@font-face {font-family: 'Bernard MT Condensed';src: url('https://dl.dropbox.com/s/lmu0dfqqt9d42j8/BERNHC.TTF?');font-family: 'Castro Script';src: url('https://dl.dropbox.com/s/a4ji6ug4xvi86nw/CastroScript_PERSONAL_USE_ONLY.ttf?');}Si vis pacem para bellum (Si tu veux la paix, prépare la guerre) @Samaël Rosier
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En bref


Il semblerait que Maximilian passe la majeure partie de son temps dans son bureau, que ce soit pour rédiger des rapports, trier de la paperasse, ou concevoir les prochaines missions des Aurors qu'il supervise personnellement. Par conséquent, son bureau est devenu un véritable chaos, bien que curieusement, il puisse mettre la main sur les dossiers sans même les regarder. Cela peut paraître étonnant au premier abord.

Pendant qu'il est occupé à ses tâches, une domestique lui apporte quelque chose à boire. Tout à coup, quelqu'un frappe à sa porte. Personne n'a été invité, ce qui signifie que la personne derrière la porte doit être soit Isabella, soit Freyja, soit Samaël. Maximilian se lève de son fauteuil et autorise l'entrée en disant d'un ton autoritaire : "Entre." La porte s'ouvre pour révéler que la personne qui a frappé est Samaël, le plus jeune de la fratrie.

Maximilian prend la parole avant que Samaël ne puisse dire quoi que ce soit, rappelant à son fils : "Samaël, tu sais que mon bureau est privé." Cependant, quelque chose attire immédiatement l'attention du patriarche Rosier : le livre que Samaël tient dans ses mains. La couverture en cuir du livre est intitulée "Secrets les plus sombres des forces du Mal." Maximilian est surpris de voir que Samaël possède un tel ouvrage. C'est un livre que Maximilian a récupéré après la mort de son cousin Evan, quelques années après le meurtre de ses parents, et qu'il a étudié en détail. Cependant, Maximilian n'est pas le genre de Mangemort à utiliser la magie noire de manière excessive, il ne recourt à ces pratiques que lorsque cela est absolument nécessaire. Il se demande comment son fils, qui est habituellement très doux, peut être attiré par la magie noire.

Il lui demande, d'un ton mêlé de curiosité et de surprise : "Je vois que tu t'intéresses à la magie noire, tu sais, il n'y a pas de forces du bien et du mal, tout dépend de ce que tu en fais, tant que tu n'en abuses pas. Mais je dois bien reconnaître que tu me surprends, toi qui es si doux, que tu te tournes vers une magie aussi complexe, et, on ne va pas se mentir, mais pour certains interdits." Maximilian l'observe attentivement, cherchant des indices dans le regard de son fils.

Maximilian acquiesce à ce que Samaël lui dit, comprenant le désir de son fils d'explorer et de comprendre le monde magique, même s'il est surpris par la direction que cela semble prendre. Il dit alors : "Je comprends, Samaël, et je ne suis pas déçu. La magie noire peut être un outil puissant, mais il est essentiel de l'utiliser avec sagesse et responsabilité. C'est bien que tu cherches à comprendre, mais je te demande de faire preuve de prudence. Et maintenant, pourquoi es-tu venu me déranger en plein travail ?"
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En bref




