@font-face {font-family: 'Bernard MT Condensed';src: url('https://dl.dropbox.com/s/lmu0dfqqt9d42j8/BERNHC.TTF?');font-family: 'Castro Script';src: url('https://dl.dropbox.com/s/a4ji6ug4xvi86nw/CastroScript_PERSONAL_USE_ONLY.ttf?');}un rendez vous au combien important @Ambrose G.Rosier
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Maximilian, vêtu d'une tenue impeccablement ajustée, poursuivait son entraînement dans le sous-sol du majestueux manoir. La salle était baignée d'une douce lumière émanant de lanternes magiques suspendues au plafond voûté. Les murs étaient recouverts de parchemins et de trophées de guerre, autant de témoins des nombreux combats et triomphes qui avaient marqué la vie de Maximilian. Des épées aux armures anciennes, chaque objet portait en lui une histoire unique.

Tout en lançant des sortilèges avec une aisance impressionnante, son esprit vagabondait dans le passé. Il se remémorait les duels épiques qu'il avait livrés, les ennemis vaincus tels que Maugré Fol Œil et Kingsley Shackelbot, dont il conservait les baguettes en guise de trophées, ainsi que les alliés qu'il avait protégés. Ces souvenirs étaient une source de fierté, mais aussi de mélancolie.

Maximilian jouissait d'une réputation inégalée en tant que duelliste, son nom était respecté et craint dans le monde des sorciers, les Mangemorts faisaient l'éloge de ses prouesses au combat. Il était à la fois un commandant d'exception et un combattant redoutable.

L'entraînement quotidien touchait à sa fin, et Maximilian essuyait la sueur de son front avec une serviette propre. Son fidèle elfe de maison, Reeky, s'approcha silencieusement avec une boisson rafraîchissante, préparée avec soin. Aujourd'hui était un jour spécial, le jour où Maximilian et Isabella avaient décidé de convoquer leur fils aîné, Ambrose Gideon, l'héritier de la famille Rosier.

La lettre, rédigée de la main de Maximilian en personne, avait été expédiée dans la journée. Elle spécifiait l'heure et le lieu du rendez-vous, soulignant l'importance cruciale de cette rencontre. Maximilian et Isabella avaient fait preuve de patience, laissant à Ambrose le temps de trouver la femme qui partagerait sa vie.

Cependant, le temps s'écoulait, et toujours rien. Au contraire, Ambrose semblait préférer fréquenter diverses personnes sans s'engager sérieusement. Les inquiétudes pour leur fils et pour l'avenir de la lignée des Rosier grandissaient. La famille Rosier était une lignée de sorciers respectée depuis des générations, et Maximilian et Isabella souhaitaient que leur fils comprenne enfin l'importance de ses responsabilités et de son héritage.

Le bureau privé de Maximilian, où se tiendrait cette réunion cruciale, était une pièce majestueuse ornée de riches tapisseries et de meubles anciens. La douce lumière du jour traversait les rideaux en velours, offrant une atmosphère feutrée et solennelle surplombant le jardin du domaine.

Maximilian attendait cette réunion avec impatience. Il avait préparé ses mots avec soin, sachant que cette conversation serait déterminante pour l'avenir de sa famille. Il espérait qu'Ambrose comprendrait enfin l'importance de ses responsabilités et de son héritage.
Lorsque Ambrose entra dans le bureau, Maximilian l'accueillit en lui proposant une collation. Maximilian était quelqu'un de très calme et réfléchi, presque froid dans son apparence et son comportement. Il invita son fils à s'asseoir, puis, d'un ton sérieux et direct, il posa la question qui pesait sur son esprit depuis longtemps :

"Ambrose, mon fils, je suis heureux de te voir ici aujourd'hui. Avant tout, comment te portes-tu ?"

Maximilian observa attentivement son fils, cherchant des signes de résolution ou d'engagement. Puis, poursuivant d'un ton encore plus grave, il demanda : "Nous avons convoqué cette réunion pour discuter de ta situation matrimoniale, Ambrose. Où en es-tu à ce sujet ? As-tu trouvé une compagne avec laquelle tu envisages de construire t'on avenir familial ? Je t'ai laissé carte blanche pour trouver l'élue de ton cœur, mais je t'avoue que ta mère et moi commençons à nous impatienter. Tu crois que je ne suis pas au courant de tes frasques avec la gente féminine dans je ne sais quel endroit indigne d'un Rosier, avec bien sûr ton complice le jeune Travers ?" En tant que Directeur de la justice magique, Maximilian avait des yeux partout, rien ne lui échappait. Il voyait l'étonnement dans les yeux de son fils et l'invita à prendre la parole à son tour, loin de s'imaginer ce que ses parents avaient prévu pour lui.

Ambrose G. Rosier

Ambrose G. Rosier

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Un rendez-vous au combien important


@Maximilian Rosier

Ambrose avait veillé tout particulièrement tard la nuit dernière, la soirée au club en compagnie d’Aléjandro s’était quelque peu éternisée, et il n’était pas revenu tout seul dans sa petite garçonnière. Il y avait ramené une belle et jolie jeune femme avec qui, il avait passé la soirée et la nuit, en charmante compagnie. C’est donc complètement nu, qu’il fut pratiquement forcé à se réveiller. En effet, son hibou venait de s’installer tranquillement devant sa fenêtre, et il n’avait rien trouvé de mieux pour que son maître ne daigne à le laisser entrer de faire du bruit, en becquetant avec vigueur et force sur la vitre de la fenêtre.

