve à cet instant comme avant. Je n’ai pas été une excellente élève en me tournant les pouces mais à force de travail.

Maximilian écouta attentivement les réponses de Hope, percevant la sincérité derrière ses mots. Il était conscient de la pression qu'elle devait ressentir, non seulement en tant qu'aspirante Auror, mais aussi en tant que membre de la famille Travers, une famille de sorciers de renom. Le directeur remarqua la détermination émergente dans le regard de Hope, une lueur qui ne passa pas inaperçue. Elle semblait par moments convaincue, mais à d'autres, sa confiance s'effrita. Le directeur n'était pas convaincu ; après tout, comme elle l'a dit, elle est encore jeune, mais son manque de confiance pourrait mettre en danger ses coéquipiers lors d'une mission.

"Mademoiselle Travers, je comprends que les derniers temps ont été difficiles pour vous. Les doutes et les difficultés font partie intégrante du chemin pour devenir Auror, mais le plus important est de les affronter à bras le corps. Il est crucial de reconnaître ces défis, mais ce qui compte vraiment, c'est comment vous les surmontez et comment vous utilisez ces expériences pour vous renforcer."

Il acquiesça à sa réponse sur ses résultats scolaires, semblant reconnaître l'effort qu'elle mettait pour s'améliorer. "Les prochaines notes seront effectivement cruciales. Vos BUSE approchent à grands pas et il vous faudra valider les trois quarts avec des résultats plus que satisfaisants dans les matières élémentaires. N'oubliez pas que la discipline et la régularité sont essentielles pour maintenir ces progrès. Et pour les Aspic ce sera pire."

Maximilian se pencha légèrement en avant, croisant les mains sur son bureau. "Lorsque je parlais de voir quelque chose en vous lors du cours de duel, je faisais référence à une étincelle de talent magique que peu de personnes possèdent, propre à un duelliste ou à un futur sorcier destiné à accomplir de grandes choses." Maximilian avait l'œil pour ça. "Votre capacité à maîtriser la magie dans des situations difficiles m'a laissé entrevoir un potentiel prometteur. N'oubliez pas cela lorsque vous doutez de vous-même. C'est un atout que vous devrez nourrir et développer. En revanche, continuez de négliger vos efforts et ce stage sera le seul moment où vous franchirez le bureau des Aurors." Le visage de Maximilian resta impassible même face à la détresse et à la motivation de la jeune fille.

La question des motivations de Hope pour devenir Auror suscita un intérêt particulier chez Maximilian. Il observa sa détermination, notant la conviction dans sa voix. "Vos motivations sont claires et honnêtes, Hope. Vous avez compris que la voie des Aurors est exigeante, mais vous êtes prête à affronter ces exigences pour atteindre vos objectifs. C'est un bon début."

La réponse de Hope sur la gestion des situations difficiles et de la pression émotionnelle montrait une certaine maturité. Maximilian hocha légèrement la tête. "Vous avez une perspective réaliste. En effet, l'expérience sur le terrain est cruciale pour apprendre à gérer ces situations. Et le soutien de votre entourage peut être une ressource précieuse, ainsi que celle de vos future collégues."

Enfin, la réponse d'Hope sur la gestion de l'échec sembla satisfaire Maximilian. "L'échec est effectivement une opportunité d'apprentissage. La persévérance face à l'adversité est une qualité essentielle pour devenir Auror. Ne perdez pas cette détermination, même dans les moments difficiles."

Maximilian prit une courte pause, évaluant la jeune sorcière devant lui. "Votre stage commence officiellement, Hope. Soyez prête à apprendre, à vous améliorer et à démontrer votre engagement envers cette voie. N'oubliez pas que le chemin pour devenir Auror est un marathon, pas un sprint. Soyez constante dans vos efforts, et vous pourrez probablement atteindre vos objectifs."

Il la regarda avec un mélange d'attente et de confiance. "Je serai là pour vous guider tout au long du processus. Montrez-moi que vous avez ce qu'il faut pour être une Auror."