Si vis pacem para bellum


Tu es chez toi, tu en profite pour aller rendre une visite à ton père, dont tu savais pertinemment qu'il devrait être dans son bureau, faut dire que ton père avec son métier n'a pas trop le temps d'être en ta compagnie, si il ne venait pas à toi tu viendrais à lui, et pas les mains vide vu que tu avais en main, le livre "secrets les plus sombres des forces du mal", tu étais fier de cette trouvaille, tu aurais pu passer par ta chambre et le déposer mais tu n'avais pas envie, tu te rends donc en direction du bureau de ton père, tu frappes à la porte, au loin tu as pu croiser ta mère, tu préférais rester distrait et ne pas attirer son attention, tu attends quelques seconde avant d'avoir une autorisation autoritaire de ton père pour y entrer. Tu passes la tête dans l'entrebâillement de la porte, tu finis par entrer et referme la porte derrière toi, toujours avec ce fameux livre en main tu te dirige vers la table de ton père, tu pouvait voir d'énormes papiers sur son bureau, toi-même tu y perdrais la tête si tu n'avais pas tes parchemins soigneusement rangés. Arrivé à ta hauteur tu hoches la tête, tu lèves même les yeux à la remarque de ton père, bien sûr que tu savais que c'était ton bureau privé, et pourtant tu étais bel et bien là, non pas pour lui faire perdre de temps mais pour si possible avoir une séance d'entraînement dans l'art des défenses contre les forces du mal, aurait-il oublié ta venue ? Tu comptais bien le lui rafraichir lorsque les yeux de ton père s'attardèrent sur le livre en question, tu le dépose sur son bureau et tu réponds à ses dires d'un hochement de tête. Bonjour papa, je ne compte pas en faire usage de la magie noire bien que fortement intéressante, il est vrai qu'on associe plus la magie noire aux mauvais sorciers et la magie blanche aux bons sorciers, mais je ne suis pas d'accord, je pense que si à un moment on devrait se trouver en danger on devrait pouvoir utiliser la magie noir, mais je comprends tout à fait ce que vous voulez dire, que la magie noire est puissante et à utiliser avec sagesse et responsabilité. Ne vous inquiétez pas pour moi je suis toujours le même, jamais je ne ferai de mal à quiconque.

Tu finis de dire ce que tu avais envie de lui dire, non pas pour lui faire plaisir mais pour au moins lui faire comprendre que tu n'iras jamais plus loin qu'une apprentissage, à moins qu'on te le propose et qu'on t'entraîne, mais jamais il ne te viendrait de le faire seul. Tu es silencieux, tu te dresses fier devant lui bien que sérieux, ton père finit par te poser la question concernant ta présence ici, tu ne peux t'empêcher d'esquisser un large sourire. Et bien papa, je suis ici pour avoir une séance d'entraînement avec vous, en joutes magiques, cela fait un petit temps et ça me manque. Toujours d'un calme olympien, tu ne l'avais pas lâcher du regard, tu espérais que ton père ai du temps à te consacrer, sinon pas grave mais tu en sortirais du bureau légèrement déçu si jamais il devrait ne pas accepter par manque de temps, tu prends en compte le travail de ton père mais quand même, tu penses que ton père devrait parfois faire des pauses.

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<div style="width:350px;font-family:times;font-size:11px;text-letter-spacing:2px;text-align:justify;line-Théodore height:20px;">
BLA BLA BLA
</div> </br><div style="font-size:8px;text-align:center">PRETTYGIRL</div></center>
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Maximilian Rosier observe attentivement son fils, écoutant chaque mot avec une expression sérieuse. Samaël a toujours été un enfant calme et réfléchi, et sa maturité est évidente dans ses paroles. Il comprend les inquiétudes de son fils quant à l'utilisation de la magie noire et apprécie sa préoccupation envers la responsabilité. Il prend le livre que Samaël a déposé sur son bureau et le parcourt brièvement, reconnaissant l'ouvrage. Maximilian sait que la magie noire est un sujet délicat, et il est satisfait de voir que son fils n'a pas de tendances malsaines.

"Je suis content de t'entendre dire cela, Samaël," répond Maximilian d'un ton réfléchi. "Tu as raison de croire que la magie n'est ni bonne ni mauvaise en soi, mais plutôt comment elle est utilisée qui détermine sa nature. Et il est tout à fait approprié de chercher à comprendre, tant que c'est fait avec prudence et discernement." Lorsque Samaël évoque l'idée d'une séance d'entraînement en joutes magiques, Maximilian sourit légèrement, montrant qu'il est touché par l'enthousiasme de son fils pour les activités familiales. Cependant, il garde son sérieux, sachant que son emploi du temps est souvent exigeant.

