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En bref
Analia Estrella Valdès
Ven 20 Oct - 15:25- Avertissement:
- Comme la religion est très fortement liée au contexte historique que je mentionne, j'ai fait une brève mention pour situer la famille où Analia a grandit, c'était en l'occurrence nécessaire.
Pour le reste, j'aborde la partie de l'histoire de l'Argentine la plus noire, j'ai évité volontairement d'entrer dans certains détails, en partie par égards pour les lecteurs de ma fiche en partie pour ne pas entrer dans des considérations politiques (je sais qui étaient les parents d'Analia à cet égard, c'est très clair dans ma tête).
Pour le reste, j'ai lu et vu des témoignages d'enfants volés de la dictature argentine, vu un documentaire sur le sujet... Bien que l'histoire d'Analia s'inscrive dans cette page de l'Histoire, elle reste inventée.
Analia E. Valdés
FT. Camila Mendes
prénom : Analia Estrella, connue comme Gloria pendant une partie de sa scolarité nom : Valdés, connue comme Garcia pendant une partie de sa scolarité âge & date de naissance : 19 ans, sur son ancienne carte d’identité, il était marqué le 15 août 1982, elle est en fait née le 1er juillet 1982 nature du sang : née moldue École & maison : Poudlard, ex-Gryffondorprofession : bibliothécaire à Poudlard Affiliation : Analia n’acceptait pas qu’on persécutât des personnes pour leur naissance ou leurs origines. Et ce qu’il se passait en Grande-Bretagne faisait écho en elle à ce qu’elle savait désormais de ce que sa famille avait vécu et à ses premières années de vie dont elle ne se souvenait pas. Ce qui furent les motivations pour elle pour rejoindre la rebellion Crédit : Anouchka pour l’avatar, tumblr pour le gif
La nature première d’Analia était celle une personne solaire. En effet, elle rayonnait, tant par son enthousiasme que son optimisme à toute épreuve. En effet, pour le premier point, elle avait gardé cette capacité enfantine à s’émerveiller de tout. Quant à son optimisme, il était tel qu’elle trouvait le positif toujours partout, l’espoir même quand plus personne n’espérait. Elle avait également cette faculté de voir la beauté intérieure, la bonté en autrui, même quand la personne concernée n’en avait pas conscience. A ceci s’ajoutait la tendance à parler avec de grands gestes et une voix qui portait, le tout avec un accent argentin et en rajoutant régulièrement le mot "che".
Analia était une jeune femme courageuse, même téméraire et casse-cou. Cela ne voulait pas dire qu’elle ne pouvait pas avoir peur, juste qu’elle faisait son possible pour surmonter ses peurs ou encore pour vivre avec. Elle avait d’ailleurs plusieurs phobies : d’une part celle des lieux médicaux, d’autre celle du sang.
De sorte que si elle avait appris à toujours faire de son mieux devant l’obstacle, à ne jamais baisser les bras en situation difficile, elle avait également développé une tendance à foncer, sans réfléchir, en dépit du danger que pouvait représenter une situation. Les règlements ? Pfuit, c’était bien connu, ils étaient faits pour être enfreint ! C’est ce qu’elle pensait depuis l’enfance, et avait donc fait les quatre cents coups. Avec le temps, elle avait légèrement nuancé son opinion, mais continuait à en cultiver un certain mépris. Et si elle était d’une politesse irréprochable, cela ne l’empêchait d’envoyer promener les règles dont elle ne comprenait pas l’intérêt. Elle était d’ailleurs éprise de liberté et n’aimait pas à se senti bridée dans ce domaine-là.
Dotée d’un sens aigu du bien et du mal, la justice était une valeur fondamentale à ses yeux. Vive, impétueuse, dotée d’un fort caractère, elle entrait assez facilement dans des colères noires. Seul le temps lui avait permis d’apprendre à tempérer quelque peu ses ardeurs, et surtout ses colères. S’y ajoutait une grande franchise : elle était donc du genre à dire leurs quatre vérités aux gens, sans passer par des chemins détournés. Elle manquait d’ailleurs de patience dans bien des situations.
Têtue, quand elle s’était forgé une opinion, un avis, il était bien difficile de l’en faire démordre, encore plus de lui faire reconnaître d’éventuels torts. Perfectionniste, elle aimait à ce qu’elle faisait semblät parfait, passait toujours du temps à se corriger, à chercher à supprimer la moindre imperfection, la moindre erreur, la moindre disonnance, etc Et plus elle excellait dans un domaine, plus elle était exigeante envers elle-même.
Naturellement réservée, sensible et émotive, tout était tout blanc ou tout noir pour elle, elle vivait ses émotions dans toute leur ampleur (si ce n’était plus) et avait toujours eu tendance à peu partager les choses difficiles. De même, elle lisait assez finement en autrui et savait généralement bien repérer les émotions éprouvées par les autres, même quand ils tentaient de le cacher.
Le cœur sur la main, elle avait tendance à voler au secours de la veuve et de l’orphelin et savait fort bien écouter ceux qui en avaient besoin. Elle se montrait également très protectrice avec ses proches. Altruiste, elle avait tendance à faire passer son prochain avant elle-même, allant même parfois trop loin en la matière, au mépris de sa sécurité, son bien-être, etc Fidèle, lorsqu’elle accordait son amitié, c’était le plus souvent pour la vie.
