@font-face {font-family: 'Bernard MT Condensed';src: url('https://dl.dropbox.com/s/lmu0dfqqt9d42j8/BERNHC.TTF?');font-family: 'Castro Script';src: url('https://dl.dropbox.com/s/a4ji6ug4xvi86nw/CastroScript_PERSONAL_USE_ONLY.ttf?');}Le calme pour parler | Theo [11/09/01]
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“PARC DE POUDLARD, 11 Septembre 2001” & Bordel, pourquoi la discussion que tu as eue avec Thaddeus te reste dans la tête ? Tu n’avais fait que discuter avec lui et pourtant, elle te reste en tête. Mais pourquoi ? Tu lâches un soupir. Aujourd’hui, tu es en repos et tu as préféré profiter de la journée pour prendre encore de l’avance sur tes cours. Cependant, tu n’arrives pas à avancer. Assise dans la salle commune de Serpentard, tu étais dans le canapé devant le feu éteint et tu avais une vue magnifique sur le lac noir et les créatures qui l’habite. Tu aimes les regarder et tu trouves cela très reposant. Mettant les marques-pages, tu finis par fermer tes manuels et ranger tes affaires. Te levant du canapé, tu replaces ta tenue et tu t’approches de l’immense baie vitrée ensorcelée qui fait le charme de ta salle commune. Posant le bras dessus, tu poses ton front dessus et tu laisses ton regard vagabonder sur le décor. C’est un décor que tu connais par cœur, mais que malgré les années, tu apprécies toujours de regarder. Tu prends plusieurs inspirations et tu montres un sourire en coin. Tu trouves vraiment ça apaisant.

Tu restes là, à observer les lieux au calme alors que la grande majorité des habitants de cette salle commune sont en cours ou absents. Tu apprécies aussi le fait de pouvoir profiter de la salle commune en l’absence de tout le monde. Cela compense lorsque tu dois rentrer tard dans le cadre de tes stages. En y pensant, tu ne te rappelles même plus quand est-ce que tu dois reprendre tes cours et ton stage. Ce n’est pas vraiment des vacances, mais il faut savoir se reposer et prendre du temps pour soi lorsque cela est nécessaire. Tu avais déjà pris par mal d’avance et tu avais hâte d’en finir avec tes études en médicomagie. Tu avais choisi un cursus compliqué, mais tu en savais les raisons. Restant quelques dizaines de minutes à observer, tu gardes le sourire le temps que tu restes imprégné de cette atmosphère. Mais tu n’oublies pas pour autant tes cours de Soins aux Créatures Magiques. Tu sais ce qui peuple le lac et leur dangerosité.

Au bout d’un moment, tu ressens le besoin d’aller prendre l’air. Quittant alors le lac de vu, tu finis par ranger tes affaires. Tu ne dois pas les laisser traîner alors, tu les remontes dans ta chambre, chambre que tu partages avec des camarades de même promotion à l’époque où tu étais encore une modeste élève de cette école. Lâchant un soupir, tu prends ton sac et tu files à l’étage afin d’aller ranger l’ensemble. Tu poses juste l’ensemble sur le lit avant de redescendre. Tu quittes la salle commune quelques minutes avant d’y revenir. Parfois, il faut savoir sortir de son confort. Depuis que tu te prends la tête régulièrement avec tes parents, c’est une phrase qui revient souvent. Tu quittes la salle commune pour te rendre dans le parc. Tu finis par apercevoir une silhouette que tu connais trop bien. Manifestant un sourire, tu arrives derrière lui et tu l’entoures de tes bras de façon fraternelle. Tu te fiches bien de la réaction de sa chère épouse. Rien ni personne ne pourra t’empêcher de parler à ton frère de cœur.

« —  Salut Theo ! Cela me fait plaisir de te voir ici ! »

Tu savais qu’il te reconnaîtrait à ta voix. Vous avez passé de nombreuses heures à discuter et vous avez un secret en commun. Secret que tu n’as pas prévu de révéler et il sait très bien que tu seras muette comme une tombe. Il faut dire qu’il pourrait aussi révéler le tien alors que tes parents s’évertuent à le cacher aux yeux des autres. Parfois, tu te demandes pourquoi… Tu as accepté cette malédiction depuis longtemps et tu sais que tu ne pourras pas t’en débarrasser dans l’immédiat. Puis tu finis par le lâcher avant de rire un peu.