"Samaël, je suis ravi que tu souhaites t'entraîner, et j'apprécie ton désir de passer du temps ensemble. Le travail est effectivement très prenant, mais je pense qu'une pause ne fera pas de mal. Allons-y, je t'accorde cette séance d'entraînement en magie noire." Maximilian se lève de son bureau, laissant derrière lui les papiers et les dossiers encombrants. Il se tourne vers son fils, prêt à partager avec lui une expérience de joutes magiques, un moyen de renforcer leurs liens familiaux tout en enseignant à Samaël les compétences qui sont chères à leur lignée.

"Samaël, à quelle page en es-tu actuellement ?" Si Maximilian pouvait aider et rassurer son fils sur ce livre aux illustrations plus que macabres, il l'a étudié lui-même il y a plus de 20 ans et il en avait appris beaucoup sur la magie noire, notamment les horreurs et les désastres qu'elle engendre quand elle n'est pas bien utilisée.

" Cette fois-ci, nous n'irons pas dans la salle d'entraînement, suis-moi." Ils sortirent du manoir avant de se retrouver dans la cour du château Rosier. Maximilian tendit sa main à son fils, qui la saisit, et ils transplanèrent dans un endroit un peu spécial.

Ils réapparurent dans un endroit abandonné par le ciel, au milieu d'une forêt, où quelques croix penchaient et semblaient abandonnées depuis des siècles. Maximilian invita son fils a le suivre, il ne semblait pas rassuré. "Je suis là, d'accord, regarde." Le patriarche se saisit de sa baguette avant de faire un léger mouvement circulaire avec sa baguette. L'instant d'après, quelques mains sortirent de la terre, des mains cadavériques. Maximilian donna en même temps quelques explications à son fils. "Connais-tu la nécromancie ? Tu sais qu'aucune magie ne peut ramener les morts à la vie." Alors, que derrière lui, commencent à s'élever des êtres à peine humains, les Inferi, plus communément appelés les serviteurs d'outre-tombe.
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Si vis pacem para bellum


Tu avais qu'une seule hâte, que l'entraînement commence, tu pensais t'entraîner dans la salle d'entraînements, comme d'habitude, tu étais bien loin des idées que ton père avait prévu une sortie en extérieur, tout en écoutant ton père, tu mets le livre sur son bureau, tu te remets à sa hauteur et tu réponds à la question concernant le livre que tu lisais actuellement, tu le regardes, droit dans les yeux et tu dis. Je suis pour le moment au chapitre des horcruxes, certes intéressant et instructif mais c'est pas ce que je veux, j'aimerais en apprendre plus sur les inféris, les sortilèges impardonnables, et autre sorts de défenses, je pense à Diffindo, Bombarda, Confringo, Incarcerem,... Pour les Impardonnables à Poudlard, on ne les apprendra pas de façon pratique je pense, je connais la théories mais bon...

Dans ta tête, tu persistais à penser que toutes formes de magies étaient bonne à apprendre, quelles soient bonnes ou mauvaises. Tu finis ta réponse et tu observe à nouveau un silence, tu l'écoutais et tu ouvres la bouche par surprise,  tu voulais lui demander où on allait lorsqu'il te demanda de le suivre. Nous sortions de la demeure familiale, ton père te tendit la main, tu savais ce que cela pouvait bien être, tu détestais le transplanage et pourtant tu ne t'en plein pas, tu as fini par t'y habituer. Dès que tu pris la main de ton père, vous disparaissez tous les deux pour apparaître dans un lieu abandonné en pleine forêt, le lieu n'était pas rassurant du tout, tu as les poils qui se redressent sur tes bras et à ta nuque, ton père t'invita à nouveau à le suivre tout en te rassurant, tu n'étais pas trop à l'aise, tu marches à ses côtés, et tu lui demandes où sommes nous.