Brillante, curieuse, elle était avide de découvertes et pouvait avoir d’excellents résultats lorsqu’elle s’en donnait les moyens. C’était d’ailleurs une jeune femme cultivée, d’autant plus que depuis le plus jeune âge, elle s’était révélée un véritable rat de bibliothèque.
Rêveuse, elle avait souvent la tête dans les nuages, se perdait volontiers dans ses réflexions, dans ses pensées, dans la contemplation d’une étendue d’eau ou encore dans une lecture, par exemple. Elle se montrait également fort superstitieuse, portant généralement sur elle un porte-bonheur, ne caressant pas un chat noir un vendredi 13 etc.
Il s’agissait également d’une jeune femme très créative, douée pour la musique. Elle jouait d’ailleurs de la guitare à merveille ainsi que de la flûte de pan et de la quena.
Etourdie, maladroite, elle n’était pas assez attentive à ce qui l’entourait, elle pouvait donc facilement rater une marche, lâcher un objet et le casser
Ses passions ? Tout d’abord, la musique et la lecture. S’y ajoutait la nature en général. Elle avait d’ailleurs pu pratiquer l’équitation et aimait à faire de longues randonnées. Rien ne valait l’ombre d’une forêt, le clapotis de l’eau pour se détendre, se vider la tête lorsque cela s'avérait nécessaire. Et puis, bien sûr, toujours depuis l’enfance, les animaux étaient en fort bonne position. D’un point de vue général, elle était aussi passionnée par tous les Arts ainsi que par l’Histoire, l’archéologie. En outre, elle aimait également jouer les photographes, notamment prendre des photos de paysages ou d’animaux.
Analia était une jeune femme courageuse, même téméraire et casse-cou. Cela ne voulait pas dire qu’elle ne pouvait pas avoir peur, juste qu’elle faisait son possible pour surmonter ses peurs ou encore pour vivre avec. Elle avait d’ailleurs plusieurs phobies : d’une part celle des lieux médicaux, d’autre celle du sang.
De sorte que si elle avait appris à toujours faire de son mieux devant l’obstacle, à ne jamais baisser les bras en situation difficile, elle avait également développé une tendance à foncer, sans réfléchir, en dépit du danger que pouvait représenter une situation. Les règlements ? Pfuit, c’était bien connu, ils étaient faits pour être enfreint ! C’est ce qu’elle pensait depuis l’enfance, et avait donc fait les quatre cents coups. Avec le temps, elle avait légèrement nuancé son opinion, mais continuait à en cultiver un certain mépris. Et si elle était d’une politesse irréprochable, cela ne l’empêchait d’envoyer promener les règles dont elle ne comprenait pas l’intérêt. Elle était d’ailleurs éprise de liberté et n’aimait pas à se senti bridée dans ce domaine-là.
Dotée d’un sens aigu du bien et du mal, la justice était une valeur fondamentale à ses yeux. Vive, impétueuse, dotée d’un fort caractère, elle entrait assez facilement dans des colères noires. Seul le temps lui avait permis d’apprendre à tempérer quelque peu ses ardeurs, et surtout ses colères. S’y ajoutait une grande franchise : elle était donc du genre à dire leurs quatre vérités aux gens, sans passer par des chemins détournés. Elle manquait d’ailleurs de patience dans bien des situations.
Têtue, quand elle s’était forgé une opinion, un avis, il était bien difficile de l’en faire démordre, encore plus de lui faire reconnaître d’éventuels torts. Perfectionniste, elle aimait à ce qu’elle faisait semblät parfait, passait toujours du temps à se corriger, à chercher à supprimer la moindre imperfection, la moindre erreur, la moindre disonnance, etc Et plus elle excellait dans un domaine, plus elle était exigeante envers elle-même.
Naturellement réservée, sensible et émotive, tout était tout blanc ou tout noir pour elle, elle vivait ses émotions dans toute leur ampleur (si ce n’était plus) et avait toujours eu tendance à peu partager les choses difficiles. De même, elle lisait assez finement en autrui et savait généralement bien repérer les émotions éprouvées par les autres, même quand ils tentaient de le cacher.
Le cœur sur la main, elle avait tendance à voler au secours de la veuve et de l’orphelin et savait fort bien écouter ceux qui en avaient besoin. Elle se montrait également très protectrice avec ses proches. Altruiste, elle avait tendance à faire passer son prochain avant elle-même, allant même parfois trop loin en la matière, au mépris de sa sécurité, son bien-être, etc Fidèle, lorsqu’elle accordait son amitié, c’était le plus souvent pour la vie.
Brillante, curieuse, elle était avide de découvertes et pouvait avoir d’excellents résultats lorsqu’elle s’en donnait les moyens. C’était d’ailleurs une jeune femme cultivée, d’autant plus que depuis le plus jeune âge, elle s’était révélée un véritable rat de bibliothèque.
