Arya réfléchissait activement à cet instant précis devant son armoire qui se trouvait dans le dortoir des filles de Serpentard. Elle allait devoir retrouver d’ici quelques heures son fiancé, mais elle ne savait toujours pas quoi porter. Sa sœur était absente, tout comme la plupart de ses amies, elle était donc livrée à elle-même à cet instant précis. En plein dilemme, elle ne savait absolument pas quoi porter. Se tirant mentalement les cheveux, elle entreprit finalement de rechercher une personne pour l’aider. A défaut de ses amies et de sa propre sœur jumelle, elle allait chercher de l’aide auprès de sa cousine : Artémis.

D’habitude, elle ne lui demandait jamais son avis, cependant, il s’agissait à l’heure actuelle d’une urgence, et elle n’avait que très peu de choix. Ni une, ni deux, elle s’empressa de sortir du dortoir et de la salle commune et de partir à la recherche de sa cousine. Sur le chemin, elle entreprit de demander à quelques élèves si elle ne l’avait pas vu. Après avoir demandé à cinq personnes, l’un d’eux entreprit de lui dire qu’il l’avait vu à l’extérieure du château, dans le parc de l’école. S’en remercier ladite personne, elle entreprit de partir tel une furie jusqu’au parc. A l’extérieure de l’école, elle entreprit de se diriger vers le parc. Une fois à l’intérieure dudit parc, elle chercha sa cousine du regard. Celle-ci se trouvait un peu plus loin en compagnie d’un groupe de personne, elle s’empressa s’en entendre de la rejoindre. A bonne hauteur, s’en prendre gare aux personnes qui l’entouraient, elle s’empressa de prendre la parole : « Arthémis, tu es là. Je te cherchais enfin. J’ai besoin de ton aide, tout de suite, c’est urgent, il faut que tu m’accompagnes » lui demanda-t-elle tout simplement (cela ressemblait d’avantage un ordre qu’à une demande).

Par suite de ces quelques paroles, elle put enfin admirer le reste du paysage et des personnes qui entouraient sa cousine. Elle ne connaissait absolument pas les personnes avec qui elle était, sûrement des fréquentations peu recommandables. Elle ne put s’empêcher de lever les yeux d’exaspération. Décidemment, sa cousine n’avait encore absolument rien compris de la position qu’il occupait et de qui est-ce qu’elle devait se rapprocher ou non à Poudlard