Où sommes nous, certes nous sommes en forêt, sommes nous dans la forêt de Dean père ? Curieux comme tu l'es tu voulais savoir ce qu'il avait dans la tête, lorsque celui-ci brisa le silence et te demanda si tu connaissais la nécromancie. Tu réfléchis, d'un côté tu ne voulais pas répondre n'importe quoi, tu finis par répondre. Nécromancie, ça me fait penser aux Inferis, tout ce que je vois, seul les sorciers, les mages noirs peuvent en faire apparaître... Et je sais qu'il n'y a aucune magie pour ramener les morts à la vie, même pas la pierre de résurrection ? Tu avais à peine terminer ta phrase lorsque tu vis des silhouettes courbées apparaître et se diriger vers vous, tu ne t'étais pas tromper, tu sors ta baguette et tu restes à côté de ton père. Des... Des Inferis père... Qu'allons-nous faire. Ils ne craignent pas le feu ? Tout en attendant quoi faire, tu surveilles ses êtres à peine humaine, tu as le cœur qui bat la chamade, tu espère que ton père trouvera quelque chose pour les dépêtrer de ce mauvais pas.

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Maximilian observait attentivement son fils, écoutant ses réponses avec un mélange certain d'orgueil et de préoccupation. Il notait l'intérêt de Samaël pour des sujets plutôt sombres tels que les Horcruxes, les sortilèges impardonnables et les créatures magiques comme les Inferi. Le jeune sorcier semblait assoiffé de connaissance, suscitant à la fois l'approbation et l'inquiétude de son père.

Lorsque Samaël évoqua sa connaissance théorique des sorts impardonnables, Maximilian acquiesça d'un signe de tête. "Les sortilèges impardonnables sont en effet des sujets délicats. À Poudlard, tu apprendras la théorie, mais la pratique est réservée à des circonstances particulières et strictement réglementées. La magie noire est puissante, mais il est essentiel de comprendre ses dangers et de la manier avec précaution."

Maximilian décida ensuite de transporter son fils dans un lieu spécifique pour une leçon pratique. Une fois dans la forêt de Dean, Samaël manifesta sa nervosité, posant des questions sur l'endroit et exprimant son malaise face à l'ambiance lugubre. Le père et le fils marchèrent côte à côte, Maximilian ne révélant pas encore l'objectif de leur présence.

Lorsque la nécromancie fut évoquée, Samaël montra une compréhension superficielle mais précise des Inferi et souleva la question de la pierre de résurrection, démontrant ainsi une certaine connaissance des sujets magiques. Cependant, avant que Maximilian ne puisse répondre, les Inferi firent leur apparition.

"La nécromancie est un art obscur, sombre, Samaël. Certains estiment que cette doctrine permettrait à certains sorciers de disposer de la vie éternelle en ramenant les morts de l'au-delà à volonté. Pour d'autres, c'est une forme de magie vouée à l'échec, car, comme tu l'as dit juste avant, aucun sortilège ne permet de ramener les morts." Maximilian se retourna pour faire face aux êtres qu'il venait d'appeler et continua ses explications. "Voilà la seule chose qu'espère créer un Nécromancien : des Inferi. En latin, être inférieur. Leur seul objectif est de servir celui qui les a créés. Il n'y a qu'un seul moyen de les vaincre : le feu. Brûle-les jusqu'au dernier. Certains nécromanciens les enchantent exprès pour qu'ils évitent un probable mur de feu, mais c'est un avantage en soi, car si tu t'entoures de flammes, ils ne s'approcheront pas de toi. Les sortilèges interdits ne te seront d'aucune utilité ; ils sont déjà morts, alors oublie le sortilège de la mort. Pour l'Imperium, ils sont déjà sous le contrôle du Nécromancien, et enfin, le sortilège Doloris ne fonctionnera pas non plus ; un mort ne ressent plus la douleur. La magie blanche te sera utile pour les maintenir à distance." La magie blanche est certainement moins enseignée à Poudlard. En revanche, il n'y a pas mieux pour contrer la magie noire sans jamais en venir à la violence.