Rêveuse, elle avait souvent la tête dans les nuages, se perdait volontiers dans ses réflexions, dans ses pensées, dans la contemplation d’une étendue d’eau ou encore dans une lecture, par exemple. Elle se montrait également fort superstitieuse, portant généralement sur elle un porte-bonheur, ne caressant pas un chat noir un vendredi 13 etc.
Il s’agissait également d’une jeune femme très créative, douée pour la musique. Elle jouait d’ailleurs de la guitare à merveille ainsi que de la flûte de pan et de la quena.
Etourdie, maladroite, elle n’était pas assez attentive à ce qui l’entourait, elle pouvait donc facilement rater une marche, lâcher un objet et le casser
Ses passions ? Tout d’abord, la musique et la lecture. S’y ajoutait la nature en général. Elle avait d’ailleurs pu pratiquer l’équitation et aimait à faire de longues randonnées. Rien ne valait l’ombre d’une forêt, le clapotis de l’eau pour se détendre, se vider la tête lorsque cela s'avérait nécessaire. Et puis, bien sûr, toujours depuis l’enfance, les animaux étaient en fort bonne position. D’un point de vue général, elle était aussi passionnée par tous les Arts ainsi que par l’Histoire, l’archéologie. En outre, elle aimait également jouer les photographes, notamment prendre des photos de paysages ou d’animaux.
L’histoire d’Analia était profondément liée à son pays de naissance, l’Argentine et à celle des parents. Clara et Felipe Valdés, les parents d’Analia étaient de jeunes gens, politisés. Ils étaient très amoureux l’un de l’autre. Ils étaient nés en 1960 tous les deux et s’étaient connus en 1975 lors d'une fête d'amis communs
Le 24 mars 1976 survint un coup d’état militaire en Argentine, mettant à la tête du pouvoir le général Videla. Clara et Felipe avaient alors seize ans. Ils parvinrent à traverser une grande partie de la dictature, tout en faisant partie de ses opposants politiques, néanmoins contraints de se cacher. Felipe était issu de la « bourgeoisie bien pensante » argentine, Clara d’un milieu plus populaire. Leur union tout comme leurs opinions politiques ne plurent pas à la famille de Felipe. Ce fut durant la période où ils fuyaient, se cachant, qu’ils conçurent leur fille. Sept mois plus tard, la sœur de Felipe, une certaine Angelica les dénonça et c’est ainsi que Clara et Felipe furent arrêtés.
Clara se retrouva internée à l’ESMA (Ecole de Mécanique de la Marine), l’un des centres de clandestin de détention, de torture de Buenos-Aires. Ce fut là qu’Analia naquit le 1er juillet 1982. Sa mère écrivit une lettre, prétendument adressée à sa famille, indiquant qu’elle souhaitait appeler sa fille Analia Estrella.
Clara et Felipe périrent dans des « vols de la mort » comme beaucoup d’autres opposants au régime, tandis qu’Analia était confiée à une famille proche du pouvoir, les Garcia.
Ricardo Garcia travaillait pour l'ambassade et sa femme et lui étaient considérés comme « de bons chrétiens » par le pouvoir en place. On créa une carte d’identité pour l’enfant, modifiant toutes les informations liées à son identité. Ses parents d’appropriation, Ricardo et Norma décidèrent de l’appeler Gloria et la date de naissance qui figurait sur sa carte d’identité était le 15 août 1982. Ricardo était un homme dur, sa femme, elle, était plus douce. Ils élevèrent Analia, Gloria comme ils l’appelaient, comme leur fille biologique, à Buenos-Aires. Ricardo voyageait beaucoup, notamment en Amérique latine, pour le travail et avait installé sa famille dans le quartier Nord de Buenos-Aires, où il revenait dès qu'il le pouvait.
Elle avait ce dont elle avait besoin en termes de vêtements, d’éducation ou même de jouets et d’activités. Elle put donc prendre des cours d’équitation, de musique, comme elle le souhaitait. C’est ainsi qu’elle apprit à jouer de la guitare. C’est avec des amis qu’elle apprit la flûte de pan et la quena. Mais, l’enfant réalisa aussi très vite la dureté et la violence de Ricardo, ce qui l'incita à prendre ses distances avec lui. Jamais elle ne put vraiment s'y attacher, contrairement à sa femme qui se montra une bonne mère.
Pendant les vacances, elle partait chez ceux qu’elle croyait être ses grands-parents ou parfois chez ceux qu’elle croyait être chez oncles et tantes, soit dans une belle estancia de la Pampa soit dans une demeure en Patagonie, à Rawson. En Patagonie, elle put donc observer à plusieurs reprises les baleines franches australes et entendre leur souffle.
Lorsqu’elle avait cinq ans, dans un moment de colère contre Ricardo qui avait été trop dur avec elle et injuste – estimait-elle -, elle avait fait exploser le verre de vin qu’il tenait dans ses mains. Ce fut là la première manifestation de ses pouvoirs de sorcière.