Le mal de tête était bel et bien présent, il entreprit de quitter son lit difficilement, en remettant bien évidemment un caleçon. Puis, il entreprit de se diriger vers ladite fenêtre, et d’y laisser entrer sans attendre son hibou. Il n’était guère pressé de récupérer cette lettre, il entreprit d’aller en amont prendre une douche, la chaleur de l’eau qui coulait sur sa peau était des plus agréables, cette sensation était agréable. En parallèle, la charmante jeune femme qu’il avait ramené chez lui venait de se réveiller et elle se baladait dans son appartement, en petite tenue. Elle fut des plus intrigués par ce courrier, qu’elle eut enfin le courage de toucher, mais Ambrose entreprit de sortir à ce moment de la salle de bain.

Cette fameuse lettre avait probablement été ensorcelé pour s’ouvrir à partir d’une certaine heure, s’il ne l’ouvrait pas, puisqu’elle entreprit de s’ouvrir telle une beuglante, même si cela n’en était pas une, le contenu de la lettre fut énoncé oralement à Ambrose et à cette femme, le ton solennel de son père fut des plus surprenant si ce n’est angoissant pour s’autres, il désirait le voir, et il lui donnait rendez-vous d’ici une heure, au manoir de la famille.

Tout d’un coup, Ambrose reprit tout son sérieux, et lorsque la jeune femme avec qui, il se trouvait entreprit de se moquer dudit courrier, il s’empressa de la congédier sans forme : « Va-t’en, je ne veux plus te voir » dit-il sans attendre à son encontre, « Et te t’avises plus de te moquer de moi ou de ma famille, est-ce bien claire ? à défaut, je te le ferais très sincèrement payer » conclut-il sans attendre, il entreprit de s’habiller convenablement et il entreprit sans attendre de l’ignorer, il n’avait pas que cela à faire.

Ainsi, elle quitta les lieux, sans qu’Ambrose ne lui adresse un regard, déçue, car après tout, elle s’était offerte à lui la nuit dernière, et elle aurait beaucoup apprécié pouvoir profiter de lui et de sa fortune, ne serait-ce que pour devenir sa maîtresse, le temps d’une année, et qu’il s’occupe d’elle, cependant, l’héritier Rosier avait à présent d’autres projets, et beaucoup plus important. A commencer par ne pas arriver en retard à ce rendez-vous, et cacher sa mauvaise haleine et ses cernes. Ce qu’il parvint plus ou moins à faire. Lorsqu’il fut fin prêt, il entreprit de transplaner jusqu’à la demeure familiale, il y venait pratiquement toutes les semaines, de ce fait, il n’était plus surpris de revoir les lieux, et une fois à l’intérieure, il entreprit de se rendre jusqu’au bureau de son père, il l’avait convoqué dans son bureau après tout, il était à l’heure, et il entreprit de frapper. Il fut bien évidemment invité à entrer, son père devait déjà être là.

Ambrose fit rapidement face à son père, qui entreprit de le saluer et de lui proposer une collation, il accepta bien rapidement et il entreprit de se servir un café. Il s’empressa ensuite de s’installer, comme à l’accoutumer dans le siège qu’il avait l’habitude de prendre, en tant qu’ainé. Il connaissait son père, il venait de lui demander comment est-ce qu’il allait, cela ne voulait en réalité dire qu’une seule chose, il n’était guère content de lui, et souhaitait obtenir des explications, il n’allait pas tarder à découvrir ce qu’il se tramait, il entreprit de rester dès lors le plus calme possible et de lui répondre « Je me porte très bien et vous père ? » demanda-t-il sans attendre, il vouvoyait toujours son père, en signe de respect et même lorsque celui-ci le tutoyait en face, il avait été éduqué ainsi, et il n’était pas prêt de changer sur ce point. Comme il s’en doutait, il entreprit ensuite d’évoquer sa situation, il était au courant de ses petites frasques avec son meilleur ami Aléjandro, il ajouta également que sa mère et lui était non seulement inquiet et très impatient, lui demandant aussitôt où est-ce qu’il se situait dans cette difficile quête pour se trouver une épouse.

Il était parvenu à repousser cette échéance jusqu’à présent, mais à priori, il ne pouvait plus reculer, en revanche, il pouvait très bien se justifier ; avec les bons mots, il parviendrait encore et toujours à convaincre son père et par extension sa mère, il entreprit en amont de finir son café, ce qui lui permit de réfléchir très activement avant de prendre la parole « Je n’ai toujours pas trouvé de compagne non, je ne parviens pas à trouver chaussure à mon pieds, toutes ses femmes feront de très bonnes épouses, à ne pas en douter, mais je ne parviendrais jamais à me contenter d’autant peu de perspicacité père, il me faut trouver quelqu’un qui parviendra à me maintenir continuellement au défis, et pour l’heure, aucune des jolies et belles jeunes femmes à marier ne semblent correspondre » lui avoua-t-il sans passer par quatre chemins « Je ne désespère pas pour autant, j’ai dressé une liste de qualité que je recherche et des défauts que je ne cherche pas » lui dit-il lui montrant qu’il avait malgré tout progresser depuis leur dernière entre venu il y a environ quelques années.