Ainsi, le stage d'Hope au ministère sous la direction de Maximilian Rosier commença, offrant une opportunité pour la jeune sorcière de prouver sa détermination et de forger son chemin vers son rêve d'être une Auror. Alors que le patriarche se relevait de son fauteuil, il demanda à la jeune fille de le suivre. Ils déambulèrent dans les couloirs sombres du bureau des Aurors jusqu'à une salle assez particulière où se trouvaient déjà des Aurors à l'entraînement. "La ponctualité à l'entraînement pour l'élite est essentielle ; négliger cet effort et votre carrière sera courte. Bienvenue dans la salle d'entraînement des Aurors. Quand vous ne serez pas en mission ou à votre bureau, c'est ici que vous passerez le plus clair de votre temps. Négliger votre entraînement et vous ne ferez pas long feu ici." Maximilian n'avait pas l'intention de l'épargner ; il ne voulait pas avoir la mort d'une jeune agente sortie de l'académie des Aurors, tuée lors de sa première mission, surtout une sang-pur.

Alors qu'ils avançaient dans la pièce où les sortilèges fusaient de toutes parts, des éclairs rouge, vert plus clair et enfin blanc, Maximilian guida la stagiaire un peu à l'écart alors que plusieurs Aurors s'avançaient pour saluer le directeur. Ils étaient pour la plupart jeunes, certains sortaient à peine de l'académie des Aurors. Le but du directeur était de mettre la stagiaire en confiance avec des jeunes presque de son âge. C'était l'occasion pour elle de se dévoiler, de sortir de son cocon et de s'affirmer, alors que le test continuait encore à l'insu de la jeune fille.

Maximilian observa attentivement la dynamique entre Hope et les autres Aurors. Certains la saluaient avec enthousiasme, d'autres semblaient plus réservés. Le directeur voulait évaluer sa capacité à s'intégrer rapidement dans un environnement professionnel exigeant. Il se tint à proximité, prêt à intervenir si nécessaire, tout en laissant Hope prendre ses propres initiatives.

Les Aurors s'engagèrent dans divers exercices d'entraînement, lançant des sortilèges de toutes sortes. La salle était imprégnée d'une énergie intense, chaque éclair magique démontrant la puissance des sorciers présents. Maximilian incita Hope à observer attentivement les duels qui se déroulaient autour d'elle, lui montrant les différentes stratégies et techniques utilisées.

Puis vint le moment où Maximilian décida de mettre Hope à l'épreuve. Il s'approcha d'elle avec un regard sérieux. "Hope, vous allez participer à un duel amical avec l'un de nos jeunes Aurors ici présent. C'est l'occasion de démontrer votre habileté et votre adaptabilité. Soyez attentive, réfléchie, et surtout, ne sous-estimez pas votre propre potentiel."

Un jeune Auror se porta volontaire pour le duel, affichant un sourire confiant, Elias Dolohov le fils d'Antonin Dolohov un mangemort de haut rang qui c'était, lui aussi, écarter du cercle du conseil restreint du lord. Maximilian recula légèrement, observant attentivement la scène. C'était un test de courage, de compétences et de sang-froid pour Hope. La salle d'entraînement se tut momentanément, tous les regards se tournant vers le duel imminent. C'était à Hope de prouver qu'elle était prête à relever ce défi.