Analia, outre son côté casse-cou qui faisait qu’elle pouvait facilement se blesser, avait une peau très blanche, marquant très vite. Elle tomba quelques fois sur des médecins, infirmières manquant de délicatesse lors des vaccins, mais également sur un médecin qui traita de manière trop superficielle une entorse. Elle avait alors sept ans, elle avait fait une chute d’un arbre et s’était mal réceptionnée. Le médecin n’ayant pas repéré la blessure, l’enfant continua à tenter de faire du sport et aggrava son état. C’est alors qu’en l’emmenant à l’hôpital, on apprit que le médecin généraliste n'avait pas fait suffisamment bien son métier. Et ce fut de ce jour que data la phobie des lieux médicaux de l’enfant.
Pour être honnête, même si elle faisait l’objet d’une éducation stricte, devant bien sûr aller à la messe, au catéchisme, dans une école catholique (etc), ses souvenirs d’enfance n’étaient pas véritablement mauvais pour autant (à quelques exceptions près concernant Ricardo). Seulement, plus elle grandissait, plus elle sentait un fossé entre elle et ses parents d’appropriation. Elle devait avoir dix ans lorsqu’elle constata qu’on ne voyait aucune photo à la maternité, aucune photo de Norma enceinte. Et que sur les premières photos qu’on voyait d’elle, elle avait plus probablement quelques mois qu’elle n’était un nouveau-né. C’est alors, en 1992 donc, que le doute commença à s’immiscer dans son esprit. C’est à la même époque, à l’école, qu’elle entendit plus précisément parler des mères et grands-mères de la place de mai et de la dictature qui avait eu lieu de 1976 à 1983.
En outre, régulièrement, à Buenos-Aires, sur la place de mai, elle voyait des grands-mères se réunir, réclamant leurs petits-enfants. C’est ce qu’avec le temps, elle finit par comprendre, même si à chaque fois qu’elle venait à passer par là, on l’éloignait, à chaque fois qu’elle posait des questions auprès ceux qu'elle croyait être sa famille, les réponses étaient évasives. En juillet 1992, ses parents d’appropriation déménagèrent avec elle à Londres, changeant de continent, pour le travail de Ricardo. Elle dût donc apprendre l’anglais, pour pouvoir se débrouiller à l’école.
Cette première année, dans un nouveau pays dont elle ne maîtrisait pas la langue, loin de ses amis de toujours fut assez difficile pour l'enfant. Mais, elle apprit vite l'anglais, tenant à pouvoir lire et communiquer. Elle garda simplement un accent, la tendance à recourir à des expressions de son pays ou à glisser vers l'espagnol lorsqu'elle était fatiguée. Elle garda aussi l'habitude d'utiliser le terme "che" comme le font les argentins pour maintenir le contact ou pour interpeler l'interlocuteur avec lequel on parle.
Et c’est ainsi que l’été de ses onze ans, un professeur d’une école nommée Poudlard vint trouver les Garcia et lui proposer une place dans cette école. Il fallut de longues explications, aussi bien auprès de la fillette que de ses parents d’appropriation, mais finalement, les Garcia acceptèrent de la laisser étudier à Poudlard. Elle alla donc faire ses courses scolaires sur le chemin de traverse, s'y vit offrir par Norma un chaton blanc, mâle, qu'elle nomma Aconcagua. Et elle fit sa rentrée à Poudlard au lieu de la faire dans un établissement scolaire privé moldu. Dans le train, elle dévora L’histoire de Poudlard, mais n’en ouvrit pas moins des yeux émerveillés sur le plafond magique de la grande salle. Et auparavant, tout simplement, sur le château surplombant le lac, profitant du trajet en barque. Elle intégra la maison de Gryffondor.
A l’école, elle était une élève qui avait la bougeotte, faisait les quatre cent coups et bien qu’elle se fût toujours montrée respectueuse envers les professeurs et les adultes de l’établissement, elle eut quelques ennuis pour non-respect du règlement. Elle apprécia particulièrement le vol sur balai et garda donc l'option durant toute sa scolarité, tant pour pouvoir apprendre à faire des figures que dans l'espoir d'intégrer l'équipe de Quidditch de sa maison. Quand elle n’était pas perchée dans un arbre et qu’elle ne jouait pas avec les limites du règlement, elle allait souvent à la bibliothèque, un véritable paradis selon elle. Elle apprit à la connaître comme sa poche.
Malgré son côté désobéissant, Analia qu’on connaissait encore comme Gloria était une élève brillante. Et elle attira aussi l’attention des professeurs de ce point de vue.
Elle était en troisième année lorsque Dolores Ombrage devint professeur de Défense Contre les Forces du Mal, puis grande inquisitrice. Quel contraste avec Remus Lupin qui avait été son professeur lors de sa première année ! Cette année-là la rouge et or se retrouva souvent en retenue et rejoignit l’Armée de Dumbledore après en avoir entendu parler. Il fut impossible de lui tirer un mot dessus lorsque la grande inquisitrice mena ses interrogatoires. Mais, elle fut navrée d'apprendre qu'il y avait eu une traite dans l'AD.
Parallèlement, chez elle, plus elle grandissait, plus la situation devenait tendue avec Ricardo. Plus le temps passait, plus elle était convaincue qu’elle ne pouvait pas être la fille biologique de cet homme. C’était lui qui l’avait élevée, elle ne pouvait le nier, mais son père biologique ? Elle n’y croyait pas. Mais, les informations depuis Londres étaient difficiles à obtenir surtout que ses parents d’appropriation refusaient de lui révéler la vérité.