Le patriarche se plaça derrière son fils et commença à lui donner des indications, posant ses deux mains sur ses épaules. "Ils n'attaqueront que si je leur en donne l'ordre. Prépare-toi, ils ne te lanceront pas de sortilège. En revanche, leur force réside dans leur nombre. Reste à bonne distance d'eux." Certes, Maximilian ne mettrait jamais en danger son fils, mais s'il souhaitait marcher dans ses pas et devenir Auror des Inferi, il en affronterait en grand nombre, tout comme les sortilèges interdits et la magie noire vraiment avancée.
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Si vis pacem para bellum


Bien sûr que tu avais reconnu l'endroit où vous étiez. Bien que nerveux, tu voulais faire tes preuves et montrer à ton père que tu pouvais être à sa hauteur. L'échec n'est pas demi. Ton père continuait à donner des explications lorsque de Inferis firent leurs apparition en nombre. Ils étaient morts et ne pouvaient être ressusciter. Tu sors ta baguette, tu es derrière ton père qui se mit cette fois-ci derrière toi, main posée sur ton épaule, tu sais que ton père sera là au cas où si cela devrait se compliquer. Tu devras compter que sur toi et sur quelques sorts appris. Tu prends compte de ce que ton père vient de dire concernant l'utilisation des impardonnables, ils n'ont aucun effet. Tu as déjà une idée du sort que tu pourrais lancer. Tu te mets en position de défense, bien sûr tu gardes une certaine distance entre eux, tu hoches la tête à ton père montrant que tu es prêt. Tandis que ceux-ci se rapprochent en nombre, tu ne réfléchis pas longtemps, et tu ouvres les hostilités. Tu es concentré plus que jamais et tu uses d'un sortilège d'expulsion. Repulso ! Tu souris tout en gardant ta concentration, ne les lâchant pas du regard, le prochain sortilèges sera un sortilège de feu, tu ne te laisseras pas faire. Quelques Inferis se retrouvent expulser dans les airs tombant quelques mètres plus loin.

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Maximilian observa avec une attention intense les actions de son fils, sa fierté grandissant à mesure que Samaël faisait preuve de maîtrise et de détermination face aux Inferi. Malgré la peur, il leur faisait face bravement, une qualité que la plupart des autres enfants n'auraient probablement pas eue, mais les Rosier étaient fiers et ne lâchaient jamais le morceau.

La magie blanche enseignée par Maximilian à son fils se révélait efficace, repoussant les créatures sans les blesser. Lorsque Samaël lança avec succès le sortilège Repulso, éjectant plusieurs Inferi dans les airs, un sourire d'approbation se dessina sur le visage de Maximilian.

"Continue, Samaël," lui dit-il, sa voix teintée d'une froideur calculée, de satisfaction mêlée à de la fierté. "La clé est de maintenir une concentration ferme et de projeter ta volonté à travers tes sorts. Continue ainsi, ne te laisse pas abattre par la peur, elle est un moteur essentiel, mais utilise-la à bon escient."

Maximilian donna quelques indications supplémentaires sur la manière d'ajuster la puissance des sorts en fonction de la situation. "L'art de la magie réside dans la justesse, Samaël. Il est essentiel de ne pas sous-estimer ni surestimer la force de tes sorts. Utilise le bon dosage pour atteindre ton objectif sans gaspiller d'énergie inutilement, évite les gestes superflus, surtout quand tu dois affronter des créatures qui ne ressentent ni la fatigue ni la peur."

Bien que momentanément repoussés par le sortilège de Samaël, les Inferi recommencèrent à avancer, et Samaël put alors découvrir leur nombre. Maximilian continua de prodiguer des conseils à son fils tout en gardant un œil attentif sur la situation.