« Aléjandro est mon meilleur ami père, si je peux vous rassurer, il n’est pas mon petit ami, nous sommes bel et bien attirés tout deux par la gente féminine » finit-il par conclure en espérant rassurer son père sur ce point, son futur mariage ne serait donc pas purement platonique, même s’il n’était guère presser en réalité de se caser, préférant largement profiter de la vie et des possibilités qu’il pouvait encore lui offrir, les belles filles, les soirées, les parties de jambes en l’air, il ne pourrait pas se passer de tout cela, la vie n’était bien trop courte après tout, pour ne pas être vécu pleinement.
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Maximilian observa attentivement son fils, Ambrose, tandis que ce dernier répondait à ses questions. Il nota le calme apparent de son fils, malgré la situation délicate dans laquelle il se trouvait. Lorsque Ambrose aborda sa situation matrimoniale, Maximilian écouta attentivement. Il savait que son fils était extrêmement exigeant et avait des attentes élevées concernant sa future épouse.

Ambrose évoqua son incapacité à trouver une compagne qui répondait à ses critères exigeants. Maximilian pouvait comprendre cette quête de perfection, mais il était également conscient de l'importance de maintenir la lignée des Rosier. Il se pencha légèrement en avant, les mains croisées devant lui, et exprima d'une voix posée : "Ambrose, je comprends ton désir de trouver une compagne qui te convienne parfaitement. Cependant, il est temps de prendre en considération l'avenir de notre famille. Les Rosier ont une longue histoire et une réputation à préserver. Nous avons des responsabilités envers notre lignée, envers notre héritage."

Maximilian fit une pause, laissant ses mots peser dans l'air. Il poursuivit ensuite : "Ambrose, tu m'as dit presque exactement la même chose il y a près d'un an, et la seule chose que tu as pu accomplir depuis est une liste. Je t'ordonne de faire preuve de réflexion et de considérer sérieusement les alliances que tu pourrais former. Nous devons assurer la continuité de notre nom, et cela signifie trouver une compagne qui puisse partager tes valeurs, ta vision, et contribuer à notre héritage. Te rends-tu compte que ton petit frère est déjà presque fiancé, tandis que toi, tu n'as toujours rien trouvé."

Lorsque Ambrose aborda le sujet de son amitié avec Alejandro, Maximilian écouta attentivement. Il appréciait la franchise de son fils, même s'il savait qu'Ambrose n'était pas attiré par les hommes. Il restait préoccupé par l'avenir de la lignée des Rosier. Il répondit avec sérieux : "Je comprends que tu tiennes à ton amitié avec Alejandro, et cela ne me dérange pas que vous soyez proches. Cependant, garde à l'esprit que notre famille a des attentes et des responsabilités envers la société sorcière et envers nos ancêtres. Tu dois trouver une compagne qui puisse non seulement être une alliée pour toi, mais aussi une partenaire pour notre famille."

Maximilian, l'air insatisfait et déçu, se leva de son siège et se dirigea vers une étagère sur laquelle reposaient divers documents. Il prit un vieux parchemin sur lequel était inscrit un nom en particulier : Éléonore Weston. Il tendit le document à Ambrose et dit d'une voix empreinte d'autorité : "Regarde, Ambrose. Tu connais sûrement les Weston, la famille la plus influente d'Amérique du Nord, même plus que les Reynards, n'est-ce pas ? Silvers Weston me propose ta main en mariage avec celle de sa fille, une alliance plus qu'acceptable pour renforcer encore plus notre influence et notre richesse sur le grand continent." Il leva la main avec autorité, faisant signe à Ambrose de ne pas l'interrompre. "Avec ta mère, nous avons décidé de te donner un ultimatum : tu as un an pour trouver celle à qui donner la bague au doigt, sinon tu épouseras la jeune Weston. Je ne te donne pas le choix, estime-toi déjà heureux que nous te donnions un délai supplémentaire avec cette liste que tu as faite. Tu devrais trouver rapidement." Les mots de Maximilian étaient plus durs que jamais ; le père empathique et aimant était devenu le patriarche Rosier pour qui la famille passait avant tout le reste. Après tout, c'est ainsi qu'il avait éduqué ses enfants, et le nom de Rosier ne permettrait pas à Ambrose de faire ce qu'il souhaitait.

Il fit une pause, puis ajouta : "Je veux que tu comprennes l'importance de notre lignée et que tu fasses ton devoir au mieux pour assurer sa continuité. Tu as un an." Maximilian espérait que ses mots auraient un impact sur son fils, qu'il comprendrait l'importance de l'héritage des Rosier tout en cherchant l'amour et le bonheur dans sa future compagne. Il savait que cette conversation était cruciale pour l'avenir de leur famille..