« —  Tu cherches Daphne ? »

Bien sûr, c’est une question que tu lui poses comme ça. Tu ne sais pas pourquoi il est là. Normalement, il devrait être chez lui avec sa nouvelle épouse. Mais au lieu de ça, il est ici au sein de Poudlard. Peut-être cherche-t-il à éviter son épouse ? Tu ne sais pas comment cela se passe dans son couple alors, tu lui demandes tout naturellement.

@Théodore Nott
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Le calme pour parler
❝ We don’t meet people by accident. They are meant to cross our path for a reason.❞
Astoria & Théodore




Impossible de reprendre sa vie comme si de rien était. “Ca n’est qu’un mariage. Ça ne te défini pas” avait dit Bolton Nott le jour où Théodore enfilait son costume de marié. Peut-être que ça ne le définissait pas, mais il en résultait que sa vie avait été considérablement chamboulée lorsqu’il avait été forcé d’épouser nulle autre qu’Arya Lestrange. Du moins, Arya Nott-Lestrange, si on croyait désormais son état civil. Ca n’était pas Arya qui aurait dû prendre son nom. C’était pas Arya qui devrait aujourd’hui répondre au nom de “Madame Nott”. C’était Daphne. Ô combien il aurait affectionné plonger son regard dans celui de la jeune Greengrass et prononcer ses vœux, lui jurer fidélité et amour jusqu’à ce que la mort les sépare. Il aurait affectionné raccompagner Daphna au manoir, lui ôter cette robe qui aurait compromis son buste toute la journée mais qui l’aurait rendue plus belle que jamais. Il aurait aimé couvrir ses lèvres de baisers, des baisers qui n’auraient plus le goût d’interdit. Il aurait aimé la déposer sur le lit nuptial et l’enlacer, la serrer contre lui, couvrir la peau douce de son corps de baisers ardents. Il aurait affectionné finalement s’endormir à ses côtés, la belle Daphné tombant dans un sommeil paisible blottie contre lui, tous deux prêts à se réveiller le lendemain et marcher sur le sentier de la vie maritale, main dans la main, prêts à tout affronter. Mais à la place, c’était Arya qu’il avait escorté chez lui, dans un silence de plomb. De part leur accord passé au printemps : ils s’étaient refusés l’un à l’autre. La consommation du mariage n’avait à vrai dire toujours pas eu lieu. Ni lui, ni elle n’en avaient envie. C’était à croire que leur union était un éléphant dans la pièce qu’ils avaient espoir de voir disparaître s’ils l’ignoraient assez fort. Malheureusement, ça n’était pas ainsi que la vie fonctionnait.

Heureusement, la rentrée était arrivée. Une rentrée étrange, avec un goût assez particulier sous la direction de Venus Fawley. A vrai dire, il fallait bien l’admettre, Poudlard n’avait jamais tourné aussi rond aux yeux de Théodore. Il continuait de se présenter en cours avec l’assiduité qui le caractérisait tant. Silencieux, mais non sans pensées. Peut-être que sa vie était terminée, mais sa carrière, elle, n’était qu’à son aube. Épouser Arya lui valait au moins le soutien d’Alexander Lestrange, président sorcier du Mangenmagot et, pour un jeune juriste tel que Théodore, ça n’était rien d’autre que du pain béni par Merlin.

Comme bien souvent, Théodore repoussait le moment fatidique de rentrer au manoir et d’y retrouver sa “très chère” épouse pour une longue soirée de silence lourd de sous entendu et de frustration. La vie de jeune marié. Que du bonheur, n’est-ce pas ? Mais alors que les mocassins du jeune Nott foulaient l’herbe verte du parc, il senti des bras entourer son torse frêle. Peu de gens osaient ainsi l'approcher ou le toucher. Ça ne devait pas être Daphne. Daphne n’aurait jamais osé. Ca ne pouvait être que sa jeune soeur, Astoria. Et justement, cette dernière confirma son identité de sa voix mélodieuse. Un bref sourire se posa sur le visage de marbre du Nott.

- Asti, salua-t-il d’un ton duquel on pouvait déceler une once de joie et de douceur.