Ce fut pendant l’été 1997, soit entre sa quatrième et sa cinquième année qu’elle eut l’opportunité de retourner en Argentine. Echappant à la surveillance de Norma et Ricardo, accompagnée de sa meilleure amie d’enfance, avec qui elle était restée en contact toutes ces années, elle alla voir les grands-mères de la place de mai. Elle était née pendant la période où les petits-enfants de ces grands-mères étaient nés. Et elle commençait à soupçonner qu’elle était une enfant de disparus… C’était tout ce qui expliquait tout ce qu’elle avait relevé de surprenant dans le comportement de ses parents d’appropriation. Et aussi leur silence à chaque fois qu’elle essayait de les questionner. Le test génétique qu’elle fit alors révéla alors qu’elle faisait bien partie des enfants de disparus. Et elle apprit la terrible histoire de ses parents. Elle était encore trop bouleversée pour vraiment se rapprocher de sa famille biologique. D’un autre côté, elle en voulait à Norma et Ricardo pour leur mensonge. Tout comme elle en voulut à sa tante lorsqu’elle comprit que c’était elle qui l’avait privée de ses parents.
De retour à Poudlard, elle se confia à un professeur en qui elle avait confiance. Pendant les vacances de Noël, elle fit un nouveau voyage en Argentine, sans ses parents d’appropriation et se décida enfin à voir un peu plus sa grand-mère – toujours accompagnée de son amie d’enfance – et se renseigna sur les démarches à faire pour reprendre son identité d’origine. Ses parents d’appropriation étaient « relativement » protégés par le fait qu’ils vivaient en Angleterre, mais sa grand-mère maternelle, Rosa, l’aida à reprendre le prénom qu’avaient choisi ses parents et son vrai nom de famille.
Elle était en sixième année quand Severus Rogue devint directeur et que Poudlard tomba aux mains des Mangemorts. Elle eut également bien des ennuis cette année-là, notamment avec les Carrow. Elle rejoignit la nouvelle mouture de l’Armée de Dumbledore et finit l’année cachée dans la salle sur demande avec ses camarades. Elle participa également à la bataille de Poudlard, pour protéger le château autant que ses forces le permettaient. Elle assista donc à l’annonce de la mort d’Harry Potter et à la prise de pouvoir de Voldemort.
Elle termina sa scolarité dans un climat difficile, puis se laissa marquer quand cela fut demandé, complètement perturbée par sa crise identitaire, elle ne voyait pas venir le loup qui se glissait certainement là. Et sa scolarité difficilement terminée, devant trouver un travail, elle postula en tant que bibliothécaire à Poudlard. Elle savait qu’à défaut de pouvoir faire des études supérieures, elle pourrait en apprendre plus ainsi par elle-même et qu’elle serait dans son milieu au milieu des livres.
Le 24 mars 1976 survint un coup d’état militaire en Argentine, mettant à la tête du pouvoir le général Videla. Clara et Felipe avaient alors seize ans. Ils parvinrent à traverser une grande partie de la dictature, tout en faisant partie de ses opposants politiques, néanmoins contraints de se cacher. Felipe était issu de la « bourgeoisie bien pensante » argentine, Clara d’un milieu plus populaire. Leur union tout comme leurs opinions politiques ne plurent pas à la famille de Felipe. Ce fut durant la période où ils fuyaient, se cachant, qu’ils conçurent leur fille. Sept mois plus tard, la sœur de Felipe, une certaine Angelica les dénonça et c’est ainsi que Clara et Felipe furent arrêtés.
Clara se retrouva internée à l’ESMA (Ecole de Mécanique de la Marine), l’un des centres de clandestin de détention, de torture de Buenos-Aires. Ce fut là qu’Analia naquit le 1er juillet 1982. Sa mère écrivit une lettre, prétendument adressée à sa famille, indiquant qu’elle souhaitait appeler sa fille Analia Estrella.
Clara et Felipe périrent dans des « vols de la mort » comme beaucoup d’autres opposants au régime, tandis qu’Analia était confiée à une famille proche du pouvoir, les Garcia.
Ricardo Garcia travaillait pour l'ambassade et sa femme et lui étaient considérés comme « de bons chrétiens » par le pouvoir en place. On créa une carte d’identité pour l’enfant, modifiant toutes les informations liées à son identité. Ses parents d’appropriation, Ricardo et Norma décidèrent de l’appeler Gloria et la date de naissance qui figurait sur sa carte d’identité était le 15 août 1982. Ricardo était un homme dur, sa femme, elle, était plus douce. Ils élevèrent Analia, Gloria comme ils l’appelaient, comme leur fille biologique, à Buenos-Aires. Ricardo voyageait beaucoup, notamment en Amérique latine, pour le travail et avait installé sa famille dans le quartier Nord de Buenos-Aires, où il revenait dès qu'il le pouvait.