Ambrose G. Rosier

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@Maximilian Rosier

Ambrose était plutôt calme et pourtant il se trouvait être dans une situation des plus difficiles et complexes. Face à son père, il n’était pas en train de paniquer, c’était bien tout le contraire, il se sentait plutôt confiant, il avait été éduqué ainsi après tout, il était parfaitement maître de ses émotions, et pourtant, ce que lui disait son paternel ne lui plaisait absolument guère, il était très intelligent, ainsi, il n’agissait jamais (pratiquement) impulsivement. Il préférait réfléchir et parler posément tout en usant de son don de beau « parleur » pour manipuler les gens ou pour leur faire croire tout et n’importe quoi.

Il l’utilisait également sur ses parents, mais toujours d’une manière très mesurée et jamais en utilisant des paroles « méchantes », cela serait contre-productif après tout, même s’il en disait aux autres pour les stimuler et les aider à commettre des erreurs. Il profitait toujours de ses instants pour les utiliser à son avantage, et tout avait plutôt bien fonctionné jusqu’à présent, alors pourquoi tout arrêter ? Son paternel n’était pas en train de lui reprocher un mauvais comportement (tout du moins pas pour le moment) ou encore un mauvais travail, bien au contraire, il était plutôt content et ravi de le revoir, cependant, il était également très mécontent car Ambrose tardait à se trouver une épouse.

Il avait 25 ans, il était en âge, même beaucoup trop en âge, et il aurait d’ores et déjà dû trouver chaussure à son pied et être d’ores et déjà entourer de jeunes bambins, rien que d’y penser, il en était horrifié. Son père s’empressa même s’il n’appréciait guère le faire, de lui demander des comptes. Il se devait de lui répondre, mais avant de surréagir, il prit le temps de réfléchir et d’employer les bons mots avec son père. Lorsqu’il les eut trouvés, il entreprit de prendre la parole, tout en expliquant à son père qu’il n’avait pas encore trouvé la femme parfaite à ses yeux (il cherchait en réalité, sans chercher).

Il s’empressa de lui expliquer qu’il ne lui fallait pas une femme passive, mais active, il était parvenu à dresser une liste, mais il n’avait encore pas trouvé la perle rare à ses yeux. Satisfait d’avoir répondu partiellement à la réponse de son paternel, il l’était, même s’il savait qu’il aurait apprécié entendre tout le contraire. Il était très exigeant, peut-être trop. Il n’en demeurait pas moins que son père devait se poser des questions, comme les autres, et il s’empressa malgré tout d’éclaircir sa relation probablement ambiguë avec Aléjandro. Il restait son meilleur ami, et seulement son ami, il demeurait tout comme lui attirer par les femmes, et non pas lui-même.

Comment son père allait réagir face à tout ceci ? Il n’allait pas tarder à le découvrir. Il entreprit de rester silencieux, calme et respectueux, le temps que les informations soient assimilées par son père, et lorsqu’il reprit, il se contenta de rester le plus attentif possible à ce qu’il lui disait. Il espérait seulement que son père comprendrait. Il semblait comprendre son souhait, cependant, il lui avait laissé assez de temps, en effet, il ne faisait que répéter ce qu’il avait pu dire l’an passé, et il lui fallait à présent prendre en considération sa famille et se trouver rapidement une épouse pour perpétuer la lignée. Il n’était guère inquiet, puisqu’il avait exactement eu le même discours l’an passé, et il était parvenu à gagner une année, il ne pourrait en être autrement de nouveau.

Cependant, il allait bientôt tomber de sa chaise. Il l’écoutait toujours lorsqu’il venait de lui ordonner de vraiment prendre en considération ses prochaines alliances et donc ses rencontres, puis, il entreprit de le comparer à son frère, ce qu’il n’appréciait guère, car certes, il aimait son frère, mais il était si différent, son opposé. « Père, je ne suis pas mon frère, je suis même tout le contraire ! Et je n’ai pas envi de lui ressembler, je suis très bien comme je suis, contrairement à lui, je sais parfaitement ce que je veux et ce que je ne veux pas, il est trop jeune de son côté, pour s’en rendre compte » conclut-il tout simplement « Je vais prendre en considération votre demande » lui répondit-il tout comme il avait pu déjà le faire. Puis, il entreprit de l’écouter parler de son ami, il ne le laisserait jamais tomber et ce quoique pouvait en dire sa famille.

Il accomplirait son devoir, il ne fallait pas en douter, cependant, il ne demandait qu’à avoir plus de temps, pour y réfléchir et faire de nouvelles rencontres. Malgré ses promesses son père ne semblait guère convaincu, il regrettait énormément l’absence de sa mère, qui aurait pu le soutenir à cet instant précis, il entreprit de le regarder se lever et prendre un manuel. Il entreprit de lui montrer un parchemin avec l’identité d’une sorcière, ce qui allait suivre n’allait guère lui plaire, il entreprit cependant de garder contenance.

Connaissait-il les Weston, partiellement, son père était en train de lui expliquer que le père de cette illustre famille, était en pleine phase de négociation avec sa famille pour des fiançailles, et ces dernières le concernaient. Il n’appréciait absolument pas cela, il s’apprêtait à protester, mais il ne put le faire, voyant le bras de son père, lui imposer un silence catégorique, il n’avait pas terminé, il s’empressa d’ajouter ensuite d’énoncer l’ultimatum qu’il lui laissait, à défaut, il devrait épouser cette sorcière complètement étrangère à ces yeux.