Théodore n’avait jamais été un grand démonstratif. Il en riait que peu, plaisantait que peu, préférait généralement la solitude aux groupes d’amis. Mais Astoria avait percé sa carapace il y a bien longtemps. Elle était devenue une petite sœur. La petite sœur qu’il n’avait jamais eu. Cette dernière s’enquit alors de savoir s’il était à la recherche de Daphne. A cette question, Théodore arqua légèrement un sourcil, curieux.

- Daphne ? Non, pourquoi ? Elle t’a dit quelque chose ? demanda-t-il tandis que l’espoir transpirait dans sa voix.

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“PARC DE POUDLARD, 11 Septembre 2001” & Tu aimes ton frère de cœur. Plus que tout au monde. Tu te rappelles de la rupture des fiançailles et de l’état de ta sœur. Mais tu as promis de ne jamais rien dire sans son accord. Il faut dire que c’est une situation compliquée depuis ce retournement de veste de la part de la famille Nott. Mais tu te fiches bien d’eux comme tu te fiches bien de tes parents, avec qui tu passes ton temps à te prendre la tête. Surtout depuis que Voldemort est arrivé à la tête du Ministère. Mais qu’importe, tu n’es pas là pour parler d’eux ou de ta sœur. En plus d’être ton frère de cœur, il était aussi une personne qui faisait partie de ta vie et qui avait su briser cette carapace qu’on t’attribue… Qu’on attribue à tous les sangs-purs. La rentrée état arrivée et heureusement. Tu ne pouvais plus de rentrer chez tes parents et tu penses même à prendre un logement loin d’eux afin de vivre tranquillement. Tu penses à ta sœur, mais cette dernière serait libre de venir comme elle veut chez toi si elle ne supporte plus la solitude de la salle commune ou le manoir familial. Après tout ce qui s’est passé, tu ne peux pas la repousser ou l’ignorer. Tu ne te vois plus vivre sans elle, sans lui parler, sans vous raconter vos petits moments, vos faiblesses et vos bêtises. Car même si elle est la fille parfaite pour ses parents, tu sais qu’elle est loin d’être blanche.

Tu avais fini par lâcher ton frère de cœur et tu te mets devant lui avec un immense sourire sur le visage. Tu étais réellement contente de le voir et tu sais que tu peux tout lui dire. Il est certes un aîné, mais cela fait longtemps que tu ne prêtes plus attention à tout ça. Tu te rappelles de sa tête le jour de son mariage, tu étais présente pour le soutenir. Bien que tu sois blessée par le fait que les Nott ait préféré les Lestrange à Daphné, tu savais qu’il avait besoin de toi alors tu avais fait l’effort de venir. Tu devais être un soutien inestimable pour lui, même si tu te serais bien passée de voir cette cérémonie. Elle t’avait clairement brisée le cœur, mais tu avais gardé tout ça pour toi, tu n’en avais pas parlé à Daphné qui ne supporte pas cette situation. Tu lui avais fait une promesse et tu l’as tenu. Tu as bien vu qu’il a arqué un sourcil. Tu lâches un petit rictus avant de lui répondre en toute franchise.

« —  Tu devrais savoir qu’elle me dit absolument tout ! »

Tu t’approches de sa joue pour y déposer un petit baiser amical. Il n’y a rien d’amoureux là-dedans, juste deux personnes qui se considèrent comme des frères et sœurs. Et puis, honnêtement, tu te fiches bien de ce que les autres pensent de ça. Il n’y a que ce que tu ressens pour lui qui compte et rien d’autre. Si son épouse à quelque chose à dire alors qu’elle vienne, tu l’attends de pied ferme. Ce n’est pas elle qui va t’empêcher de le voir si tu en as besoin. Tu le regardes tendrement avant de lui demander par curiosité.

« —  Comment te portes-tu depuis ton mariage ? »

Cela n’a rien d’une question piège. Tu es même curieuse de savoir comment cela se passe. Non pas que tu apprécies Arya, mais disons que cela te permet de tâter la température afin de savoir si sa sœur à raison de s’inquiéter ou non. Bien sûr, tu le comprends puisque tu n’aimerais pas qu’on te marie de la sorte, bien que cela te tombera dessus un jour ou l’autre. Tu redoutes même ce moment et le plus tard sera le mieux en ton sens. Bien sûr, tu aimes quelqu’un, mais tu as tenu ça dans le plus grand secret et seule ta sœur et le meilleur ami de ce dernier sont au courant. C’est très bien comme ça pour le moment. Bien que tu sois tenté de le révéler à ton frère de cœur. Il est comme ta sœur, tu ne te vois pas vivre sans lui et cela fait longtemps que le considère comme ça.