Elle avait ce dont elle avait besoin en termes de vêtements, d’éducation ou même de jouets et d’activités. Elle put donc prendre des cours d’équitation, de musique, comme elle le souhaitait. C’est ainsi qu’elle apprit à jouer de la guitare. C’est avec des amis qu’elle apprit la flûte de pan et la quena. Mais, l’enfant réalisa aussi très vite la dureté et la violence de Ricardo, ce qui l'incita à prendre ses distances avec lui. Jamais elle ne put vraiment s'y attacher, contrairement à sa femme qui se montra une bonne mère.
Pendant les vacances, elle partait chez ceux qu’elle croyait être ses grands-parents ou parfois chez ceux qu’elle croyait être chez oncles et tantes, soit dans une belle estancia de la Pampa soit dans une demeure en Patagonie, à Rawson. En Patagonie, elle put donc observer à plusieurs reprises les baleines franches australes et entendre leur souffle.
Lorsqu’elle avait cinq ans, dans un moment de colère contre Ricardo qui avait été trop dur avec elle et injuste – estimait-elle -, elle avait fait exploser le verre de vin qu’il tenait dans ses mains. Ce fut là la première manifestation de ses pouvoirs de sorcière.
Analia, outre son côté casse-cou qui faisait qu’elle pouvait facilement se blesser, avait une peau très blanche, marquant très vite. Elle tomba quelques fois sur des médecins, infirmières manquant de délicatesse lors des vaccins, mais également sur un médecin qui traita de manière trop superficielle une entorse. Elle avait alors sept ans, elle avait fait une chute d’un arbre et s’était mal réceptionnée. Le médecin n’ayant pas repéré la blessure, l’enfant continua à tenter de faire du sport et aggrava son état. C’est alors qu’en l’emmenant à l’hôpital, on apprit que le médecin généraliste n'avait pas fait suffisamment bien son métier. Et ce fut de ce jour que data la phobie des lieux médicaux de l’enfant.
Pour être honnête, même si elle faisait l’objet d’une éducation stricte, devant bien sûr aller à la messe, au catéchisme, dans une école catholique (etc), ses souvenirs d’enfance n’étaient pas véritablement mauvais pour autant (à quelques exceptions près concernant Ricardo). Seulement, plus elle grandissait, plus elle sentait un fossé entre elle et ses parents d’appropriation. Elle devait avoir dix ans lorsqu’elle constata qu’on ne voyait aucune photo à la maternité, aucune photo de Norma enceinte. Et que sur les premières photos qu’on voyait d’elle, elle avait plus probablement quelques mois qu’elle n’était un nouveau-né. C’est alors, en 1992 donc, que le doute commença à s’immiscer dans son esprit. C’est à la même époque, à l’école, qu’elle entendit plus précisément parler des mères et grands-mères de la place de mai et de la dictature qui avait eu lieu de 1976 à 1983.
En outre, régulièrement, à Buenos-Aires, sur la place de mai, elle voyait des grands-mères se réunir, réclamant leurs petits-enfants. C’est ce qu’avec le temps, elle finit par comprendre, même si à chaque fois qu’elle venait à passer par là, on l’éloignait, à chaque fois qu’elle posait des questions auprès ceux qu'elle croyait être sa famille, les réponses étaient évasives. En juillet 1992, ses parents d’appropriation déménagèrent avec elle à Londres, changeant de continent, pour le travail de Ricardo. Elle dût donc apprendre l’anglais, pour pouvoir se débrouiller à l’école.
Cette première année, dans un nouveau pays dont elle ne maîtrisait pas la langue, loin de ses amis de toujours fut assez difficile pour l'enfant. Mais, elle apprit vite l'anglais, tenant à pouvoir lire et communiquer. Elle garda simplement un accent, la tendance à recourir à des expressions de son pays ou à glisser vers l'espagnol lorsqu'elle était fatiguée. Elle garda aussi l'habitude d'utiliser le terme "che" comme le font les argentins pour maintenir le contact ou pour interpeler l'interlocuteur avec lequel on parle.
Et c’est ainsi que l’été de ses onze ans, un professeur d’une école nommée Poudlard vint trouver les Garcia et lui proposer une place dans cette école. Il fallut de longues explications, aussi bien auprès de la fillette que de ses parents d’appropriation, mais finalement, les Garcia acceptèrent de la laisser étudier à Poudlard. Elle alla donc faire ses courses scolaires sur le chemin de traverse, s'y vit offrir par Norma un chaton blanc, mâle, qu'elle nomma Aconcagua. Et elle fit sa rentrée à Poudlard au lieu de la faire dans un établissement scolaire privé moldu. Dans le train, elle dévora L’histoire de Poudlard, mais n’en ouvrit pas moins des yeux émerveillés sur le plafond magique de la grande salle. Et auparavant, tout simplement, sur le château surplombant le lac, profitant du trajet en barque. Elle intégra la maison de Gryffondor.