Cette fois-ci, son père et sa mère semblait résolue, tout du moins pour le moment, peut-être pourrait-il changer d’avis d’ici quelques mois, mais encore fallait-il malgré tout qu’il daigne à courtiser des jeunes femmes, il était persuadé qu’il parviendrait à négocier cet ultimatum, cependant, pour l’heure, il lui semblait judicieux de ne pas entrer en contradiction avec son père ; il lui fallait réfléchir pour mieux réagir.

« J’ai parfaitement compris votre souhait père » lui répondit-il très sérieusement et ce sans protester, même s’il en mourrait d’envie, il espérait cependant que cet entrevu, ne s’ébruiterait point dans la société, ou encore moins au sein même de sa fratrie, il n’avait pas besoin d’entendre et de comprendre leur moquerie, ainsi, il entreprit de demander une faveur à son paternel « Pouvons-nous garder cette conversation confidentiel père ? » lui demanda-t-il sans attendre. « Pour vous montrer ma bonne foi, j’aimerai obtenir votre avis sur cette fameuse liste de jeune fille que je dois encore rencontrer dans les jours à venir et semaines » finit-il par conclure, physiquement déterminé, bien qu’à l’intérieure de son cerveau, il avait bien d’autres projets.

« Désirez-vous m’entretenir d’autres choses père ? » lui demanda-t-il sans attendre.
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Maximilian regarda son fils, Ambrose, avec une expression sérieuse et une pointe de déception dans les yeux. Il avait toujours été un père aimant, mais en tant que patriarche de la famille Rosier, il se devait de prendre des décisions difficiles pour préserver la réputation et la lignée de sa famille. Il prit un instant pour réfléchir à la réponse qu'il allait donner à Ambrose, pesant chaque mot avec soin.

"Mon fils," commença Maximilian d'une voix empreinte d'autorité, "je comprends tes préoccupations et tes désirs, mais il est temps de prendre en considération la survie et la prospérité de notre famille. Les Rosier ont une longue histoire et une réputation à préserver, et cela repose en grande partie sur tes épaules, en tant qu'aîné de la famille."

Il fit une pause, fixant son fils du regard, cherchant à capter son attention. "Je ne te demande pas de devenir ton frère, ni de te conformer à un idéal qui n'est pas le tien. Je te demande de trouver une compagne qui partage tes valeurs, qui puisse contribuer à notre héritage et à notre position dans la société sorcière. Nous ne pouvons pas nous permettre d'attendre éternellement, Ambrose. Je me demande quelle jeune demoiselle d'Angleterre ou d'ailleurs voudrait d'un jeune homme qui passe du bon temps dans le lit d'autres femmes, qui plus est de femmes de joie. Tes frasques avec le jeune Travers sont terminées, pour commencer. Crois-tu que je ne m'en rendrais jamais compte ? Crois-moi, je ne te fais pas surveiller comme tu dois le penser."

Maximilian poursuivit, "Je comprends que tu tiennes à ton amitié avec Alejandro, et cela ne me pose pas de problème, même si je me demande lequel de vous deux tire le plus l'autre vers le bas..." Maximilian soupira et continua, "Cependant, notre famille a des responsabilités envers nos ancêtres et envers la société magique. Trouver une compagne appropriée est l'une de ces responsabilités. C'est ton devoir."

Il posa un regard grave sur son fils. "Quant à la proposition de mariage avec Éléonore Weston, c'est une opportunité que nous ne pouvons pas ignorer. Les Weston sont une famille influente, et cette alliance renforcerait encore plus notre position en Amérique du Nord. Je comprends que cela puisse te déplaire, mais parfois, il faut faire des choix pour le bien de la famille. J'ai eu la chance de la rencontrer, c'est une jeune femme superbe, bien élevée et courtoise. Elle te tempérera à la perfection."

Ambrose connaissait plus de choses qu'il ne souhaitait sur les puissantes famille Américaines. Après tout, dès que la guerre contre le Ministère et l'Ordre du Phénix est devenue une véritable joute de baguettes et de sorts interdits, Maximilian a ordonné à Isabella, Ambrose, Freyja et Samaël de fuir en direction de leur deuxième patrie, l'Amérique du Nord. C'était une solution stratégique que Maximilian avait anticipée en cas d'un second conflit. Il savait que l'Ordre n'hésiterait pas à le mettre sous pression, et quoi de mieux que de s'attaquer à sa famille ? Il était hors de question que le sang Rosier coule à nouveau. Le père d'Isabella a personnellement assuré la protection de sa famille jusqu'aux putschs du Seigneur des Ténèbres. Ses enfants ont vécu presque un an aux États-Unis.

Maximilian soupira légèrement. "Je te donne un an, pas un jour de plus, pour trouver une épouse. Je ne fais pas cela pour te punir, mais pour t'inciter à prendre enfin tes responsabilités au sérieux. La liste que tu as dressée est un bon point de départ, mais il est temps de passer à l'action. Je t'encourage à faire de nouvelles rencontres et à chercher une compagne qui puisse répondre à nos attentes. Si tu as besoin de conseils, ta mère t'aidera à la perfection, bien mieux que moi, à vrai dire."