@Théodore Nott
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Le calme pour parler
❝ We don’t meet people by accident. They are meant to cross our path for a reason.❞
Astoria & Théodore




Honore ton sang, honore ton rang. Cela aurait pu être la devise de la famille Nott tant Théodore l’avait entendu dans la bouche de son père. Cette petite phrase n’était pas démunie de sens et avait toujours eu un impact considérable sur sa vie. Au début, impact lui semblait acceptable, moindre, presque logique. Mais depuis la rupture de ses fiançailles avec Daphne au profit d’une union avec Arya, l’impact de cette petite phrase s’était fait énorme. Honorer son sang, honorer son rang était nettement plus compliqué quand les choses ne tournait pas à notre avantage. En soit, Théodore était de bien mauvaise foi. Il y avait pire qu’Arya. Il aurait pu tomber sur une femme nettement plus abjecte et insupportable. Il ne laissait juste pas la moindre chance à Arya, ni à leur mariage et elle non plus de toutes façons. Il n’avait pas besoin d’entendre ses pensées pour savoir qu’elles étaient toutes tournées vers Keylian. Il n’y avait qu’à voir la manière qu’elle avait eu de le dévisager quand il était en compagnie de Syana Selwyn lors de l’événement d’accueil de la nouvelle directrice. Même Théodore avait fait l’effort surhumain d’éviter le regard de Daphne par un semblant de respect pour sa femme (ou plutôt pour leur réputation). Arya n’en avait même pas fait l’effort.

Aujourd’hui, ce n’était pas le regard de Daphné qu’il avait croisé. C’était un regard qu’on aurait pu juger identique, mais que Théodore connaissait si bien qu’il les trouvait résolument différents. En effet, ce n’était pas Daphne mais Astoria qui avait croisé sa route. Astoria était l’une des très rares personne qui trouvait grâce à ses yeux et qui avait réussi à percer sa carapace. Avec Daphne, elles étaient probablement les deux seules personnes sur Terre à avoir vu Théodore sourire. D’un vrai sourire. Pas ces sourires crispés qu’il offrait pour les apparences. Non, un vrai sourire, de joie, de bonheur. Ainsi, il ne l’avait pas repoussé quand elle l’avait enlacé. Il lui avait gentiment rendu son étreinte, bien que toujours si peu à l’aise avec les effusions d’affection publiques. Alors qu’il demandait si Daphne lui avait parlé de quelque chose, Astoria lui répondit avec honnêteté que sa sœur lui disait tout. Oui, c’était une vérité dont il s’était bien vite rendu compte, surtout en vivant au manoir Greengrass.

- Je n’ai jamais su si c’était un avantage ou un désavantage, répondit-il avec un brin d’humour.

Mais bientôt, Astoria l’observa avec un regard tendre que Théodore préféra fuire. Elle s’enquit de savoir comment il se portait depuis son mariage et le jeune Nott n’avait qu’une seule réponse en tête : “Mal”. Il soupira et posa son sac dans l’herbe avant de s’y asseoir en tailleurs, adossé contre l’un de ces immenses arbres centenaires.

- Comme quelqu’un marié à une femme qu’il déteste, répondit-il de manière extrêmement directe. Et toi ? Tu as l’air…

Il ne trouvait pas les mots. Néanmoins, il pouvait presque sentir le tourbillon de pensées qui émanait d’Astoria. Le fléau d’être légilimens inné.

-… Tracassée, finit-il par dire sans vraiment cacher qu’il avait accès à ses pensées.

A vrai dire, il se fichait bien de la réaction d’Astoria. Non pas qu’il n’en tenait pas compte, mais plutôt que leur amitié lui permettait une certaine liberté, un certain relâchement. Il pouvait insulter sa femme de détestable ou de peste sans la moindre retenue face à Astoria. Alors percevoir quelques-unes des pensées de la brune semblait bien futile. De toutes manières, si elle disait peut-être tout à Daphne, elle se confiait aussi énormément à Théodore. Il y avait peu de chances qu’elle n’aurait pas fini par aborder le sujet d'elle-même.

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