A l’école, elle était une élève qui avait la bougeotte, faisait les quatre cent coups et bien qu’elle se fût toujours montrée respectueuse envers les professeurs et les adultes de l’établissement, elle eut quelques ennuis pour non-respect du règlement. Elle apprécia particulièrement le vol sur balai et garda donc l'option durant toute sa scolarité, tant pour pouvoir apprendre à faire des figures que dans l'espoir d'intégrer l'équipe de Quidditch de sa maison. Quand elle n’était pas perchée dans un arbre et qu’elle ne jouait pas avec les limites du règlement, elle allait souvent à la bibliothèque, un véritable paradis selon elle. Elle apprit à la connaître comme sa poche.
Malgré son côté désobéissant, Analia qu’on connaissait encore comme Gloria était une élève brillante. Et elle attira aussi l’attention des professeurs de ce point de vue.
Elle était en troisième année lorsque Dolores Ombrage devint professeur de Défense Contre les Forces du Mal, puis grande inquisitrice. Quel contraste avec Remus Lupin qui avait été son professeur lors de sa première année ! Cette année-là la rouge et or se retrouva souvent en retenue et rejoignit l’Armée de Dumbledore après en avoir entendu parler. Il fut impossible de lui tirer un mot dessus lorsque la grande inquisitrice mena ses interrogatoires. Mais, elle fut navrée d'apprendre qu'il y avait eu une traite dans l'AD.
Parallèlement, chez elle, plus elle grandissait, plus la situation devenait tendue avec Ricardo. Plus le temps passait, plus elle était convaincue qu’elle ne pouvait pas être la fille biologique de cet homme. C’était lui qui l’avait élevée, elle ne pouvait le nier, mais son père biologique ? Elle n’y croyait pas. Mais, les informations depuis Londres étaient difficiles à obtenir surtout que ses parents d’appropriation refusaient de lui révéler la vérité.
Ce fut pendant l’été 1997, soit entre sa quatrième et sa cinquième année qu’elle eut l’opportunité de retourner en Argentine. Echappant à la surveillance de Norma et Ricardo, accompagnée de sa meilleure amie d’enfance, avec qui elle était restée en contact toutes ces années, elle alla voir les grands-mères de la place de mai. Elle était née pendant la période où les petits-enfants de ces grands-mères étaient nés. Et elle commençait à soupçonner qu’elle était une enfant de disparus… C’était tout ce qui expliquait tout ce qu’elle avait relevé de surprenant dans le comportement de ses parents d’appropriation. Et aussi leur silence à chaque fois qu’elle essayait de les questionner. Le test génétique qu’elle fit alors révéla alors qu’elle faisait bien partie des enfants de disparus. Et elle apprit la terrible histoire de ses parents. Elle était encore trop bouleversée pour vraiment se rapprocher de sa famille biologique. D’un autre côté, elle en voulait à Norma et Ricardo pour leur mensonge. Tout comme elle en voulut à sa tante lorsqu’elle comprit que c’était elle qui l’avait privée de ses parents.
De retour à Poudlard, elle se confia à un professeur en qui elle avait confiance. Pendant les vacances de Noël, elle fit un nouveau voyage en Argentine, sans ses parents d’appropriation et se décida enfin à voir un peu plus sa grand-mère – toujours accompagnée de son amie d’enfance – et se renseigna sur les démarches à faire pour reprendre son identité d’origine. Ses parents d’appropriation étaient « relativement » protégés par le fait qu’ils vivaient en Angleterre, mais sa grand-mère maternelle, Rosa, l’aida à reprendre le prénom qu’avaient choisi ses parents et son vrai nom de famille.
Elle était en sixième année quand Severus Rogue devint directeur et que Poudlard tomba aux mains des Mangemorts. Elle eut également bien des ennuis cette année-là, notamment avec les Carrow. Elle rejoignit la nouvelle mouture de l’Armée de Dumbledore et finit l’année cachée dans la salle sur demande avec ses camarades. Elle participa également à la bataille de Poudlard, pour protéger le château autant que ses forces le permettaient. Elle assista donc à l’annonce de la mort d’Harry Potter et à la prise de pouvoir de Voldemort.
Elle termina sa scolarité dans un climat difficile, puis se laissa marquer quand cela fut demandé, complètement perturbée par sa crise identitaire, elle ne voyait pas venir le loup qui se glissait certainement là. Et sa scolarité difficilement terminée, devant trouver un travail, elle postula en tant que bibliothécaire à Poudlard. Elle savait qu’à défaut de pouvoir faire des études supérieures, elle pourrait en apprendre plus ainsi par elle-même et qu’elle serait dans son milieu au milieu des livres.