La confiance est une chose très fragile. Elle peut s’effondrer à tout monde et cette année a été une prise de conscience à ce sujet. Tout s’est effondré en fin d’année scolaire dernière et mes résultats s’en sont ressentis. La chute absolue et la conséquence est que ma magie est désormais bien plus faible qu’auparavant. Le temps de l’excellence est loin même si je tente de rattraper. Marcus m’a redonné foi en cela et en ma vocation de devenir auror et sans cela, je ne me serais certainement jamais présenté aujourd’hui. Je sens les doutes s’évanouir au fur et à mesure que la détermination de devenir auror prend le dessus. Je réponds avec sincérité à ses questions même si je cache tout ce qui est en lien avec Candice. Samael n’a pas dû lui avouer sinon l’entretien serait forcément différent. La peur est terrible et vient étreindre mon coeur. Le cadre de l’entretien m’aide à ne pas y penser alors que cela est centré uniquement sur mon futur professionnel. Ce rêve de devenir auror qui pourrait commencer à prendre forme dès ce jour. Une porte qui s’ouvre vers ce que je pensais totalement inatteignable, il y a encore quelques mois. Je ne sais pas si mes réponses sont celles attendues alors que j’ai répondu à ces questions. Parler de la chute de mes notes n’est pas simple alors que c’est un sujet complexe. Je n’en ai pas réellement conscience mais l’année passée m’a apporté une maturité. Je l’écoute avec grande attention alors qu’il rebondit sur mes paroles. Je sais tellement ce que c’est de douter et d’avoir l’impression de n’être plus capable de rien. Pourtant, je recommence à espérer et à me relever. Je sais ce que c’est désormais d’avoir besoin des proches pour s’appuyer dessus et se relever. Daemon m’a prouvé la valeur de l’amitié ainsi que d’autres même si je ne me rends pas compte à force de m’être isolé. J’ai bien conscience que les BUSES vont être cruciales et l’angoisse est là. Si j’échoue à obtenir les notes minimales requises, ce sera la fin de cet objectif. Je dois y croire et travailler en ce sens. Je n’ose pas me projeter dans les ASPICS alors que les examens de fin d’année sont déjà suffisamment stressants.

Les mots suivants me surprennent alors qu’il m’expose ce qu’il a détecté chez moi. “Vous avez vraiment vu cela chez moi?” Je ne remets pas en doute mais ses mots déclenchent une réaction de surprise. Je prends la mesure de la valeur des mots qu’il adresse à mon égard mais aussi des attentes qui vont avec. Il va falloir que je travaille pour montrer que cela n’est pas qu’une étincelle. Je suis rassurée d’entendre que les motivations que j’ai exposées ne sont pas totalement à côté de la plaque. Cela m’aide à prendre confiance en moi. “Je vous remercie Monsieur Rosier de bien vouloir m’accepter pour ce stage. Je ferais en sorte de vous montrer que je suis à la hauteur”. Sans imaginer que je serais bientôt mise à l’épreuve. Dans mon esprit, ce stage est bien plus une période d’observation qu’autre chose. “Vous vous vous occupez ainsi de tous les stagiaires?” Je le suis dans les couloirs, regardant autour de moi avec une certaine curiosité. La première fois que je mets les pieds dans ce lieu emblématique a une saveur particulière et je me demande si un jour, je passerais bel et bien ces portes en tant qu’auror. Je prends bien note de l’entraînement et je prends pleinement conscience des efforts permanents nécessaires. Même une fois auror, il n’est pas question de se relâcher alors que c’est une voie exigeante. Je n’avais pas une vision idéalisée mais c’est tout même une affirmation de la réalité de ce métier. Mes yeux se posent un peu partout alors que nous pénétrons dans cette pièce réservée à l’entraînement. Mes yeux pétillent d’intérêt et de curiosité et cela fait longtemps que je ne m’étais pas senti ainsi. Je salue avec une certaine timidité ceux qui viennent à ma rencontre. J’observe le respect qui est évident des aurors envers leur directeur. Je prends un temps d’observation, assez admirative de ce que je peux observer autour de moi. Rapidement, je me laisse porter par la conversation que certains amènent naturellement.