Il termina en adressant un dernier regard à son fils. "Je veux que tu comprennes que je fais cela parce que je crois en toi et en ta capacité à mener notre famille vers un avenir meilleur. Sois attentif, réfléchi, mais ne tarde pas trop. Notre nom et notre héritage dépendent en grande partie de toi."

Maximilian espérait que son fils comprendrait la gravité de la situation et qu'il ferait ce qui était nécessaire pour assurer la continuité de la lignée des Rosier, tout en trouvant l'amour et le bonheur dans sa future compagne. C'était une décision difficile à prendre en tant que père, mais il était convaincu que c'était dans l'intérêt de sa famille et de son fils.

La conversation dériva vers un autre sujet, celui du travail au Département de la Justice Magique. "J'espère que ton poste te convient. Les retours que j'ai reçus à ton sujet sont excellents, Ambrose. Continue sur cette voie."

Ambrose G. Rosier

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Face à son paternel, Ambrose savait rester tout particulièrement calme, peut-être qu’il ne craignait pas totalement les menaces de son paternel, cependant, il entreprit malgré tout de les prendre au sérieux. Il aurait pu s’offusquer, prendre la mouche, mais il fit tout le contraire, en réagissant avec clairvoyance mais probablement pas sans arrière-pensée. Il avait pesé ses mots avec soins, n’appréciant guère avoir été comparer à son frère, et il l’avait fait comprendre à son père, sans pour autant avoir employé des insultes ou des mots rabaissant. Il avait qualifié son frère de jeune garçon, bien trop jeune pour comprendre encore le bien du mal ou encore comprendre ce qu’il souhaitait ou désirait réellement contrairement à lui, qui avait l’âge, mais également l’expérience.

Il avait des sentiments et des objectifs à atteindre, tout comme il recherchait par la même occasion, un idéal. L’épouse idéal, qui pourrait le faire ressentir des choses ; des choses mauvaises comme des choses meilleurs et qui pourrait également le stimuler suffisamment. Son paternel le comprenait certes, mais il était enfin temps pour lui de réagir et de faire passer son devoir comme il semblait si bien le dire, avant tout, et surtout avant ses propres sentiments. Sans oublier la réputation qu’il se devait de préserver, cependant, cela ne voulait pas pour autant dire qu’il devait complétement arrêter de prendre du plaisir et du bon temps, tout du moins, il n’était pas prêt à abandonner cette vie, et ce même si son paternel cherchait à effectuer sur sa personne tout le contraire.

Il entreprit de réagir suite aux propos de son fils, cherchant à le rassurer, il ne désirait point le voir ressembler à son frère, ce qui était une excellente chose, il cherchait cependant à lui faire comprendre que s’il ne trouvait pas chaussure à son pied rapidement, il finirait poings et pieds liés à une jeune femme qu’il ne connaîtrait pas et qui semblait correspondre (tout du moins sa famille) par hibou avec la sienne pour un mariage arrangé. Cependant, il désirait le voir se reprendre, à commencer par le fait d’arrêter sa double vie dans les bazars, il ne partageait pas ce point de vue avec lui, après tout, il était malgré tout rester discret. Il demeurait un homme avec des plaisirs à assouvir, et des besoins, il devait bien en profiter, et il n’était pas près d’arrêter, encore moins, s’il ne ressentait absolument rien en épousant une inconnue, nul doute, qu’il continuerait à aller voir ailleurs, en toutes discrétions bien entendu, même une fois mariée.

« La discrétion est de mise pour ce genre d’activité, je sais très bien le rester, père » dit-il avant d’ajouter « Vous n’allez pas me dire que vous ne serez pas allé voir ailleurs, si mère n’avait pas été à votre goût et à votre convenance ? J’ai des besoins et des plaisirs à préserver, et si ma futur épouse ne parvient pas à elle seule à me satisfaire, je compte bien malgré tout poursuivre mes activités » lui dit-il sans détours tout en demeurant courtois eut égard à son père. Il n’entreprit pas de lui répondre au sujet d’Aléjandro, et rester attentif tout en regardant le regard grave de son père, qui entreprit de lui parler davantage de cette famille : une union qui consoliderait leur influence en Amérique du Nord, et de la jeune femme.

Il avait déjà eu l’occasion de la rencontrer ; une jeune femme formidable, s’il ne désirait en revanche pas l’épouser, il se devait de faire le nécessaire pour la remplacer. Son paternel croyait en ses capacités, il entreprit d’acquiescer, car il avait bien pris note de l’information, il ferait probablement appel à sa mère, s’il en ressentait le besoin. La conversation dévia rapidement sur son travail au ministère, son père semblait satisfait, au moins, quelque chose semblait lui convenir. « Merci » dit-il sans attendre avant de reprendre « J’ai pris une stagiaire sous mon aile, mais je compte sur votre discrétion à ce sujet, je n’en dirais pas davantage, il faut la voir comme une assistante, et vous père, comment se porte votre travail ? » demanda-t-il avant de reprendre « J’ai pensé à organiser une soirée ici-même pour mon anniversaire, qu’en pensez-vous ? »
KoalaVolant
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Maximilian écouta attentivement la réponse de son fils, notant son désir de maintenir sa discrétion concernant ses activités personnelles. Il ne put s'empêcher de souffler légèrement à la remarque d'Ambrose concernant sa propre expérience en matière de besoins et de plaisirs. Il répondit d'une voix calme, mais empreinte d'autorité : "Je ne te comprendrai jamais là-dessus, Ambrose. Je ne te demande pas de renoncer à tes désirs. La discrétion est en effet essentielle, mais sois conscient que ton futur mariage pourrait avoir un impact sur notre réputation familiale. Je ne te demande pas de changer du tout au tout, seulement de faire preuve de fidélité, et de loyauté envers ta future femme."