"Maintiens ta concentration. Surveille aussi tes arrières si tu te fais encercler, ils te tailleront en pièces." Le temps jouait contre le jeune homme, mais Maximilian évaluait la situation. S'ils se contentaient de la magie blanche, il valait mieux se replier. Samaël était assez intelligent pour comprendre que Repulso ne suffirait pas à tous les maintenir à distance, ils étaient beaucoup trop nombreux.

Il allait falloir qu'il utilise le feu. S'il voulait en venir à bout, deux sorts étaient particulièrement efficaces. Samaël ne les connaissait peut-être pas encore. Le Feudeymon, à condition de bien le contrôler, serait un allié redoutable, mais pas sans risque. Il y avait aussi Ignis Tempestas, le sortilège que Dumbledore lui avait enseigné, d'un niveau bien supérieur à celui de Samaël. C'était le plus efficace : le sorcier s'entourerait d'une barrière de flammes qui se déplacerait en même temps que lui, brûlant instantanément tout ce qui se trouvait à portée. C'était le meilleur sortilège à utiliser en cas d'encerclement par des Inferi.

Maximilian attendait patiemment le prochain coup que son fils allait jouer. Il surveillait les arrières du jeune homme au cas où il se ferait encercler.
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Tu avais commencé par un simple sort de Repulso, ce qui fit expulser quelques Inféris dans les airs avant de tomber sur le sol sans réels dommage, jusque là tu étais fier de toi, surtout lorsque la voix de ton père se fit entendre et te de continuer, tu pouvais entendre au timbre de la voix de ton père, une certaine froideur mélangé à de la fierté, mais tu ne comptais en aucun cas te laisser aller, tu ne le regarde pas même si tu sais que ton père n'est pas loin, jamais il ne risquerais à te mettre vraiment en danger. Néanmoins tu écoute ton père, tu prends la mesure tout autour de toi, tu comptais lancé en tout premier lieu le sortilège du Glacius, ce qui eut comme effet qu'une légère brise sortie de ta baguette, tu fronces les sourcils, bien que concentré, tu ne perds pas ton ou plutôt tes objectifs des yeux, tu passes alors au second sort, celui de l'Incendio, parfaitement bien réussi, un énorme cercle de feu se forme autour de toi, brûlant au passage pas mal d'inféris autour de toi. Tu ne comptais pas en rester là car tu voulais retenter à nouveau le Glacius avec un sort de découpe, histoire d'infliger quand même quelques dégâts à ses êtres squelettiques.

Merci pour tous tes conseils père, mais je m'en sors pas trop mal. J'ai encore d'autres sortilèges en stock en tête.

Non pas que cela t'ennuyais les conseils de ton père, mais tu voulais en quelques sortes, te démarquer, tout en restant concentrer à ce que ces derniers ne t'entourent pas pour te mettre en pièce, oui c'est-ce que viens de dire ton père, tu te demandes néanmoins si tu peux mourir à la suite d'un combat avec des Inféris, tu comptais le lui demander après ton entraînement, si tu en sors vivant bien sûr.

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Le sourire de Maximilian s'estompa en voyant l'échec de son benjamin lorsqu'il tenta de lancer le sortilège d'immobilisation. En revanche, Incendio fut un franc succès. Cependant, Maximilian était déçu de constater que son fils se contentait d'un sortilège de niveau aussi faible. À ce stade, le combat risquait de durer plus d'une heure, et un Auror n'a pas le luxe de prendre son temps. Il doit vaincre le plus rapidement possible, mais son fils semblait s'enfoncer davantage.