Mon tempérament de Serdaigle prend rapidement le dessus alors que je commence à leur poser des questions. A la fois sur l’entraînement qui est visible à cet instant mais aussi sur le métier d’auror et les sélections à l’entrée à l’académie. Je ne suis pas extraverti, ayant un côté timide naturel. Je ne suis pas non plus mal à l’aise, prenant avec douceur ma part dans les discussions sans être non plus insistante dans mes questions. Un léger sourire finit même par venir sur mon visage alors que je me sens plutôt bien à cet instant. Il n’y a aucun risque que mon secret soit en danger, Félicia n’est pas là pour s’en prendre à moi et finalement personne ne sait rien de moi où de mes difficultés. Je suis simplement une stagiaire qui désire devenir auror. Les réponses me donnent encore plus envie de devenir auror même si je ne peux pas m’empêcher de me demander si j’y arriverais vraiment. Le doute ne me quitte pas mais ne me paralyse pas non plus. Je me tais quand l’entraînement reprend et je suis à l’écoute de tout ce que Maximilian me montre et m’explique des duels en cours. Je sors un morceau de parchemin d’une de mes poches pour prendre des notes, réalisant même des schémas. La seule fois où j’ai vu réellement un duel c’était au club en décembre et cela m’avait fait peur. Il est toujours effrayant de voir une démonstration ainsi de puissance mais mon désir de comprendre et de découvrir a repris le dessus. Et puis ce n’est qu’une démonstration et non moi qui doit affronter en duel. C’est ce que je pense jusqu’à ce qu’il m’annonce ma participation à un duel amical face à un des jeunes aurors. L’angoisse revient alors à grande vitesse ainsi que tous les doutes sur mes capacités. Je ne sais déjà pas affronter quelqu'un de mon âge alors un auror. Je ne peux pourtant pas me cacher alors que tous les regards sont braqués désormais sur nous. Le silence règne dans la table et je ne peux pas disparaître. Daemon et Keylian ne sont pas là pour me soutenir ni Marcus. Je me sens toute seule à cet instant alors que j’ai l’impression que Maximilian me jette dans un enclos plein d’acromentule. Je ne veux pas fuir non plus en réalité. J’ai peur de ne pas être à la hauteur mais je fais face à l’auror. L'angoisse avec un élan de panique m'envahit à cet instant.

Les salutations de rigueur sont effectuées et le duel commence par une attaque de sa part. Il est d’une telle rapidité que je ne peux que tenter de me protéger. Tous ses sortilèges sont en informulés alors il est difficile d’anticiper les sorts qu’il me lance mais mes sorts de protections sont suffisamment efficaces pour éviter que je prenne de plein fouet les attaques. Je suis rassurée de réussir ses sortilèges même si je suis bien obligé de les crier. Je ressens une pointe de fierté en me rendant compte que je suis capable de cela. Je ne peux pas rester ainsi tout de même alors je tente des sorts un peu plus offensifs. Il montre une facilité à les esquiver sans avoir même besoin de se protéger. Je suis trop prévisible ou trop lente alors que je ne suis pas du tout rompu à ce genre d’exercice. Sûrement un mélange des deux alors que je remarque bien que mes sorts n’ont aucune chance de faire mouche. Je ressens une forme de découragement alors que je me rends compte du fossé immense qui nous sépare. Un instant d’ailleurs, je me déconcentre et je prends de plein fouet un des sortilèges qui me propulse au sol. Je ressens la douleur de mon corps qui entre en contact avec le sol et je me sens saisi par le choc. Ce n’est pas grave mais je ne suis pas du tout habituée à ce genre de douleur. Les larmes me montent aux yeux sous le choc mais je les ravale aussitôt. Le peu de fierté que j’ai en moi refuse que je pleure ainsi devant ceux que j’admire tant. Je me relève alors que l’auror est venu s’assurer que je vais bien. Je le rassure autant que je me motive au final. Je ne dois pas abandonner, j’ai dit que je recommmencerais face à l’échec et je ne veux pas déçevoir maintenant. Le duel reprend et je suis de nouveau dans cette position inconfortable de protection. Une idée germe dans mon esprit alors j’utilise à nouveau ma baguette. “Caligo”. Un brouillard se forme entre lui et moi. La zone où il s’étend est peu large mais suffisante pour que ni lui ni moi ne puissions voir au travers du brouillard. Enfin j’espère que lui non plus ne voit pas sinon j’aurais fait cela pour rien. Je murmure en direction du sol: “Elasticus” puis je bouge afin de ne pas rester au même endroit, profitant du brouillard pour me dissimuler. Le sort a été lancé sur la partie du sol entre l’auror et moi. Si je ne peux pas le toucher, peut-être que je peux rendre sa progression plus difficile alors que normalement, il est plus complexe de viser en voyant moins bien.