Maximilian ne releva pas la question sur sa propre vie amoureuse simplement parce que cela ne le regardait pas. Maximilian et Isabelle en sont à leur 27ème année de mariage, et jamais il ne l'a trompée. Malgré ces 27 longues années ensemble qui sont passées comme un battement de cils, ils sont toujours épris l'un de l'autre. Il pouvait sentir qu'Ambrose avait clairement exprimé son intention de maintenir certaines de ses activités malgré un mariage potentiel. Il savait que son fils était un homme indépendant et qu'il était peu probable qu'il se plie docilement aux conventions. Cependant, il espérait qu'Ambrose serait suffisamment astucieux pour éviter tout scandale public, car dans ce cas, il ne devait pas compter sur sa famille pour le couvrir.

Lorsque la conversation glissa vers le sujet de la jeune Éléonore Weston, Maximilian offrit un regard satisfait. "Je suis rassuré que tu comprennes l'importance de cette opportunité, Ambrose. Rencontre-la, tu verras par toi-même ainsi que sa famille. Si tu ne souhaites pas l'épouser, je comprends tes sentiments. Dans ce cas, tu as un an passé ce délai, tu épouseras Éléonore Weston. Nous ne pouvons nous permettre de laisser filer une occasion pareille, elle renforcerait considérablement notre position en Amérique du Nord. Les Weston dirigent les plus vastes mines d'or d'Amérique du Nord, et en termes d'influence, Silvers Weston est le vice-président du MACUSA."

En ce qui concerne le travail, Maximilian répondit avec sa froideur habituelle. "Une stagiaire ? Tu n'es pas encore cadre, alors pourquoi Goyle te laisse prendre une stagiaire ? Il faudra que je lui touche deux mots. Tu n'es pas le premier à qui il fait le coup, et je suppose qu'il t'a promis une somme de gallions en échange, n'est-ce pas ? Goyle, celui-là joue avec mes nerfs."

Ensuite, c'était au tour d'Ambrose de demander comment se passait le travail de son père. "En ce moment, c'est tendu, les rebelles sont très actifs, les cellules sont pleines, mais j'avoue que ça fait du bien de revenir sur le terrain. Le mieux est de ressentir à nouveau le frisson du combat." Maximilian réfléchit un instant avant de poursuivre, "Tu sais, si tu souhaites rejoindre les aurors, je te prendrai sous mon aile, comme je l'ai fait avec certains. Crois-moi, je ne te ménagerai pas, même si je ne pense pas que ta mère sera d'accord, étant donné la dangerosité. Mais bon, si tu as des désirs à assouvir, autant te lâcher ainsi, baguette en main, sur des assassins et des terroristes."

La suggestion d'Ambrose concernant une soirée pour son anniversaire fut accueillie avec enthousiasme par Maximilian. "C'est une excellente idée, Ambrose. Organise cette soirée, invite des amis et des collègues."

La conversation continua sur des sujets plus légers, mais Maximilian avait clairement fait passer son message à son fils, tout en montrant son soutien dans d'autres aspects de sa vie. La tension entre le devoir familial et les désirs personnels persistait, mais Ambrose avait au moins obtenu un délai pour résoudre ce dilemme.

Ambrose G. Rosier

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Un rendez-vous au combien important


@Maximilian Rosier

Nul doute que les réponses qu’il présentait à son paternel ne devait ni lui plaire et encore moins lui convenir. Cependant, il n’en avait que faire et même s’il cherchait à se justifier, son père n’approuverait jamais cette façon d’être ou encore sa façon de penser sur certaines choses, et sa façon d’entrevoir ses besoins et ses plaisirs. Il s’était empressé de le lui dire, il ne lui demandait pas de renoncer à ses plaisirs, simplement à conserver une certaine discrétion et une préservation de son intégrité et surtout de l’honneur de sa famille, il lui parlait de fidélité et de loyauté envers sa femme.

Il entreprit de ne pas lui répondre, et de l’interroger plutôt sur sa propre relation, son père avait beau être tout rose, il n’en demeurait pas mois un homme, même s’il ignorait tout de ses activités en dehors du manoir ou encore du ministère, qui sait, s’il ne faisait pas comme lui ou s’il ne l’avait pas fait avant son mariage. Il ne lui avait pas plus répondu. Il serait assez astucieux. Il serait resté fidèle à lui-même et à sa famille.

La conversation dévia sur la future épouse que ses parents envisageaient, si et seulement s’il ne parvenait pas à trouver chaussure à son pied. Satisfait, son père lui parlait d’elle. Il avait un an, à défaut, il épouserait cette jeune femme ; une opportunité pour sa famille d’obtenir de l’influence en Amérique du Nord, ils étaient riches et possédaient plusieurs mines, sans oublier que le père de la jeune sorcière demeurait le vice-président du Macusa. Une place très importante et fort enviable. Il en avait des frissons rien que d’y penser.