Se permettant de le tutoyer et prétendant ne pas avoir besoin de ses conseils ni de son aide, le visage de Maximilian s'assombrit en une fraction de seconde. Il ordonna aux Inferi de mettre le jeune homme en lambeaux, puis lança à son fils : "Je vois que ces créatures sont d'un niveau bien trop simple pour vous. Après tout, vous étes déjà à mon niveau." Il transplana derrière les Inferi et continua, "Je leur ai ordonné de vous mettre en pièces. On verra si vous gagnerez contre eux." Maximilian se positionna stratégiquement, occupant la seule zone où son fils pouvait reculer pour éviter de se faire encercler.

D'un geste de baguette, il lança un enchantement sur les créatures, qui dorénavant éviteraient le mur de feu érigé par Samaël. Maximilian aurait volontiers donné quelques conseils supplémentaires à son fils, mais il préféra observer s'il pouvait gérer à la fois la pression de combattre son propre père et son armée d'Inferi. Cependant, il ne s'arrêta pas là. Il pointa sa baguette vers son fils, la dévia au dernier moment, et prononça la formule "Confringo". Un éclair puissant de feu jaillit de sa baguette, s'écrasant à quelques mètres du jeune homme avant de provoquer une explosion imposante. Voilà un sortilège bien plus puissant que Samaël aurait dû normalement utiliser à son niveau, au lieu d'Incendio. Quant à Tempestas et le Feudeymon, on verrait cela plus tard. Chaque chose en son temps.

Il repointa sa baguette vers son fils et lui lança d'un ton déterminé, "La prochaine fois, je ne te raterai pas." Il attendit ensuite la réaction de Samaël. Heureusement, Isabella n'était pas là. Elle aurait très certainement pris la défense de Samaël. Cependant, selon Maximilian, ce n'était pas parce que ses enfants portaient le nom de Rosier qu'ils pouvaient se permettre d'être aussi arrogants. Pour lui, tout le monde était égal face à la mort, même le plus puissant des sorciers.
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Je me rend compte de la boulette que je venais de faire, je me sentais puissant, et pourtant en travers mes paroles, je venais de lui faire passer le message de ne plus me conseiller. Quelle boulette que je fais, bien que résistais de mon mieux aux Inférieus, cette fois-ci, mon père n'était plus là pour m'aider, non il avait pris lui-même le contrôle des Inférius, les ordonnant de me mettre en place, et comme si il ne se suffisait pas assez d'action, mon père me prit pour cible, me visant de quelques mètres d'un Confringo plus conséquent, l'onde de l'explosion me fit valser dans les airs, quelques mètres plus loin, je me relève avec quelques égratignures, le regard noir dans sa direction, je cherchais un moyen d'atteindre mon père qui m'avait fait sortir de mes gonds, il avait osé m'attaquer, il allait voir ce que j'allais lui faire. J'avais en tête de geler ses marionettes, ils étaient déjà brûler et je les achèverai d'un Confringo. Concernant la cible ennemi à abattre, je comptais le faire souffrir, mais à quel prix. Bien qu'il se trouvait quelques mètres un peu plus loin derrière les Inférius, je le visais d'un Accio sur son vêtement, ce qui l'attira vers moi. Le voilà dans les airs... Je le regardais dans les yeux de mon regard le plus noir, je m'apprêtais à le faire souffrir, un Diffindo bien placé mais le sort n'eut aucun effet, je ne savais plus où donner de la tête, le combat était perdu d'avance, j'avais besoin de l'aide de mon père, les Inférius se regroupèrent, prêt à me réduire en miette, le regard implorant, je supplie mon père, chose que je n'avais pas l'habitude de faire.

J'ai- J'ai besoin de vous père, aidez-moi s'il vous plaît. Je vous demande pardon de m'être montré désagréable, je n'aurai pas dû. Je regarde le sol, non seulement dans ma hâte d'en finir une bonne fois pour toute avec ces dits zombies, je n'avais pas réussi à les geler, j'avais juste réussi le sortilège d'explosion, à nouveau quelques inférius se trouvaient brûler et concernant le troisième sort était celui du repousse-tout dont j'avais lamentablement raté. Mon père devait avoir honte de moi, je voulais qu'une seule chose que le combat s'arrête et m'enfermer dans ma chambre. J'avais été le fautif dans l'histoire, croyant pouvoir être plus fort que mon père mais non il m'avait donné une bonne leçon que je n'oublierai pas d'aussi tôt.