Pseudo : Anouchka/Alionouchka Age: 35 ans DC: Non Votre avis:Un contexte assez sombre, mais je suis justement très curieuse de voir cette version du "et si"Comment avez-vous trouvé le forum : Par sa fondatrice Arya
Célébrité :
Orientation sexuelle :hétéro
École & maison : a fait sa scolarité à Poudlard et à Gryffondor
Bottin des personnages : (dans la grid-item: retirer ce qui ne concerne pas vos personnages)
- Code:
[b]Camila Mendes[/b] - @"Analia E. Valdés"
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@"Analia E. Valdés"
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<div class="grid-item rebelle feminin/neemoldue/celibataire/ heterosexuelle/Ancienne gryffondor" style="">
<div class="name">Analia Estrella Valdés</div><img src="https://64.media.tumblr.com/e9056313e37bc7721fe64023d26b84c7/f3366065c2754a24-e9/s128x128u_c1/91603d508bfac3efbbd7d2071d3c6a7c613d23f3.jpg" />
<div class="info"> FC: Camila Mendés<br /><br /> 19 ANS<br />née-moldue<br />bibliothécaire<br />hétérosexuelle<br />Ancienne Gryffondor/Poudlard<br /><a href="https://avada-kedavrarpg.forumactif.com/u232">Profil</a><br />
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Arya Nott-Lestrange
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Re: Analia Estrella Valdès
Sam 21 Oct - 11:32Bienvenue officiellement sur le forum
N'hésite pas si tu as des questions
Hâte de lire ta fichouille x3
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Re: Analia Estrella Valdès
Sam 21 Oct - 12:11Merci Arya.
Ma fiche est prête pour la lecture quand tu le voudras et le pourras (et je l'ai bien signalé dans le topic adéquat)
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Amelia E. Blackstone
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Localisation : Cherchez moi probablement dans la bibliiothèque...
Re: Analia Estrella Valdès
Sam 21 Oct - 14:19Camillaaa Mendes
Bienvenue ici sur le forum Amélia va beaucoup l'aimer
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Hazel V. Ombrage
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Re: Analia Estrella Valdès
Sam 21 Oct - 17:49Bienvenue !!
Je suis certaine qu'on va se trouver un super lien !!!!!! .... Avec la bavarde Hazel dans une bibliothèque. Déjà que ça commence comme ça dans le rp que je fais avec Amélia
Courage pour ta fiche et amuses-toi bien avec nousss
Je suis certaine qu'on va se trouver un super lien !!!!!! .... Avec la bavarde Hazel dans une bibliothèque. Déjà que ça commence comme ça dans le rp que je fais avec Amélia
Courage pour ta fiche et amuses-toi bien avec nousss
Everybody want to rule de world
On veut tous être plus fort, être riche et célèbre même que certains veulent diriger le monde. Mais ils en oublient d’avoir du plaisir, de rire et de vivre l’amour.
Lily-Rose Parkinson
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Re: Analia Estrella Valdès
Sam 21 Oct - 17:53Bienvenue !!!
Peut-être qu'on pourra trouver un lien intéressant avec Lily-Rose
Peut-être qu'on pourra trouver un lien intéressant avec Lily-Rose
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Re: Analia Estrella Valdès
Sam 21 Oct - 18:09Merci à vous trois!
Amelia : Je crois savoir pourquoi elle est aussi significative pour toi. Elle ne fait pas partie de mes feats classiques, mais elle ressemble à ce que je cherchais en cadrant avec les règles du forum (c'est pas si facile que ça à trouver)
Hazel : Ça sera avec plaisir pour un lien. A part ça, sauf si j'ai manqué un détail, de mon point de vue, ma fiche est terminée. Et je suis sûre que je m'amuserai avec vous
Lily-Rose : J'ai regardé rapidement ton profil et je pense qu'on devrait pouvoir trouver, oui.
Amelia : Je crois savoir pourquoi elle est aussi significative pour toi. Elle ne fait pas partie de mes feats classiques, mais elle ressemble à ce que je cherchais en cadrant avec les règles du forum (c'est pas si facile que ça à trouver)
Hazel : Ça sera avec plaisir pour un lien. A part ça, sauf si j'ai manqué un détail, de mon point de vue, ma fiche est terminée. Et je suis sûre que je m'amuserai avec vous
Lily-Rose : J'ai regardé rapidement ton profil et je pense qu'on devrait pouvoir trouver, oui.
Amelia E. Blackstone
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Re: Analia Estrella Valdès
Dim 22 Oct - 0:14Analia E. Valdés a écrit:Merci à vous trois!
Amelia : Je crois savoir pourquoi elle est aussi significative pour toi. Elle ne fait pas partie de mes feats classiques, mais elle ressemble à ce que je cherchais en cadrant avec les règles du forum (c'est pas si facile que ça à trouver)
En fait, pour dire la vérité, c'est juste que l'actrice joue dans Riverdale et que je l'adore dedans
Victoria Bulstrode
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Localisation : le manoir bulstrode, poudlard, ministère ou bien loin de nicholas
Re: Analia Estrella Valdès
Dim 22 Oct - 13:18Bienvenue sur Avada Kedavra
Hey ! Nous sommes heureuses de te valider officiellement ! Nous espérons que tu te plairas parmi nous dans notre cocon d’amour ! N’hésite pas à nous contacter si tu as la moindre question. Étant un nouveau membre, nous te laissons les liens importants ci-dessous. Cela t’aidera à te dépatouiller dans le labyrinthe du forum.
nobody is coming to save you.
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Re: Analia Estrella Valdès
Dim 22 Oct - 13:22Amelia : je me doutais que c'était pour ça
Victoria : Merci!
Victoria : Merci!
Felicia Selwyn
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Re: Analia Estrella Valdès
Lun 23 Oct - 21:24J'arrive longtemps après la guerre !
Bienvenue à toi, j'adore le FC .
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