Il ne voulait plus en parler, ainsi, il entreprit de lui parler de son travail. Il avait pris une stagiaire sous son aile, qu’il pouvait être charitable ! Contre toute attente, il entreprit de lui parler de son supérieure, Goyle, à priori, son père ne semblait guère l’apprécier, il était dans son collimateur. A profiter des jeunes sorciers ou encore sorcières ; à faire les basses besognes en échange d’argent. De son côté, il lui avait en effet proposer de l’argent, mais Ambrose se devait de conserver ce secret, à défaut, sa carrière serait terminée. Ainsi, il reprit la parole tranquillement « Je l’ai prise sous mon aile volontairement, mon supérieur ne me paie pas si c’est ce que vous désirez savoir » conclut-il sans attendre.

Venait-il ouvertement de lui mentir oui, mais c’était pour la bonne cause. Son père semblait plus que ravi d’être retourné sur le terrain, il se proposait de former son fils, s’il désirait changer de carrière et devenir auror, il entreprit de noter cette information dans le coin de son cerveau avant d’acquiescer. « Merci de votre proposition, mais cela sera sans moi, je suis beaucoup mieux derrière un bureau, vous le savez très bien père, même si je reste douer en duel, je préfère l’administratif » conclut-il sans attendre avant de lui parler ce qu’il projetait pour son anniversaire.

Son père entreprit bien évidemment de l’approuver et de lui donner son accord. Il était ravi. La conversation dévia ensuite sur des sujets beaucoup plus légers sans la moindre importance, permettant un rapprochement entre le fils et son paternel. Déterminé à penser à autre chose qu’à cet ultimatum, il entreprit d’en profiter un maximum.
KoalaVolant

Fin du RP pour moi
Anonymous

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Maximilian avait écouté attentivement les réponses d'Ambrose, et bien qu'il puisse ne pas être entièrement satisfait de certaines de ses réponses, il semblait avoir compris que son fils ne changerait pas facilement ses façons de penser et de vivre. Isabella lui avait conseillé d'être plus compatissant envers lui, mais ce n'était pas dans les habitudes de Maximilian. Il était un homme de terrain et avait toujours agi avec tact. Pourtant, il était évident que Maximilian tenait à inculquer à Ambrose les valeurs familiales qui paraissaient parfois lui échapper, notamment la fidélité et la loyauté envers sa future femme.

Lorsque le sujet du mariage avec Éléonore Weston fut abordé, Maximilian avait clairement exprimé l'importance de cette opportunité pour la famille en termes d'influence et de position sociale. Il laisserait à Ambrose un an pour trouver celle qui partagerait sa vie jusqu'à ce que la mort les sépare, tel était le serment qu'il prêterait dans un an maximum. "Tu as ma parole, Ambrose. Seule ta mère et moi sommes au courant, et c'est normal. D'ailleurs, j'ai l'intention d'inviter la famille Weston à manger au manoir. Cela pourrait te permettre de faire plus ample connaissance avec Éléonore. Quand tu penses qu'au départ ta mère devait épouser Silvers Weston, c'est quand même étrange, ne trouves-tu pas ?"

Ambrose avait ensuite évoqué son travail et sa stagiaire, en omettant de mentionner l'argent reçu de Goyle pour cet arrangement. Maximilian semblait méfiant à l'égard de Goyle. En effet, depuis peu, Maximilian avait l'intention de mettre fin à la corruption qui gangrenait le ministère de la justice magique, et Goyle en était le parfait exemple. Il soudoyait ses propres collègues, et Maximilian en était au courant. Il ne tarderait pas à le faire renvoyer, et le fait qu'Ambrose soit l'un de ses employés ne le rassurait pas vraiment. "Je te fais confiance. Ce type est tout sauf fréquentable, mais si je te change de service, certains y verront une marque de favoritisme, et cela, tu ne l'accepteras pas. Juste méfie-toi de lui, et s'il y a un problème, envoie une lettre, et je me chargerai de lui." Déjà, le fait que son fils lui confirme qu'il n'y a rien le rassura.

La proposition de Maximilian d'aider Ambrose à devenir auror avait été poliment déclinée par son fils, qui préférait l'aspect administratif de son travail, même s'il n'avait rien à envier à un véritable auror. Mais Maximilian n'insista pas davantage, même s'il aurait adoré avoir son fils à ses côtés dans les missions, même si sa femme n'aurait pas été autant d'accord. La conversation avait finalement pris une tournure plus légère, avec l'approbation de son père concernant la soirée d'anniversaire prévue par Ambrose.

Maximilian, satisfait que la conversation se soit finalement adoucie, réfléchit un moment avant de répondre à Ambrose : "Je comprends ton choix, Ambrose, et je respecte tes décisions. Chacun doit suivre sa propre voie. Quoi qu'il en soit, je tiens à ce que tu saches que ta mère et moi sommes là pour toi, que ce soit pour des conseils ou du soutien, quels que soient les chemins que tu choisis. Organise-la comme tu le souhaites et invite qui tu veux."

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