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#1 'échec/réussite' :
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#2 'échec/réussite' :
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#3 'échec/réussite' :
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Le sourire dissimulé sur le visage de Maximilian en disait long sur sa satisfaction d'avoir infligé une leçon mémorable à son fils Samaël. La présomption et l'arrogance de ce dernier avaient été balayées par les réalités brutales du combat, et Maximilian comptait bien enfoncer davantage le clou pour s'assurer que son fils comprenne pleinement la gravité de ses erreurs.

Lorsque le Confringo dévié de manière délibérée par le patriarche détourna l'attention de Samaël de manière efficace, Maximilian savait qu'il venait de gagner un avantage psychologique. La diversion permit aux Inferi de mettre en place leur encerclement, laissant peu de marge de manœuvre à son fils.

La sévérité de la leçon s'accentua lorsque Samaël tenta d'utiliser le sortilège Diffindo, qui s'avéra inefficace. L'appel à l'aide désespéré de son fils était une musique douce aux oreilles de Maximilian, qui ne montra aucune émotion face à cette supplication.

"Tu as enfin compris la nécessité de la sagesse et de l'humilité, Samaël. On ne devient pas puissant en ignorant les conseils des plus expérimentés. C'est une leçon que tu ne devrais pas oublier," déclara Maximilian d'une voix tranchante, soulignant l'importance de l'apprentissage continu.

Le père de famille continua de tacler son fils, faisant allusion à son arrogance mal placée. "Même moi, j'apprends encore des choses tous les jours. Quant à ton arrogance mal placée, tâche de très vite l'oublier, ou alors le travail d'Auror te coûtera la vie à tous les coûts."

Alors que Samaël tentait un Repulso, Maximilian observa sans surprise le nouvel échec. Cependant, la réussite partielle du Confringo signifiait qu'il avait au moins retenu une partie de la leçon.

"La puissance brute ne suffit pas. La magie est une combinaison de force, d'intelligence et de stratégie. Apprends à respecter cela, et peut-être un jour tu pourras prétendre être à la hauteur du nom Rosier. Mais pour l'instant, je décide de ta survie. N'oublie jamais cela," conclut Maximilian, laissant planer une autorité incontestable.

Cependant, le patriarche n'avait pas encore épuisé ses moyens pour enseigner à son fils. "Pour la prochaine fois, je veux que tu utilises ce sortilège," ordonna-t-il avant que les Inferi ne reprennent leur avance menaçante.

Se plaçant en bouclier devant Samaël, Maximilian prépara un sortilège puissant, une arme héritée directement de Dumbledore. Il déclencha une tempête de feu autour de lui, les flammes d'une intensité terrifiante, créant une fournaise. Les Inferi furent réduits à des cendres, les corps calcinés jonchant le sol. La maîtrise des flammes de Maximilian, presque égale à celle de Dumbledore, était une démonstration éclatante de sa puissance, pour l'instant Samaël en était loin, mais avec le temps, il y arriverait peut-être un jour.

Cette dernière leçon devait laisser une marque indélébile sur Samaël, renforçant l'idée que l'arrogance était inacceptable et que la magie nécessitait une compréhension profonde pour être véritablement maîtrisée.

Alors que les flammes continuaient à brûler tous les Inferi, qui désormais cherchaient plus à reculer, ils ne pouvaient échapper aux flammes. Le sortilège dura quelques secondes avant que Maximilian ne prononce la formule "Partis Temporus." Les flammes encore grandissantes s'écartèrent, formant un chemin par lequel père et fils pouvaient sortir du rideau de feu provoqué par Maximilian. En attendant, tous les Inferi étaient détruits.

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