Protego:

Sorts offensifs:

Tentative :

Le membre 'Hope Travers' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

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#1 'Dé à 6 faces' :


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#2 'Dé à 6 faces' :


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#3 'Dé à 6 faces' :

Elle doutait encore d'elle-même ; son ton trahissait sa voix, mais Maximilian n'était pas là pour avoir ni pitié ni compassion pour cette gamine. Il avait vu quelque chose, et juste cela était une bonne raison pour voir ce qu'elle valait réellement. Quand Maximilian voyait du potentiel en quelqu'un, il l'exploitait. Ça serait dommage quand même, non?

Il ne répondit pas à la question de Hope. S'il y avait bien quelque chose que Maximilian détestait, c'était de s'égosiller pour rien. Il lui avait déjà dit ce qu'il avait vu, après ça n'était qu'une lueur encore trop faible pour découvrir ce qui s'y cachait. Mais la curiosité du patriarche avait penché pour lui laisser une chance à son fils et pour sa carrière.

Quand la jeune Travers le remercia pour ce stage, il lui répondit, "Faites vos preuves, Miss Travers. Rien n'est encore fait, le chemin sera long et rugueux, mais je me demande comment vous vous en sortirez. L'avenir nous le dira." À sa deuxième question, il lui répondit, "Je m'intéresse à chaque élève désireux de devenir Auror. Je suis le seul à pouvoir donner ce travail au sein du ministère. J'ai d'ailleurs entendu des rumeurs disant que l'examen pour devenir Auror avait été simplifié, quelle naïveté. J'ai, au contraire, augmenté le niveau de difficulté." C'était la raison pour laquelle il prenait le temps, en plus de son travail, de prendre en main chaque jeune désireux de rejoindre l'élite.

Ils arrivèrent dans la salle d'entraînement, et Maximilian laissa Hope prendre ses marques. Il semblait qu'elle s'acclimatât assez bien aux autres jeunes, même plus âgés qu'elle. Mais il remarqua aussi son regard quand il lui annonça qu'elle allait faire un combat d'entraînement avec l'un des jeunes Aurors, Elias Dolohov, un jeune homme talentueux, un futur grand.

Maximilian observait attentivement le duel qui se déroulait sous ses yeux. Il remarqua la détermination de Hope malgré les difficultés qu'elle rencontrait face à l'Auror. La jeune sorcière faisait preuve d'une ingéniosité surprenante en créant un brouillard qui entravait la vision de son adversaire.

Le directeur des Aurors était surpris par cette stratégie audacieuse de la part de la stagiaire. Alors que le brouillard enveloppait la zone de combat, Maximilian resta impassible, évaluant la façon dont Hope allait utiliser cet avantage. Il vit qu'elle lançait un sort d'élasticité sur le sol, probablement pour créer des obstacles imprévisibles dans le brouillard.

Elias, momentanément désorienté par la soudaine obscurité, chercha à s'adapter à la situation. Maximilian nota la réaction rapide de Hope, se déplaçant avec précaution dans le brouillard, utilisant les éléments imprévisibles créés par son sort d'élasticité. Le directeur discerna une certaine habileté stratégique chez la jeune sorcière. Elle savait utiliser son environnement contre un adversaire  meilleur sur le papier.

Le jeune auror avait plus d'un tour dans son sac et essaya rapidement de reprendre la situation en main, mais son premier sortilège échoua. Profondément agacé, il réessaie avant que Finite Incantatem ne réussisse.
Le brouillard se dissipa rapidement sous le sort "Finite Incantatem" lancé par Elias Dolohov. Maximilian observa la scène avec attention, notant la réaction rapide de l'Auror face à la tentative de Hope. Elias, habitué à ce type de situations, reprit le contrôle de la situation.

Le membre 'Maximilian Rosier' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

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#1 'Dé à 6 faces' :


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#2 'Dé à 6 faces' :